Bonjour à tous, je refais le topic de ma fic car devant le bide que ça a fait (merci quand même au peu de lecteurs ) on m' a donné quelques conseils. Vu que dans les deux premières parties il n' y a quasiment pas de dialogue, ça faisait trop pavey, je vais donc éssayer d' espacer d' avantage pour aairer le texte
Préface: Bienvenue dans mon Enfer
Je m' appelle John Clark. Ce n' est pas une blague, je me prénomme bien comme les 3/4 des héros de filmes d' actions ou catastrophe amériquains. Que voulez-vous, mes parents étaient peut être en manque d' inspiration. Cependant moi, je ne suis pas un héros et je n' ai jamais cherché à l' être au cours de ma carrière.
Quand ils débutent en temps de guerre, tous les bleus aspirent aux mêmes idéaux naifs : apprendre la discipline, porter l' uniforme, défendre leur pays, être un héros et j' en passe des plus risibles...
Car, en général, sur le champ de bataille, cent pour cent d' entre eux se séparent en deux catégories: Ceux qui meurent dés le premier jour, et ceux qui choisissent d' abandonner leurs états d' âmes et de devenir trés rapidement des proféssionels du meurtre. Oui, il m' a fallut peu de temps pour adhérer au concept car j' étais assez émotif au début mais cela ne dura guére longtemps, monstruosité ou instinct de survie, à vous de juger.
Il faut dire que j' ai eu la bonne idée de m' engager en tant que tireur d' élite. Un soldat classique bien qu' idiot peut se contenter de tirer les yeux fermés et espérer s' en sortir indemne mais le sniper lui, doit fixer sa cible avant d' appuyer sur la gachette. On ne peut éviter de voir le visage du père de famille ou de la jeune mariée que l' on s' apprete à déscendre, de même que l' on ne peut oublier les néo-orphelins et le néo-voeuf que l' on a engendré.
Ainsi, je n' ai pas eu l' occasion de mourir le premier jour mais de toute façon je n' ai jamais aspiré à devenir un héros. Au fond, qu' est-ce qu' un héros? Juste un mec qui meurt avant les autres et qui est promut pendant qu' il bouffe des picenlits. Vous me trouvez peut être cru, mais comprenez bien que l' on ne vit pas dans le même monde vous et moi, je ne suis pas en train de narrer mes malheurs le 7 Juillet 2010 mais le 24 Mars 2013 et la guerre dont je vous parle dure depuis 116 ans. Je me souviens que dans ma jeunesse, la prof d' Histoire nous avait dit que 50 ans plus tard, elle continuerait de faire le même cour à nos enfants et petit-enfants. Et le plus triste dans tout ça, c' est qu' elle avait raison.
La-bas, le temps semble s' être figé. Il y a de plus en plus de morts chaques jours mais rien ne change, la situation n' évolue pas. Je suis resté 12 ans labas, 12 ans bordel!
J' avais le droit d' aller rendre visite à ma famille de temps en temps mais je ne l' ai jamais fait valoire. Je ne voullais pas qu' ils voient le monstre que j' étais devenu.
Mais sans m' en rendre compte, toutes ces vies que j' avais prises n' étaient pas perdus. On allait enfin me rendre la liberté, je montais les échelons petit à petit, je devins officier puis officier superieur. Bientot, on m' appellait "mon colonel" c' était la fin du cauchemard, grâce à mon bac, on me reconaissait comme étant un être cérébré et j' avais pu suivre une formation de tactique militaire avant de me lancer dans le grand bain.
Maintenant, je donnais les ordres, et j' envoyais les autres tuer et mutiler. Je méttais enfin de la distance entre moi et ce cauchemard qu' est le front. Cependant, l' auteur de cette fic ne semble pas se satisfaire pleinement du personnage qu' il a créé et continue aujourd' hui encore de s' acharner sur mon sort. on me donna le comandement de la pire compagnie dont je pouvais rêver, cent quarante attardés qui avaient trop joué dans leur jeunesse à Call of Duty : Moern Warfare 2....
J' espère donc que ça vous a plu mais ce n' est que l' introduction sweet?
Bide quand tu nous tiens
Débidage + j'ai lu sweet
Merci Hapouney je vais grailelr en fait, je met la sweet vers 14h à peu prêt
Coucou
Jag Tu lis ou ( )
Débidage numéro 2
Hap > J'ai lu mais pas tout
The sweet
Chapître I : La compagnie idéale
Partie 1 : Le pire est toujours à venir
Bonjour à tous, c' est toujours moi qui vais devoir jouer le narateur. Quel plaie j' vous jure, l' homme à la plume souhaite que je relatte avec vous le pire jour de mon existance.
Le pire? Oui, sans aucune hésitation possible, pire que les morts, pire que le front, pire que la guerre elle même. C' est ce jour là oû on annéantit la derniére once d' enthousiasme qu' il me restait. C' est ce jour là que je pris le comandement de la 36eme compagnie.
Un colonel classique doit normalement diriger un régiment d' éffectif moyen de 3500 hommes mais on en avait décidé autrement pour moi. Parait-il que j' étais trop jeune. Je començais à me demander si on ne m' avait pas promu pour flatter mon égo afin de mieux faire passer la pillule.
Mes superieurs me convoquèrent et m' expliquèrent la situation. La 36eme compagnie était d' aprés eux une compagnie d' élite. LA meilleure unité de chair à canon. D' aprés eux toujours, peut importe combien mourront, ils avaient des millions de remplaçants potentiels. Pourquoi? pensez vous, ces types là étaient déja considérés comme morts à leur yeux. Pas de famille, pas d' amis, aucune vie sociale, ils vivaient en marge de la société, personne ne se rendraient compte de leur disparition. On apelle ces individus: des Nolifes.
Bien sur, le recrutement se fait dans le plus grand secret, autrement des intéllos n' ayant jamais connus la guerre s' emprésseraient de cirer au scandale pour des raisons éthiques.
2 Mai 2013, j' arrive au baraquement principal de la compagnie, grand quartier général, assez éloigné du champ de bataille avec de bonnes instalations pour les entraînements. C' est aujourd' hui que je devais rencontrer mon futur prédécésseur pour la "remise de pouvoir" oficielle. Je me faisais guidé jusqu' à son bureau. J' entre et je vois un homme d' assez petite taille, environ 170cm, mais bien carré. Le visage fermé et semblant usé, un homme s' approchant de la soixantaine. Il est resté etonnament longtemps prés du front et allait certainement prendre sa retraite militaire ou finir dans les burreaux.
Je porte en premier la main droite à hauteur de la tempe, doigts tendus, paume visible, en le regardant dans les yeux par respect:
<< Colonel.
-reroduisant le même geste, Colonel. >>
Le salut militaire peut parfois être un peu bizar mais quand on y est habitué, on ne n' y fait plus attention. Je me dirigeais ensuite avec le colonel Van Der Clay, nom certainement d' origine batave, vers la cour principale du QG. C' était l' heure de l' inspection des troupes. Un classique quand un nouveau dirigeant débarque.
Ils étaient tous en ligne en position de salut militaire, me regardant tous dans les yeux, on aurait pu entendre une mouche voler. A première vu, ils avaient donc l' air normaux, disciplinés, salut irréprochable, ils avaient même l' air compétents. Rien d' inhabituel mise à part beaucoup de jeunes bleus qui avaient déja d' épaisses cernes sous les yeux, en génral il faut attendre une semaine sur le front pour voir cela, ça m' avait intrigué mais sans plus, c' étaient juste des petits gars qui dormaient mal.
Cependant, il me fallut peu de temps pour déjanter et comprendre qu' on s' était foutu de moi...
4 Mai 2013, jusqu' à maintenant, la vie à la base était tranquile, j' avais envoyé pour la première fois une patrouille surveiller une zone qu' on avait prit juste avant mon arrivé. Il y avait peut être un risque de micro-rebéllion de la part des civils mais j' avais envoyé 16 gars, bien armés et volontaires donc à priori, il n' y aurait pas de soucis, c' était une patrouille de routine, sans volonté meurtrière particiulière. Mais à 11h23, le raport qu' ils me fournirent me remit les pieds sur terre. 12 morts sur 16 face à un seul rebel, pauvrement armé d' un ak47 avec trés peu de munitions.
Que s' est-il donc passé? Je compris que cette promotion n' était pas un cadeau, je comprenais mieux aussi le "Bon courage" du Colonel Van Der Clay. J' exigeais un compte rendu détaillé et j' en eu pour mon argent...
Le compte rendu dans la sweet, qu' a t-il bien pu se passer, dans quel galère s' est engagé le Colonel Clark? en espérant une fois encore que ça vous ai plu
Je vais lire
j'ai lus + sweet
Jerry Light ok ok, j' attend encore un peu quand même
First Page + Je lis.
Tien je te connais pas toi dis moi ce que t' en penses aprés avoir lu
Nykko, j'la lit.
Après on s'en reparle!:peu:
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Mon iD : BuDLiight
le 24 Mars 2013 et la guerre dont je vous parle dure depuis 116 ans.
Ah bon il y a une guerre depuis 113 ans
Fail! ***
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Mon iD : BuDLiight
Sauron, ça se passe dans un mode fictif pour me laisser plsu de liberté mais géographiquement, c' est le même, m' voyez?
Normalement, sa sweet est plus drole aussi
J'aime pas, comme t'a dit au début, yah pas asser d'espace et de dialogue!
+
Je t'aime
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Mon iD : BuDLiight