Bouge ton cuuuuul! Et arrête de tuer des arbres, fait tout sur pc

Comme sa, sa tue des Gorilles, mais pas des arbres

Pourquoi cinq personnes exigent une suite ici et jamais sur la mienne
Arax est vexé, Arax va vous faire frire

Chapitre V (suite)

Le silence gêné qui règne d’habitude dans les ascenseurs s’installa entre les deux hommes, troublé par une mélodie soi-disant relaxante. Marius s’observa dans le miroir. Ses traits étaient altiers et ses cheveux courts d’un blond clair. Seuls ses yeux d’un gris froid pouvaient donner une idée de son âge. Son armure noire portait encore les stigmates de la bataille. Son épée tronçonneuse pendait à son côté, et son bolter était en travers de son plastron. L’inquisiteur, lui ne ressemblait pas à quelqu’un qui revenait de la guerre. Il semblait plutôt calme et avait changé de vêtements, optant pour un manteau bleu nuit par-dessus une tenue noire. Cependant, une lueur dans ses yeux noirs indiquait au Space Marine qu’il bouillait de colère.
-À quoi pensez-vous ? lui demanda-t-il.
Korr Villis se tourna vers la vitre et regarda la ruche fumante. Marius vint à ses côtés.
-Vous savez ce que je peux faire.
Ce n’était pas une question. En effet, Marius savait que les pouvoirs d’un inquisiteur étaient quasiment sans limites. Il se demanda si Villis parlait du Gouverneur ou de la campagne en général.
-En tant qu’inquisiteur, vous pouvez faire ce que vous…
-Oui en effet.
Il se tourna vers lui.
-Seulement, je ne sais pas ce qu’il conviendrait de faire ici, et maintenant, dit l’inquisiteur. Je suis quelque peu perdu. Dans le noir total.
À ce moment, l’ascenseur s’arrêta dans le noir total. Les lumières s’allumèrent et l’ascenseur repartit, à l’horizontale cette fois.
-Mais… commença Marius.
Il s’arrêta, se demandant s’il devait poursuivre.
-Oui ? l’incita Villis.
-Concernant ce livre que vous avez confié à votre savant, dit Marius en se remémorant la scène qu’il avait entraperçut un peu plus tôt.
L’inquisiteur ferma les yeux et appuya son front contre la vitre. Marius se demanda s’il était allé trop loin. Même s’il ne l’appréciait pas, il le respectait en tant que soldat de l’Empereur, dont il défendait les intérêts à sa manière. Il ne voulait en aucun cas se le mettre à dos.
-Que savez-vous de ce livre ? demanda calmement Villis
-Absolument rien, répondit Marius en toute bonne foi.
-Ce livre a été écrit par Darek le Hiérarque Noir, dont je vous ai parlé plus tôt, dit Villis. C’est un livre hérétique, Marius. Mais il n’y a pas que ça.
Marius vit qu’il hésitait à poursuivre.
-Je suis là depuis quelque temps déjà. Et j’ai appris que Darek avait laissé d’autres objets de ce genre. Des objets d’une incroyable résonance dans le Warp. J’ai réussi à en détruire un, j’en ai trouvé un autre – le livre – et je pense savoir où se trouve le troisième et dernier.
-Et vous pensez que vous ferez quelque chose en les détruisant tous ?
-Je n’en suis pas encore sûr, dit Villis. Mais mon devoir m’oblige à enlever ces abominations de Sa vue.
L’ascenseur se retrouva à la lumière du soleil, les lumières s’éteignirent et il repartit vers le bas. La fumée des combats récents obscurcit la vitre ; ils se rapprochaient du niveau du sol.
-Vous savez, dit Villis. J’aurais préféré que ce sois un autre chapitre qui sois venu. Mais, quoi qu’il en soit, j’ai besoin du soutient de l’Astartes. Vous avez vu le Gouverneur. Il ne sera capable de rien de bon. La Garde et la Flotte me suivront plus volontiers qu’ils ne suivront Pantibula. Après tout, je suis un inquisiteur, mes pouvoirs sont quasiment illimités.
Marius grimaça.
-Aurai-je l’appui des Black Templars ?
Le Space Marine hésita. Ce que l’inquisiteur lui avait révélé l’avait convaincu que ce qui se passait sur Temperis n’avait rien d’ordinaire.
-Je le pense, oui, dit-il en pensant que le Sénéchal Varrus ne l’avait pas envoyé pour rien.
-Excellent, dit Villis alors que l’ascenseur s’arrêtait.
Il y eut un petit « ding » et les portes s’ouvrirent sur le hall d’entrée principal.

Phase de transition qui répond bien à ce que je demandais précédemment. Toutefois, je ne voit pas trop un de mes collègues avouer ses doutes et donc ses faiblesses à quelqu'un qu'il ne connait pas, surtout un astartes.
Sans quoi ça reste toujours aussi sympa.

"Toutefois, je ne voit pas trop un de mes collègues avouer ses doutes et donc ses faiblesses à quelqu'un qu'il ne connait pas, surtout un astartes. "

Tu crois vraiment qu'un inquisiteur le ferai sans raison ?

Les inquisiteurs sont des charognes, ça a était prouvé

Dit Lup', petit HS, le concours d'écriture 4 de GIF ça te tente? Histoire qu'Arax prenne une dérouiller au cas où milleuros échouerait?

D'un, je ne suis plus sur GiF, et de deux, j'ai à peine le temps d'écrire ma fic, donc je ne pense pas pouvoir faire quelque chose qui tienne la route

Je verrai...

Chapitre V (suite)

ILS PARCOURURENT LA ruche dévastée pendant près d’une heure. Villis pensait trouver des preuves de la corruption de Temperis ; des totems tribaux orks accompagnés d’icônes du Chaos, ou des cadavres atteints de quelque forme de mutation. Mais les recherches avaient jusque là été infructueuses. Plus ils s’éloignaient du centre de la ruche, plus la destruction était grande et moins il y avait de survivants. Mais l’inquisiteur pensait qu’il y avait plus de chance de trouver quelque chose là-bas. Ils avaient réquisitionné un Salamander du Death Korp de Krieg pour se mouvoir plus vite à travers les ruines. Ils se trouvaient désormais dans un des quartiers extérieurs de la ruche, pas loin de là où Marius et ses hommes avaient atterri. Soudain, l’affichage du casque du Templar lui indiqua une tâche de chaleur se dessinant parmi les décombres sur la droite.
-Virer à droite, pilote, ordonna Marius.
Le garde obéit docilement et les mena au travers des restes des habitations démolies. La source de chaleur était en fait une escouade du Death Korp qui nettoyait les bâtiments au lance-flammes. Des langues de feu liquide s’engouffraient en ronflant dans les blocs éventrés. Le Salamander s’arrêta près d’eux et Marius en descendit.
-Au nom de l’Empereur, arrêtez ça, leur ordonna-t-il d’une voix qui les fit tous se retourner.
Les soldats se mirent au garde-à-vous et le porteur du lance-flammes s’empressa d’éteindre son arme. L’un d’entre eux sortit du rang.
-Monseigneur, commença-t-il. Le Commandeur Von Strauss a ordonné que toute la zone extérieure soit purgée par le feu.
-Vous obéissez aux ordres capitaine, dit Marius en remarquant ses galons. Mais il s’avère que j’en ai moi aussi.
-Heu, oui monseigneur, dit le capitaine, embarrassé. Bien sûr, je comprends.
-Nous sommes ici avec l’inquisiteur Villis à la recherche d’objets blasphématoires.
-Sauf votre respect seigneur, les orks en eux-mêmes sont des blasphèmes.
Marius sourit derrière sont casque.
-Nous cherchons des symboles des Puissances Obscures, dit-il en baissant le ton. Il serait préférable que vous n’ébruitiez pas l’affaire. Avez-vous vu quelque chose y ressemblant ?
-Je, commença l’homme. Je ne pense pas non. Nous avons…
Il s’arrêta. Tous savaient pourquoi. Ils l’avaient tous entendue. Cette voix gutturale. Les impériaux se retournèrent. Là, sortis de nulle part, des dizaines d’hommes les observaient, la tête penchée sur le côté. Au centre de ce groupe se trouvait la chose qui avait grogné ; autrefois, elle avait été humaine. Le Chaos était passé par là : ses bras étaient disproportionnés, ses mains griffues, son dos tordu, son visage grimaçant et pourvu de défenses sortant de sa bouche difforme et ravagé. De la bave jaunâtre suintait d’entre ses lèvres frémissantes. Il portait un pantalon d’ouvrier et des bandes de cuir renforcé de bouts de métal lui couvraient le torse ; certaines étaient cousues à sa peau. Une puanteur immonde émanait du monstre ; ce n’était pas seulement une odeur physique. Certains gardes reculèrent et Marius gronda.
-Chaos, grogna-t-il.
-Oui, dit Villis. Vous pensez que cette preuve suffira au Gouverneur ?
-Je me charge du monstre dégénéré, dit Marius en tirant son épée tronçonneuse et en sortant son pistolet bolter de son étui.
-Laissez-en un en bon état, cria Villis aux gardes. Pour que je puisse l’étudier, ajouta-t-il à l’attention de Marius.
Les Litanies de la Haine aux lèvres, le Templar s’élança vers son ennemi.

OWI

He'll be Back !
J'aime, mais je veux la suite, le combat, tous ça.
Tu pourrais être plus avare en description aussi

Sweet

La sweet demain vui
Avec le combat

Je t'aime toi tu sais?

Sa promet un beau combat tout sa ...

Mais tu sais que tu fait de l'ombre à ma fic là ?

Mince loupé, c'était sensé être un smiley noël ...

Bon la suite arrive dans la journée normalement

Ce soir normalement, si j'arrive à reprendre l'ordi

Chapitre V (suite et fin)

Les adorateurs du Chaos – puisqu’il fallait dire ce qui était – sortirent des armes de nulle part et se jetèrent sur lui en mitraillant à tout-va. Certain avait des pistolets laser, d’autres des armes d’origine ork récupérées sur le champ de bataille. D’autres encore n’avaient que des couteaux de cuisine ou des barres de fer. Marius les abattait de son arme avant qu’ils ne s’approchent de lui ou les repoussait d’un brutal revers de son épée tronçonneuse. Son ennemi principal se tenait au même endroit, sans bouger et sans arme apparente. Marius entendit des tirs disciplinés de fusil laser et une demi-douzaine d’hommes devant lui s’effondrèrent en pleine course, percés par les rafales du Death Korp de Krieg. Marius parcourut les derniers mètres le séparant du monstre. Ce dernier sortit une sorte de hallebarde rouillée de sous les décombres à ses pieds et la balança dans un coup de taille menaçant de couper Marius en deux. Ce dernier réagit avec une vitesse impressionnante, proche de la précognition ; il sauta sur un muret et utilisa toute son endurance pour sauter au dessus du monstre. Il se réceptionna dans une roulade et se retourna juste à temps pour recevoir la nouvelle attaque. Il se ramassa sur lui-même et passa sous le balayage de l’arme.

Marius enchaîna des coups de taille et d’estoc aussi vite que possible, feintant, plongeant du mieux qu’il le pouvait. Mais l’autre parait et évitait tous ses coups avec une chance insolente et un manque de talent évident. À un moment cependant, Marius vit la hallebarde arriver droit vers son visage ; il se contorsionna et la lame emporta son casque et lui lacéra tout le visage. Il s’effondra sur le dos en grognant et le monstre retourna sa prise sur son arme. Il lui planta la pointe du contrepoids dans l’épaule, à la jonction de différents segments de son armure. Marius cria et repoussa son ennemi d’un violent coup de botte blindée. Il se redressa la lance dans la main, alors que l’autre revenait déjà en criant. Le Templar brisa la hallebarde sur son genou et attendit son ennemi, prêt à frapper. Il frappa le bras que le monstre avait envoyé vers lui avec la partie inférieure de la lance et les plaques de métal de l’avant bras grincèrent sous la force du coup. Le Space Marine lui enfonça la partie supérieure de l’arme dans la poitrine, traversant le mutant de part en part. Il lui planta ensuite l’autre moitié dans le crâne, qui produisit un bruit étrange. Une giclée de sang brun rouille s’étala sur le visage de Marius et sur son armure. Mais le Black Templar était intrigué par le bruit qu’avait produit le crâne du monstre.
Il saisit la hampe qui sortait du crâne ensanglanté et la tordit violemment, brisant la nuque du mort dans un grincement sinistre. Marius sentait le goût du sang corrompu sur ses lèvres… mais aussi un goût tout à fait différent. Il saisit la tête de son ennemi vaincu et tira de toutes ses forces, l’arrachant en même temps que sa colonne vertébrale dans une fontaine de sang.
-Trône, murmura Marius.

L’ossature toucha le sol de l’amphithéâtre dans un fracas métallique. Sous le sang séché, tous pouvaient voir que l’os était ici du métal luisant. Marius déglutit avec difficulté en se remémorant le goût amer des fluides mécaniques mêlés au sang du monstre. Le Gouverneur baissa les yeux dessus. Il soupira en levant le regard vers l’inquisiteur. Villis, l’arcade sourcillière gauche fendue, ne souriait pas.

Une ou deux répétitions par ci par là. ça reste très bon, j'ai bien aimé le coup de hallebarde dans la tête.

Suite

La suite arrivera demain dans l'après-midi je pense

Bien le up pourri ?