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Castlevania
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Test Castlevania

Castlevania : Trailer de lancement

6 640 vues
Profil de RioNumero5,  Jeuxvideo.com
RioNumero5 - Journaliste jeuxvideo.com

Apparu à la fin du XIXème siècle sous la plume de Bram Stoker, le comte Dracula a depuis inspiré bon nombre d'artistes. Et c'est en 1986 que Konami se décide à exploiter le mythe du suceur de sang. L'éditeur nous place alors dans les bottes de Simon Belmont, chasseur de vampires solitaire se lançant à l'assaut du château du comte. La saga Castlevania est née, le combat face à Dracula peut commencer.

Castlevania

Nous sommes en 1691, et le comte Dracula est revenu d'entre les morts pour semer le chaos. Il appartient alors à la Maison Belmont de contrecarrer ses plans et c'est Simon qui se chargera de cette lourde quête. Dans sa lutte, le chasseur de vampires se retrouve seul face aux créatures sanguinaires qui hantent les régions transylvaniennes et plus particulièrement, la demeure du comte. C'est d'ailleurs une vision du château macabre qui accueille Simon dès le début de son parcours. Il fait nuit et la lune éclaire ce paysage austère. Les chauves-souris tournent autour du manoir et donnent déjà le ton. Dans cette sombre aventure qui l'attend, le héros sera armé du fouet mythique de la famille Belmont. Créé par Léon (un ancêtre de Simon) lors d'un combat face à Dracula, la relique porte un nom : Vampire Killer (ou Tueur de Vampires pour les anglophobes forcenés). Le fouet peut être upgradé deux fois durant le jeu pour gagner en puissance. A cela, s'ajoutent d'utiles armes secondaires (largement nécessaires contre certains boss) comme l'eau bénite, la hache, le couteau, la montre ou la croix. L'arsenal du chasseur est complet, Simon peut enfin se jeter dans la gueule du loup…

Castlevania
Le chateau de Dracula fait froid dans le dos.
Dès l'entrée dans les jardins, le héros est assailli par une multitude de monstres qui deviendront par la suite des grands classiques de la série. En effet, les méduses, les tritons, les squelettes, les chevaliers (avec des lances ou des haches), les zombies, etc. sont déjà tous de la partie. Le bestiaire est très conséquent et l'agressivité des différentes créatures apporte une certaine difficulté au titre. L'évolution du scénario suit un schéma devenu lui aussi récurrent dans la série : Simon débute dans les jardins, puis atteint le hall avant de commencer son ascension dans le manoir. A la suite de quoi il redescend dans les cachots pour remonter une nouvelle fois vers le sommet du château et enfin affronter le comte. La linéarité de la progression pourra éventuellement rebuter certains joueurs, surtout s'ils ne connaissent que les volets les plus récents de la série Castlevania. Mais il convient de resituer les choses. Nous sommes en 1986, et à l'époque, cette première version du château de Dracula ne dissimulait aucune salle secrète ou niveau caché.

Castlevania
Simon doit d'abord traverser les jardins avant d'atteindre la demeure du comte.
Castlevania propose un gameplay assez basique. Simon avance, saute, déroule son fouet et lance ses objets, mais c'est à peu près tout ce qu'il sait faire. Qu'importe, cette panoplie de mouvements est suffisante pour se débarrasser des monstres qui laissent parfois derrière eux divers bonus. Ces derniers peuvent aussi être obtenus en éteignant les bougies accrochées aux murs. Simon trouvera ainsi des coeurs "alimentant" son arme secondaire, des rosaires (bonus éradiquant tout ennemi présent à l'écran) ou encore des items faisant augmenter son score (indiqué en haut à gauche de l'écran). Néanmoins, la simplicité du système de jeu ne nous épargne pas d'un problème de maniabilité plutôt gênant au niveau des sauts. En effet, lorsque vous avez dans l'idée de sauter à droite par exemple, il s'agira d'appuyer de manière franche sur la touche de direction droite avant d'appuyer sur la touche de saut. Un petit coup sec et négligé avant le saut au-dessus d'un précipice et c'est la mort assurée. Celle-ci entraîne d'ailleurs la perte des upgrades du fouet et la majorité des coeurs engrangés, ce qui ne facilitera donc pas vraiment la tâche de notre chasseur.

Castlevania
Le château abrite de nombreuses créatures.
La difficulté est croissante tout au long du soft. Les deux premiers stages ne posent que très peu de problèmes comme pour permettre au joueur de prendre ses marques dans l'univers de Castlevania. Mais dès le troisième niveau, l'aventure se corse avec une augmentation soudaine du nombre d'ennemis et de sauts délicats. La difficulté continuera ainsi de s'intensifier jusqu'au combat final opposant Simon à Dracula. Mais avant d'arriver jusqu'au maître des lieux, le chasseur devra d'abord se défaire des 5 boss qui clôturent chacun des 5 premiers niveaux et récupérer leurs âmes. Les deux premiers boss sont relativement simples à battre, mais le cinquième (qui répond au doux nom de "La Mort") se révèle être un véritable défi pour le joueur qui doit esquiver les faucilles tout en utilisant judicieusement son arme secondaire. C'est en fait cette relative difficulté du titre qui donne de la longueur à l'aventure. En effet, Castlevania ne compte que 6 stages (chacun divisé en 3 sous-niveaux) mais le joueur devra s'y reprendre à plusieurs fois pour finir le jeu à 100%.

Castlevania
Le fouet reste l'arme de prédilection de Simon.
Enfin, en ce qui concerne la réalisation graphique du titre, Konami exploite convenablement les capacités de la machine. Les très légers clignotements des sprites (peu visibles) n'altèrent en rien l'aspect graphique du titre. Dans l'ensemble, les niveaux sont colorés (hormis celui des cachots, particulièrement sombre) et les environnements plus détaillés qu'un Super Mario Bros (sorti deux ans auparavant). Certains regretteront peut-être que Castlevania ne soit pas plus propre, les autres leur rétorqueront que c'est ce qui donne du charme au jeu. Il s'en dégage une ambiance gothique irrésistiblement prenante, soutenue par une bande-son de qualité. Composés par Kinuyo Yamashita certains des thèmes deviendront des classiques de la saga (comme le désormais mythique Vampire Killer). Castlevania ne manque donc pas d'atouts et on comprend facilement son statut de référence pour les amateurs de jeux d'action/plates-formes dans les années 80.

Les notes
  • Graphismes17/20

    Colorés et détaillés, les environnements de Castlevania sont beaux et agréables à parcourir. La 2D est de qualité pour l'époque et le jeu ne souffre d'aucun ralentissement. Certes, l'animation de Simon ne casse pas trois pattes à un canard, mais dans l'ensemble, le jeu fait honneur à la Nes.

  • Jouabilité14/20

    Basique et pas toujours très maniable, le gameplay reste cependant plaisant. On regrettera bien évidemment la rigidité des sauts, contraignante dans certains niveaux. Mais pour le reste, on ne se plaindra pas outre mesure.

  • Durée de vie14/20

    Une note qui variera en fonction des capacités du joueur. Le jeu est court et composé de 6 stages (chacun divisé en 3 niveaux). Les néophytes mettront cependant au moins 10 heures à boucler le soft, du fait d'une difficulté conséquente qui ne cesse d'augmenter.

  • Bande son18/20

    Kinuyo Yamashita signe une bande-son digne des plus grands. Les musiques sont envoûtantes et donnent une atmosphère unique à Castlevania, une véritable identité au titre, tout simplement. Sur une console 8 bits, on ne peut qu'applaudir.

  • Scénario16/20

    Pourtant très classique, le scénario exploite bien le mythe du comte suceur de sang. Ce premier opus de la saga présente un univers que Konami développera au fil des épisodes.

Sorti en 1986, Castlevania s'impose comme un grand classique de la console. Mêlant action et plates-formes, ce premier opus pose les bases solides d'une série devenue mythique aux yeux de nombreux joueurs. La saga est d'ailleurs toujours d'actualité et la Maison Belmont n'en a pas fini d'en découdre avec le comte Dracula.

Note de la rédaction

16
16.7

L'avis des lecteurs (68)

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Nes Konami Plate-Forme Action Rétrogaming
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