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Page Wiki Bien gérer ses coureurs

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Les barres d'énergie

Même si le tutoriel de course est très clair, on commencera ce guide par un brève description de la signification des trois barres du coureur. Elles vous aideront à vous faire une idée de l’état physique de votre coureur, et de la stratégie à adopter pendant le reste de la course

Bien gérer ses coureurs
  • La barre jaune : Elle représente la résistance du coureur (RES), autrement dit sa capacité à maintenir un effort soutenu pendant une longue période. Lorsque le rythme d’un groupe est très rapide, votre coureur va progressivement voir sa barre jaune diminuer plus ou moins vite en fonction de sa RES, et de ses caractéristiques sur le terrain en question. Si la barre s’épuise, votre coureur ne sera plus en mesure de faire l'effort que vous lui demandez de faire, et finira la course comme il peut, au courage. Heureusement, cette barre peut se régénérer si l’effort de votre coureur est très faible. Elle ne se régénère que si la barre rouge est pleine.
  • La barre rouge : C’est tout simplement la barre d’accélération de votre coureur. C’est ce qui lui permet de faire des efforts très intenses (attaques, sprint, relais appuyés). Même si elle se régénère plutôt vite, elle se vide naturellement plus vite à mesure que votre coureur fait des efforts très intenses. Si elle est vide, le coureur sera en souffrance et aura également du mal à s’accrocher.
  • La barre verte : Il s’agit de l’endurance de votre coureur (END). Contrairement à la barre jaune, elle ne se régénère pas et représente en quelque sorte “‘l’essence” dans votre coureur. Cette barre est aussi affectée par la longueur de la course (en terme de kilométrage et de nombre d’étapes). Si un coureur a fini une étape très fatigué, sa barre verte se trouvera amoindrie le lendemain. Bien sûr, si votre coureur a une capacité de récupération exceptionnelle, vous n'aurez pas de soucis à vous faire. Si la barre se vide, votre coureur terminera à l’agonie !

Adopter une bonne gestion des coureurs

Les curseurs d’effort

Même s’il peut être tentant de mettre ce curseur à fond pour un effort optimal, vous apprendrez vite à vos dépends que bien gérer le curseur d’effort est crucial pour préserver son coureur. En effet, si votre effort curseur est trop bas, votre coureur risque de se faire décrocher, même s’il est en capacité de suivre le groupe. À l’inverse, vous pourriez fatiguer inutilement un coureur non protégé en lui faisant prendre des relais trop appuyés quand ce n’est pas nécessaire. N'hésitez pas à le change régulièrement en fonction du rythme de la course. Voici un ordre d’idée de ce que signifie un effort curseur en course :

  • De 1 à 44 : Votre coureur sera au ralenti et ne fera pas preuve d’abnégation pour s’accrocher dans son groupe.
  • De 45 à 54 : Un rythme de croisière, sur lequel votre coureur ne se fatiguera pas beaucoup. Idéal pour un rythme de coureur échappé qui veut récupérer d’un effort violent.
  • De 55 à 64 : On commence à entrer dans des efforts un peu plus intenses, mais qui ne permettront pas à votre coureur de suivre un rythme de fin de course.
  • De 65 à 74 : La barre jaune commence à se vider de manière significative lors d’efforts curseurs. Il est conseillé de ne pas maintenir ses efforts sur plus d’une trentaine de kilomètres.
  • De 75 à 86 : Un rythme de fin de course, uniquement réservé aux leaders en fin de course sur un terrain escarpé, ou aux train du sprinter. Vous devriez pouvoir suivre des rythmes élevés avec de très bons coureurs avec cet effort intense.
  • De 87 à 99 : Un rythme quasiment calqué sur celui d’un sprint. Les barres jaune et rouges se vident excessivement vite et ces efforts demandent un très bon coureur pour ne pas le vider au bout de 2-3 kilomètres.

Gardez bien à l’esprit que l’on parle ici des ordres “effort curseur” ou “relais”, qui demandent au coureur un effort plus violent que pour garder sa position.

Faire des raids solitaires tôt dans la course est risqué

Bien gérer ses coureurs

Le ravitaillement

En moyenne, il est bon de ravitailler ses coureurs tous les 80 kilomètres. Ce n’est pas une règle d’or car la météo entre aussi en ligne de compte, de même que le profil de l’étape. Sur des étapes accidentées de plus de 200 kilomètres, n’hésitez pas à ravitailler les coureurs 4 fois.

Par défaut, les coureurs qui iront chercher des bidons en distribueront aussi à leurs coéquipiers qui sont dans le même groupe. Pensez donc à envoyer un de vos équipiers pour ravitailler le leader, qui n’aura pas à remonter tout le peloton. Évitez également de ravitailler au pied d’un col ou pendant un effort trop soutenu, vous risqueriez de tuer vos équipiers à la tâche (même s’ils sont un peu là pour ça). Privilégiez donc les descentes ou les moment d'accalmie.

Passez de gros relais dans l'échappée si le terrain est montagneux

Bien gérer ses coureurs

Prendre une échappée

Depuis quelques épisodes, les échappées sont de plus en plus difficiles à prendre et sont surtout composées de très peu de coureurs. Rajoutez à cela un peloton qui accélère plutôt vite, et vous comprendrez vite que gagner avec une échappée relève d’un petit exploit. Il existe cependant plusieurs astuces pour être plus souvent représenté dans une échappée (Il vous faudra quand même la bénédiction du peloton) :

  • Votre coureur doit être plutôt loin au général
  • Il ne doit pas non plus faire partie des favoris du jours, sans quoi l’IA accélèrera le rythme du peloton
  • Il est préférable de suivre les attaques des autres coureurs : votre barre rouge se videra moins vite
  • N’hésitez pas à relayer à 80 en début d’étape : il est préférable que les écarts se fassent le plus vite possible pour moins fatiguer vos coureurs par la suite
  • Changez régulièrement l'effort de votre coureur : L’IA a tendance à se disputer les sprints intermédiaires et les ** grands prix de la montagne de manière outrancière. Augmentez le rythme dans les cols pour ne pas vous faire distancer, mais laissez votre effort vers 55-60 quand le terrain est plus plat.
Sommaire du guide "Les bons réflexes pendant la course"Sommaire du guide complet de Pro Cycling Manager Saison 2018
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