Pour pouvoir commencer cette chasse, vous devrez vous rendre à l'extrême est d'Oros, légèrement au sud, et entreprendre une longue ascension sur la gauche de la grande cascade afin d'atteindre la grotte qui vous mènera au territoire de l'ours. Après avoir plongé sous l'eau et avoir escaladé la paroi, avancez pour aller examiner la peinture rupestre la plus à droite sur le mur, reposez-vous au besoin au campement de fortune à la sortie, puis remontez la première piste vers le nord-est.
Après avoir examiné les cendre du feu de camp, reprenez vers le nord, examinez le piège au sol, continuez vers le nord-est pour examiner un tronc d'arbre maculé de sang, puis examinez tour à tour les armes brisées plus au nord avant de piquer vers l'est pour jeter un œil à un tas de rayons de miel, utilisés comme appâts. Appâts qui auront d'ailleurs fonctionné en attirant un ours brun, soyez donc vigilant. Reprenez ensuite la traque vers le nord en éliminant les éventuels Izila qui se mettraient sur votre chemin, puis escaladez la paroi à droite de la cascade pour rejoindre le combat qui fait rage entre l'ours balafré et les guerriers du feu.
Sauf si ces derniers se mettent à vous attaquer, laissez-les en découdre avec la bête en faisant attaquer votre familier, allez activer des pièges dans les alentours et une fois seul à seul avec l'ours, attirez-le dedans pour rapidement faire chuter sa santé sous les 50%. Suivez-le alors dans la grotte où il prend la fuite, posez les pièges au fur et à mesure et attirez l'attention de la bête pour la faire passer dessus, en la menant par le bout du nez à travers les tunnels qui se rejoignent.
Une fois la santé de l'ours balafré descendu aux trois-quart, il s'enfuira de plus belle jusqu'au fond de la grotte, qui se trouve aussi être sa tanière : là, point de pièges à disposition, il vous faudra donc batailler ferme avec vos armes traditionnelles, en profitant de la diversion offerte par votre familier pour frapper lourdement l'animal avec un gourdin à deux mains. La bête calmée, ne vous reste ensuite plus qu'à l'apprivoiser pour conclure.