Returnal, à l’image de n’importe quel rogue-lite, repose sur plusieurs principes :

• L’échec sert à la progression : Dans Returnal, on meurt très souvent. Le titre est exigeant et impose une maîtrise parfaite des mécaniques de gameplay. Ce n’est qu’en tombant, encore et encore, que l’on parvient à progresser, à récupérer un arsenal et des artefacts plus puissants. Ne vous étonnez pas de subir des échecs répétés, ils sont la clé du succès.

• Une génération procédurale des niveaux : À chaque mort du personnage, l’environnement est recréé de façon aléatoire, si bien que chaque run est différent. L’emplacement et le positionnement des items et ennemis n’est pas le même, les lieux n’ont plus le même level-design, l’ordre des salles change, les obstacles (trous, barrières de lasers, canons…) sont plus ou moins nombreux, etc.

• On perd tout… ou presque : Quand votre personnage meurt, il perd quasiment la totalité de son équipement. Dans Returnal, Selene conserve juste certains éléments, comme les données ou des reliques indispensables à la progression. Mais c’est à peu près tout… À chaque run, vous débutez avec votre arme et vos compétences de base et le seul moyen pour pouvoir résister aux ennemis (de plus en plus puissants) est de booster cet équipement.

• La malédiction : De nombreux Rogue-lite utilisent le principe de la malédiction, autrement dit un artefact qui améliore une compétence mais fait subir une défaillance au personnage. Dans Returnal, cette notion porte le nom de « nocivité ». Certains artefacts peuvent ainsi être récupérés pour améliorer les capacités de Selene mais, en contrepartie, ils occasionneront des dégâts à la combinaison.