News débat et opinion - page 24

EVE online. Si son nom est connu de la majorité des joueurs, cet OVNI du MMO n'en reste pas moins très obscur pour une grande partie d'entre eux. Sorti en 2003, ce jeu de niche sandbox aux allures Space Opera vous permet d'incarner un pilote de vaisseau spatial en quête d'aventure et de richesse. Principalement basé sur l'économie et le pouvoir, le jeu vous invite à collecter des ressources, effectuer des recherches et bien sûr combattre les factions adverses ! Pour ce faire, et à l'instar des guildes dans d'autre MMO, vous aurez la possibilité de créer ou rejoindre une corporation vous aidant ainsi à survivre et prospérer au sein de la galaxie. Et c'est justement une petite poignée de corporations que je suis allé interviewer pour en savoir davantage sur le jeu. Entre info et intox d'une communication maîtrisée... le plus juste, c'est peut-être encore de donner directement la parole aux joueurs.

L'E3 2015, en tenant toutes ses promesses et se permettant même de mettre fin à certaines des plus anciennes arlésiennes de l’industrie vidéoludique (Shenmue 3, The Last Guardian, Final Fantasy VII Remake) remplit à merveille son office alimentant le marché du jeu vidéo en spéculations, attentes et frissons durant les mois qui suivirent. La gamescom quant à elle, du fait d’un nombre élevé de jeux jouables à Los Angeles, perdit un tant soit peu de sa superbe au cours d’une édition 2015 en demi-teinte, bien que l’univers PC puisse se vanter d’un salon allemand riche en contenu. L’E3 en juin, la gamescom en août et le Tokyo Game Show en septembre. La Sainte Trinité des salons ne dérogera pas à la règle cette année non plus.

Après avoir questionné quelques idées stéréotypées sur la virtualité du jeu vidéo, il est intéressant de s’attarder sur l’un des éléments « virtuels » les plus importants et les plus complexes auquel le joueur doit se confronter : l’avatar. Bien loin de n’être qu’un simple relais virtuel, l’avatar est au cœur de nombreux conflits identitaires et narratifs entre le jeu et le joueur, des tensions qui à elles seules cristallisent les enjeux esthétiques propres au médium vidéoludique.

Récemment Jay Puryear, responsable de la marque Call of Duty chez Treyarch, a affirmé que Black Ops III serait 3 jeux en 1 grâce à la présence des modes solo, multi, et coop. Certes, l'homme prêche pour sa paroisse, mais cette déclaration n'est sans doute pas aussi fallacieuse qu'on pourrait le croire de prime abord. Et s'il y avait bien plusieurs expériences de jeu dans un Call of Duty ?

Avec la multiplication des conventions tierses (Rezzed pour le jeu indépendant, les nombreuses PAX, Japan Expo, VGX pour les trailers etc.), la gamescom perd de plus en plus son aura de salon majeur de l'industrie console pour lentement glisser vers la redite de l'actu AAA qui survit uniquement grâce à la présence du PC et des démos E3, jouables pour le public. Côté développeur console, le rendez-vous a perdu de sa superbe d'antan et de son intérêt depuis que la règle "trailer E3, gameplay gamescom" a été chamboulée depuis quelque temps. Le salon allemand doit donc, selon moi, se métamorphoser en convention PC du fait de son implantation européenne et de sa puissance de frappe médiatique, idéale pour l'industrie ciblée.

Hyrule Warriors est un « musou-like » (Dynasty Warriors, Samurai Warriors, etc.) fidèle à la fois au gameplay des « musou » et à la série The Legend of Zelda, sur ce plan le jeu a été parfaitement réalisé. Toutefois nous pouvons nous poser la question sur la richesse du jeu comparativement aux autres titres « musou », avons-nous droit à une version « du pauvre » ou à une version plus évoluée ?

Si l'E3 2015 a été riche en annonces, les consoles portables se sont faites très discrètes. Pendant ce temps, les smartphones et tablettes ont eu leur moment de gloire, plusieurs précieuses minutes leur ayant été consacrées lors des différentes conférences. Et si les raisons de cette étrange absence reposaient en partie sur le fait que les smartphones n'ont plus grand-chose à envier aux consoles portables ?

Dans cet article, nous allons revenir sur la polémique qui a secoué le monde de l’e-sport il y a quelques jours. Le dopage a fait son entrée dans le milieu, et par la grande porte : les révélations d’un joueur américain de l’équipe Cloud 9 ont fait le tour du monde et ont forcé la ligue la plus influente du milieu à repenser sa vision du sport électronique. C’est justement au moment où ce dernier commence à accomplir ses rêves de professionnalisation avec des jeux tels que Counter-Strike : Global Offensive, League of Legends, Starcraft 2 ou Dota 2, qui arrivent à atteindre des niveaux de spectacle inédits, que ce coup de projecteur nauséabond a fait son apparition. Alors, le dopage et les contrôles antidopage ont-ils un sens dans l’e-sport ? Qui est à blâmer ? Nous allons essayer de répondre à ces questions en analysant la situation inédite dans laquelle se trouve aujourd’hui ce milieu. Mais avant de se lancer à corps perdu dans cette aventure, offrons-nous une petite "piqûre" de rappel…

S'il y a bien un sujet qui revient souvent sur la table des amateurs de jeux vidéo indépendants, c'est bien ce fameux statut "d'early access". Vous savez, le principe de payer pour un jeu qui n'est pas fini ! Alors au final, pouvons-nous oui ou non faire confiance aux early access ?