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Autrefois moqué à cause d’une économie de moyens perceptible à l’écran, le Nintendo Direct s’est petit à petit imposé comme un rendez-vous immanquable pour ceux qui s’intéressent de près ou de loin aux productions de la firme de Kyoto. Huit ans après son inauguration, le format qui met en scène les directeurs les plus hauts placés de la compagnie japonaise continue d’apporter son lot d’informations et de surprises directement aux joueurs. Peu cher à produire, efficace dans son approche, le Nintendo Direct se voit aujourd’hui copié par les autres constructeurs, au point où l'on pourrait s'imaginer la disparition des emblématiques conférences pré-E3.
Le RP, ou role-play, a longtemps été cantonné au jeu de rôle papier et peine à se départir auprès du grand public - et même chez certains joueurs - de son image un peu désuète. L'arrivée des RPG dans le jeu vidéo à étendu la notion de role-play pour la rendre plus flexible et, sans que l'on s'en rende compte, sans qu'il y ait besoin de verser dans l'incarnation pure d'un rôle, nous jouons toutes et tous presque sans le savoir RP, même là où l'on s'y attend le moins.
Autrefois champion incontesté du jeu indé sur le marché des consoles, Microsoft a perdu de son influence lors de son virage mal négocié (aboutissant à un tête-à-queue mémorable) sur le chemin sinueux qui mène de la 360 à la One. Face à une concurrence féroce bien décidée à appuyer là où ça fait mal, la firme américaine a dû revoir ses pratiques. Aujourd’hui, l’équipe Xbox semble avoir appris de ses nombreuses erreurs et essaye de (re)nouer des relations saines avec les créateurs.
Pas un jour ne passe dans la sphère "jeu vidéo" en ce mois d'août 2019 sans qu'un événement vienne troubler notre sainte quiétude estivale. Après les récupérations politiques et les dérives du militantisme 2.0, c'est au swatting de faire un retour tonitruant. Bugha, récent champion du monde de Fortnite, fut la victime dimanche 11 août de ce genre de "canular téléphonique". La rédaction de jeuxvideo.com a souhaité revenir sur l'histoire et les origines de ce phénomène contemporain.
Depuis septembre 2018, Nintendo a rejoint Microsoft et Sony au club du online payant. Jusqu'alors proposé gratuitement aux joueurs, le jeu en ligne sur la plupart des titres de la Switch est depuis soumis à un abonnement mensuel compris dans l'offre de services du Nintendo Switch Online. Le constat est similaire du côté de Microsoft avec l'offre Xbox Live Gold et de Sony avec l'abonnement au PS Plus. Cette pratique est aujourd'hui devenue une norme dans l'industrie des consoles, un prérequis quasi-obligatoire pour le joueur souhaitant profiter de ses jeux en mode multijoueur. Justifié par des impératifs financiers du côté des constructeurs, empaqueté dans des formules proposant des contreparties, le online payant a néanmoins bien du mal à conserver sa légitimité lorsque l'on se penche sur la réalité du marché.
Epyon écrivait fin-2017 que le modèle du “jeu service”, désormais réalité sur une poignée de AAA, ne pouvait réussir que s’il mettait d’accord joueurs et actionnaires. Une tâche jugée difficile et qui ne prenait malheureusement pas en compte le facteur typiquement humain qu’est la méfiance. Une fois déçus, les joueurs, que nous sommes tous, avons tendance à montrer les crocs lorsqu’une entourloupe semble se présenter à nouveau... Et ce n’est, à mon avis, pas un hasard si le terme “game as a service” fut si peu prononcé à l’E3 2019, tant il évoque désormais pour le public, à tort ou à raison, quelque chose de péjoratif.
Cela n’a pu vous échapper à moins d’avoir vécu en ermite un semestre durant sans aucun accès à Internet. La vente dématérialisée de jeux vidéo sur PC a connu une petite révolution en décembre dernier lors des Game Awards 2018. Epic Games (éditeur incontournable à l’origine du raz-de-marée Fortnite) a annoncé durant ce show fortement médiatisé le lancement de sa propre boutique en ligne. Cette décision, loin d’être anodine, a le mérite de secouer la fourmilière PC ainsi que certains acteurs dominant. Les joueurs et le marché n’ont pas tardé à (sur)réagir.
En dépit de son statut de divertissement, le jeu vidéo est un média devenu très sérieux. Sa maturité croissante lui permet d'offrir un champ d'expression très étendu aux développeurs, qui peuvent autant marier plaisir ludique à la volonté de véhiculer un message, de raconter une histoire chargée d'émotion, de sens. Et dans la vaste étendue des histoires à raconter, le jeu vidéo, plus proche que jamais du cinéma, semble pourtant trop souvent bouder la comédie, contrairement à une certaine époque.
La Nintendo Switch Lite a été annoncée par Nintendo pour une sortie le 20 septembre 2019. Si nous vous avons déjà communiqué les quelques détails connus, Anagund vous donne son avis sur la machine et sur le public qu'elle semble viser.
Un jeu agréable à prendre en main, cela peut faire toute la différence. Voilà des décennies que les game-designers peaufinent leur art et de nombreuses idées ont été théorisées puis enseignées. Aujourd’hui, rares sont les titres à fauter dans ce domaine et l’on aurait presque tendance à prendre cela pour acquis. De quoi banaliser le génie de certains titres qui, grâce à des contrôles extrêmement bien pensés, réussissent à captiver sans qu’on ne réussisse à comprendre pourquoi.
Cette phrase, nous la devons à Marcin Iwinski, co-fondateur de CD Projekt Red. En avril 2016, celui-ci assumait pleinement la voie empruntée par le désormais célèbre développeur polonais pour sa production de jeux. Que ce soit par leur communication, le traitement de leurs licences ou leur capacité à s’attirer les faveurs du public, CD projekt et Rockstar peuvent difficilement nier la filiation évidente qui semble s’établir entre les deux studios.
Dans l’industrie vidéoludique, un terme fait encore plus débat que les Lootbox, les DLC et autres merveilleuses trouvailles marketing de ces 30 dernières années. Ce mot, c’est évidemment “contenu sponso” que l’on appelle en marketing le Brand Content. Cette évolution de la publicité classique, éradiquée par les bloqueurs de pubs, prend plusieurs formes mais son fond reste le même : louer les services d’un relais d’influence afin d’atteindre sa communauté avec un message précis, contre rémunération. Mais ce modèle, qui a le vent en poupe dans le gaming depuis le début de cette décennie, risque bien d’être sévèrement troublé par un tout nouveau programme installé par le géant du streaming Twitch : le Tableau des Primes.
Dans un E3 2019 dominé par les blockbusters de fin 2019 et début 2020, les jeux indés ont réussi à tirer leur épingle du jeu, avec quelques titres qui ont fait très forte impression, malgré les super-productions diffusées à leurs côtés. De 12 Minutes à Man Eater, retour en vidéo sur ces quelques pépites qui ont fait l'événement et su retenir l'attention des joueurs malgré l'embouteillage ludique à venir !