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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 24hmoins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 an
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Alors qu'elle jouit d'une popularité sans équivalent au Japon, la série des Dragon Quest fait seulement ses premiers pas sur le vieux continent auprès d'un public qui, hier encore, ignorait jusqu'à son existence. Il nous aura tout de même fallu patienter près de 20 ans pour avoir enfin la chance de découvrir ce monument du RPG à travers le huitième épisode de Dragon Quest, alors autant vous dire qu'il est de votre devoir de courir l'acheter toutes affaires cessantes.
Donjons et Dragons est une véritable institution en matière de jeu de rôle papier et les amateurs sont toujours heureux de constater que des RPG sur PC reprennent leur univers fétiche comme ce fut par exemple le cas avec les Baldur's Gate et autres Neverwinter Nights. Cette fois-ci, c'est le genre du MMORPG qui s'y colle avec Stormreach, qui réclame le paiement d'un abonnement d'une quinzaine d'euros par mois TTC (par carte bancaire uniquement). Le titre adopte les règles D&D 3.5 et la campagne Eberron, assez différente de celle des Royaumes Oubliés que l'on a plus l'habitude de voir adaptée sur nos PC.
La vie, c'est comme un champ de batailles, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Sous la terre à peine remuée et les prairies encore verdoyantes, des milliers de petites merveilles peuvent se glisser subrepticement entre votre existence intense et une seconde beaucoup moins intense appelée aussi la mort. Portant des doux noms, ces légères surprises sonnent à vos oreilles telle la cloche du trépas. Embuscades, mines antipersonnel, grenades, pièges de bambou, napalm sont quelques-uns des mystères que peut dissimuler un terrain d'affrontement. Une énumération loin de susciter une folle joie et surtout loin de la boîte de chocolats originelle. Néanmoins, tout cela traité à travers le prisme vidéoludique prend une saveur quelque peu sucrée.
Comme les catastrophes naturelles, le cycle des saisons ou le flux et le reflux, les problèmes dans les titres destinés aux enfants semblent éternels et impossibles à contourner. C'est donc porté par sa destinée qu'Heidi se conforme à cet état des lieux. Non, je ne vous dirai pas si le jeu est bon ou mauvais, et non je ne nous révélerai rien de la trame torturée et mystérieuse. Car Heidi se déguste, se laisse savourer au gré de nombreuses heures de jeu passionnées. Pour rien au monde je ne vous gâcherai la surprise dans ce modeste chapeau, car un bon bol d'air frais des Alpes, c'est toujours un succès comme dirait l'autre.
Après le succès du premier film, il était logique de voir le trio préhistorique de l'Age de Glace rempiler pour un second volet. Ce coup-ci, leurs aventures s'accompagnent aussi d'une gamme complète de jeux vidéo, touchant bien évidemment les deux consoles portables de Nintendo. Coup d'oeil ici sur la version DS.
Se déroulant dans un univers orienté cyber-punk que n'aurait pas renié Philip K. Dick, Aeon Flux nous narre l'histoire d'Aeon Flux justement, une guerrière faisant partie d'un groupe de rebelles nommés les Monicans. Décidés à renverser l'ordre autocratique régnant sur Bregna, ces derniers devront terrasser les Breens, principaux accusés dans cette exploitation du malheur. Car, évidemment, les hommes n'ont pas forcément beaucoup le sens de l'humour durant les longues années suivant une catastrophe industrielle ayant causé des morts par milliards. Pourtant, au fil du jeu, on sent quelque peu un esprit chafouin planer sur les immeubles décrépis et les landes métalliques. Charlize Theron est effectivement très jolie mais ça ne l'empêche pas de nous faire rire. Surtout quand elle prend le rôle de la dernière des Monicans.
Panzer Elite change totalement d'orientation et s'est totalement métamorphosé pour cette suite. De simulation, on passe désormais à un jeu purement arcade privilégiant l'action au réalisme. Le joueur est mis aux commandes d'un char d'assaut pendant la Seconde Guerre mondiale et n'aura qu'un but : détruire tout ce qui bouge.
Chantre valable du développement allemand aux côtés des vieux briscards de Blue Byte, Phenomic Studio aborde désormais la seconde étape de son parcours. Spellforce s'est affranchi de ses grosses références, Warcraft 3 et Sacrifice en tête, pour devenir à son tour influent. Mais le temps passe et le mélange entre jeu de rôle et stratégie n'est désormais plus aussi étincelant qu'il y a 3 ans. On se demande donc quelle voie de sortie le studio germanique a décidé d'emprunter pour faire monter en puissance sa série en devenir.
Faisant partie de la dernière fournée de RPG sortis au Japon avant la disparition violente de la Super Nes, Tales Of Phantasia est donc l'un de ces titres majeurs qui donnent une dernière image lumineuse d'une console en fin de vie. Associé au sublime et inégalé Star Ocean, tout du moins dans le domaine de la 2D, le titre de Namco fut un ambassadeur de choix pour la firme qui démontra tout son potentiel dans la création d'univers riches et particulièrement attachants. Ce n'est de fait pas pour rien que cet ancêtre des Tales Of fut une première fois adapté sur PSone agrémenté d'une scène d'ouverture animée, puis inséré dans une valeureuse GBA qui ne demandait que ça. C'est donc trois ans après la version japonaise que la légende s'inscrit enfin chez nous. L'attente en valait-elle le coup ? Yggdrasil connaît la réponse.
Top Spin arrive pour la première fois sur Nintendo DS, et c'est face à une concurrence inexistante pour le moment que le titre de PAM va tenter de s'imposer auprès des amateurs de tennis. Mais ne vous laissez pas tromper par ses attraits visuels, car le jeu souffre en contrepartie de grosses lacunes techniques qui suffisent à ruiner son gameplay.
Dans le paysage vidéoludique international, deux héros représentatifs de lointains conflits demeurent dans le coeur de nombreux joueurs ayant entamé leur carrière dans les années 80. Leurs noms, à défaut d'être originaux, sont les fondements d'un loisir désormais tentaculaire : Mario et Sonic. Un plombier et un hérisson. Mais qu'est ce qu'on mangeait à l'époque ? On devait avoir de grosses absences psychologiques pour s'immerger dans des titres proposant de telles figures de proue. Néanmoins, ces énergumènes ont participé à la légende du jeu vidéo et sont devenus des mythes de pixels. Oeuvrant dans de nombreuses strates, c'est aujourd'hui dans une compilation que nous retrouvons la bête à la fourrure bleue et à la vitesse supersonique. Baptisé Sonic Mega Collection Plus, ce recueil est le pendant direct de la version Gamecube sans le plus. Mais pourquoi donc ?
Un incendie s'est déclaré dans un bâtiment de la ville. Les pompiers se déploient sans perdre une seconde. Peu de temps après, la police intervient pour établir une déviation et le S.A.M.U. se rend aussi sur place pour s'occuper des blessés. Voici une mission type que vous aurez à mener dans Emergency 4 qui, à la différence de la série des Fire Department, ne se limite pas aux soldats du feu mais vous fait aussi contrôler les autres services de secours.
Alors que certains pensaient déjà à une épitaphe pour la tombe de Lara, Eidos réorganisait ses troupes en limogeant Core Design pour faire du gringue à Crystal Dynamics. La suite on la connaît. Toby Gard, le père de Lara, est rappelé à la rescousse avec pour mot d'ordre de remettre la série sur les rails de la qualité et de l'aventure avec un grand A. Cette collaboration détonante a désormais un nom, Tomb Raider Legend, et si le résultat n'est pas dénué de défauts, c'est bel et bien la satisfaction qui transparaît le plus lorsqu'on découvre cette septième aventure de Lara.
Réclamé à cors et à cris par tous les possesseurs de GameCube, le bien étrange Animal Crossing avait fini par être distribué sur notre territoire, bien après la version japonaise, faisant ainsi des milliers d'heureux. Cette fois, avec Animal Crossing : Wild World sur DS, c'est un monde en perpétuelle évolution que vous aurez l'impression de tenir dans le creux de votre main.
Pendant que Splinter Cell Double Agent se fait désirer, Sam Fisher tente une percée sur PSP. Une tentative hautement périlleuse dont l'agent ne sort pas indemne, probablement à cause du temps qu'il passe à se cogner contre les murs dans un jeu résolument obscur, au sens strict du terme.
Alors que certains pensaient déjà à une épitaphe pour la tombe de Lara, Eidos réorganisait ses troupes en limogeant Core Design pour faire du gringue à Crystal Dynamics. La suite on la connaît. Toby Gard, le père de Lara, est rappelé à la rescousse avec pour mot d'ordre de remettre la série sur les rails de la qualité et de l'aventure avec un grand A. Cette collaboration détonante a désormais un nom, Tomb Raider Legend, et si le résultat n'est pas dénué de défauts, c'est bel et bien la satisfaction qui transparaît le plus lorsqu'on découvre cette septième aventure de Lara.
Alors que certains pensaient déjà à une épitaphe pour la tombe de Lara, Eidos réorganisait ses troupes en limogeant Core Design pour faire du gringue à Crystal Dynamics. La suite on la connaît. Toby Gard, le père de Lara, est rappelé à la rescousse avec pour mot d'ordre de remettre la série sur les rails de la qualité et de l'aventure avec un grand A. Cette collaboration détonante a désormais un nom, Tomb Raider Legend, et si le résultat n'est pas dénué de défauts, c'est bel et bien la satisfaction qui transparaît le plus lorsqu'on découvre cette septième aventure de Lara.
Alors que certains pensaient déjà à une épitaphe pour la tombe de Lara, Eidos réorganisait ses troupes en limogeant Core Design pour faire du gringue à Crystal Dynamics. La suite on la connaît. Toby Gard, le père de Lara, est rappelé à la rescousse avec pour mot d'ordre de remettre la série sur les rails de la qualité et de l'aventure avec un grand A. Cette collaboration détonante a désormais un nom, Tomb Raider Legend, et si le résultat n'est pas dénué de défauts, c'est bel et bien la satisfaction qui transparaît le plus lorsqu'on découvre cette septième aventure de Lara.
La chaîne de télévision enfantine Nickelodeon poursuit son exploitation massive de ses vedettes en tentant cette fois une autre approche. Plutôt que d'offrir à chacune de ses stars un jeu à part entière, c'est embarqués dans la même galère que les héros de dessins animés se trouvent réunis. Et "galère" est bien le mot qui convient.
La chaîne de télévision enfantine Nickelodeon poursuit son exploitation massive de ses vedettes en tentant cette fois une autre approche. Plutôt que d'offrir à chacune de ses stars un jeu à part entière, c'est embarqués dans la même galère que les héros de dessins animés se trouvent réunis. Et "galère" est bien le mot qui convient.
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Bob l'Eponge et ses Amis : Un pour Tous, Tous pour Un !