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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 24hmoins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 an
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Le Mal est immortel et revient quand on s'y attend le moins. Alma, elle, mettait déjà les pendules à l'heure en 2006 en affichant sa volonté de réduire le monde à l'état de cendres. Cinq ans plus tard, la turbulente fillette n'a pas lâché un pouce de terrain et se montre même plus véhémente que jamais. L'ambiance devient dès lors apocalyptique tout en étant synonyme de troisième épisode plus énergique. Pour autant, John Carpenter est là pour assurer une certaine respectabilité au scénario mais le résultat est-il finalement à la hauteur ? Les lignes ci-dessous vous livrent quelques clés pour vous permettre d'y voir plus clair.
Il y a encore à peine quatre ans, on croyait dur comme fer que la licence Street Fighter avait été abandonnée au fin fond d'un tiroir. Finalement, la célèbre série de jeux de baston nous est revenue plus en forme que jamais et Capcom a renoué avec ses bonnes vieilles habitudes consistant à pondre une succession de versions différentes de son bébé. Après l'ajout d'un « Super » l'année dernière, c'est au tour de l'édition « Arcade » de parader fièrement sur nos consoles.
Il y a encore à peine quatre ans, on croyait dur comme fer que la licence Street Fighter avait été abandonnée au fin fond d'un tiroir. Finalement, la célèbre série de jeux de baston nous est revenue plus en forme que jamais et Capcom a renoué avec ses bonnes vieilles habitudes consistant à pondre une succession de versions différentes de son bébé. Après l'ajout d'un « Super » l'année dernière, c'est au tour de l'édition « Arcade » de parader fièrement sur nos consoles.
Après nous avoir conté la jeunesse de William Shakespeare et la genèse de son Roméo et Juliette dans un jeu d'objets cachés paru récemment, Daedalic nous revient et conserve une recette similaire avec Immortal Lovers. Place cette fois-ci à une romance adolescente vraiment peu acidulée...
Des jeux de gestion, il y en a eu de tout temps portant sur à peu près tous les sujets possibles et imaginables, sur consoles ou PC. Un seul regard à la série des Tycoon et à ses myriades d'itérations dans tous les domaines possibles suffira à nous en convaincre. En fait jusqu'ici, un des seuls domaines qui n'avait jamais été abordé, et il faut bien avouer que c'est un comble, c'était le développement de jeux vidéo. Et c'est Kairosoft, studio japonais encore méconnu chez nous, qui s'est lancé dans cette grande aventure. Si vous rêviez de pouvoir créer vos propres jeux, d'être confrontés à la critique féroce des journaux spécialisés et de participer à des salons, alors Game Dev Story est sans aucun doute fait pour vous.
Débarqué sur bornes d'arcade en 1983, époque où ces grosses machines étaient les principales sources vidéoludiques des joueurs, l'équipe de Cinematronics impressionne avec Dragon's Lair, un projet à l'idée plutôt originale : nous faire suivre un dessin animé interactif. Au fil des années le jeu a continué de vivre dans le cœur des nostalgiques, et son succès l'a amené à être porté sur différentes consoles. Place ici à la version Mega-CD.
Des jeux de gestion, il y en a eu de tout temps portant sur à peu près tous les sujets possibles et imaginables, sur consoles ou PC. Un seul regard à la série des Tycoon et à ses myriades d'itérations dans tous les domaines possibles suffira à nous en convaincre. En fait jusqu'ici, un des seuls domaines qui n'avait jamais été abordé, et il faut bien avouer que c'est un comble, c'était le développement de jeux vidéo. Et c'est Kairosoft, studio japonais encore méconnu chez nous, qui s'est lancé dans cette grande aventure. Si vous rêviez de pouvoir créer vos propres jeux, d'être confrontés à la critique féroce des journaux spécialisés et de participer à des salons, alors Game Dev Story est sans aucun doute fait pour vous.
Tels de gigantesques lemmings en métal aux tendances transformistes, les Autobots et les Decepticons viennent régulièrement nous envahir depuis qu'Hollywood a décidé de porter la série sur les écrans de cinéma. Et pour ça, on peut maudire l'industrie cinématographique.
Tels de gigantesques lemmings en métal aux tendances transformistes, les Autobots et les Decepticons viennent régulièrement nous envahir depuis qu'Hollywood a décidé de porter la série sur les écrans de cinéma. Et pour ça, on peut maudire l'industrie cinématographique.
Pour beaucoup de petits studios, ou même pour certains amateurs, on peut dire que l'App Store représente le chemin le plus simple pour entrer dans la grande famille des développeurs de jeux vidéo. Et si l'expérience n'est pas toujours concluante, c'est pourtant le cas pour Miniclip. Un système de jeu simple au départ, mais qui peut vite se révéler assez technique, avec une multitude de niveaux, voici le menu du très accrocheur Fragger.
Tous les genres de jeux vidéo ou presque, sont dominés par un titre ou une série référence. En ce qui concerne les FPS multijoueurs, c'est sans conteste Counter Strike qui s'impose en référence du genre, en laissant très peu de place à la concurrence. Toutefois, certains titres essaient de tirer leur épingle du jeu, Urban Terror fait partie de cette catégorie...
Si l'été amène toujours son lot de blockbusters hollywoodiens, on a aussi l'habitude de voir poindre des adaptations sur nos consoles, qui n'en demandaient pas tant. Une chose est sûre, Transformers 3 : La Face Cachée de la Lune, c'est comme au cinoche.
Si l'été amène toujours son lot de blockbusters hollywoodiens, on a aussi l'habitude de voir poindre des adaptations sur nos consoles, qui n'en demandaient pas tant. Une chose est sûre, Transformers 3 : La Face Cachée de la Lune, c'est comme au cinoche.
Petite perle vidéoludique encensée par la critique lors de sa sortie, Beyond Good & Evil a pourtant constitué un échec commercial pour Ubisoft. Mais loin de disparaître tristement du paysage comme d'autres jeux avant lui, le sublime bébé de Michel Ancel (Rayman) a au contraire été l'objet d'un vigoureux bouche à oreille, les fans étant manifestement déterminés à ce que leur titre fétiche ne soit pas oublié. Aussi, Ubisoft s'est-il finalement décidé à offrir une seconde chance à BGE. Un léger lifting graphique sans aucune modification de gameplay, et hop, le bougre se retrouve désormais en téléchargement sur PS3 et 360, le tout à un prix raisonnable. Ne reste plus maintenant qu'à prier pour que le titre rencontre enfin le succès qu'il mérite.
En 1996, Ubisoft fait un petit plaisir aux jeunes enfants : Pouce-Pouce Sauve le Zoo. Portée par l'intrépide petite décapotable violette et son bruyant chien Peps, cette aventure au paradis des animaux, loin d'être de tout repos, nous offre un agréable moment.
C'est l'été, le soleil recommence à darder de ses rayons les toitures humides de nos belles chaumières et il devient très urgent de brûler les calories superflues. Virtuellement tout du moins car Sports Island 3D, tout en se présentant sous la forme d'une compilation de mini-jeux classique, n'est évidemment pas de la trempe des jeux qui vous font transpirer. En effet, la 3D c'est bien joli, mais ça a tout de même quelques limites. Ici, les efforts consentis seront donc minimaux, à l'image du développement, lui aussi assez paresseux.
Environ un an après avoir ébloui les joueurs iPhone avec le RPG Chaos Rings, Square Enix a décidé de remettre le couvert en publiant Chaos Rings Omega. Préquelle du précédent épisode, ce nouvel opus parviendra-t-il à nous faire vibrer aussi intensément ?
Lorsque les créateurs de Resident Evil et de No More Heroes s'allient pour créer une nouvelle licence, il serait complètement hérétique de ne pas s'intéresser au projet. Cette équipe de choc a fini par accoucher de Shadows of the Damned, un jeu d'action/horreur au style plutôt déjanté.
Daedalic Entertainment et Prime Games s'intéressent cette fois à l'histoire de Robin des Bois, et nous la transposent dans un jeu d'objets cachés hélas aussi peu inspiré que les précédents jeux du même genre.
Imaginé par la talentueuse équipe de Level-5 à la toute fin de l'année 2008 au Japon, le premier White Knight Chronicles semblait promettre monts et merveilles pour finalement s'avérer n'être qu'un RPG de modeste envergure. Ceux qui avaient cru en lui furent même contraints de ravaler leur enthousiasme en constatant que le studio japonais leur avait servi un produit clairement inachevé.