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Test Daemon X Machina : une déception à la mesure de l'attente suscitée

Daemon X Machina : le jeu rêvé des fans de mechas... sur le papier seulement

16 047 vues
Profil de Epyon,  Jeuxvideo.com
Epyon - Journaliste jeuxvideo.com

Souvenez-vous. L’E3 2018 n’avait pas encore vraiment commencé ; la plupart des grands éditeurs avaient déjà fait feu de tout bois avec leurs conférences et ne restait plus que Nintendo, qui devait dévoiler son planning de jeux avec un énième Nintendo Direct. Alors qu’on attendait Super Smash Bros. Ultimate et Metroid Prime 4, le constructeur japonais surprit tout le monde en ouvrant son événement vidéo par la bande-annonce d’un jeu de mechas aussi coloré que pêchu. De quoi emballer automatiquement tous les amoureux de gros robots japonais, à commencer par votre serviteur, qui depuis ce 12 juin 2018 attendait Daemon X Machina comme le messie. On ne s’imaginait pas que le titre pourrait tant nous décevoir.

Les jeux de mechas ne manquent pas au pays du soleil levant. Les Japonais en sont friands et que ce soit chez eux, dans le métro ou dans les salles d’arcade, il y a l’embarras du choix. C’est moins vrai pour les pauvres occidentaux que nous sommes, et c’est probablement pour cette raison que Daemon X Machina, destinée à une sortie mondiale grâce à Nintendo, a alimenté bien des fantasmes d’otakus en manque de mech-porn. Bon, le mecha-design signé Shoji Kawamori (Vision d’Escaflown, Macross, Aquarion, Patlabor…) a sans doute joué un rôle également, soyons honnêtes. Mais après une première démo publique peu convaincante, puis une seconde prise en main qui nous avait laissés dubitatifs, Daemon X Machina avait fort à faire pour nous rassurer, et s’imposer comme le Sauveur, celui qui parviendrait à relancer les jeux de mechas partout à travers le monde. Après une quarantaine d’heures de jeu, nous devons hélas nous rendre à l’évidence : ce n’est pas pour demain.

On s’est fait marcher dessus par la Lune

Daemon X Machina : une déception à la mesure de l'attente suscitée
Bruce Willis n'a rien pu faire.

Daemon X Machina pose rapidement son scénario, que l’on résumera de la façon suivante : il y a de cela plusieurs centaines d’années, un morceau de Lune est parti faire un tour et, subitement séduit par la très attractive planète Terre, a fini sa course sur les figures de bien des milliards de personnes, qui s’en sont retrouvées tout décédées. Un événement fâcheux, mais pas moins que celui qui a suivi, à savoir l’irrépressible envie des intelligences artificielles de la planète de se la jouer Skynet, et d’entreprendre l’éradication froide et méthodique des quelques survivants qui tentaient de recoller les morceaux. Depuis, de nombreux groupes de mercenaires ont vu le jour et mettent leurs talents et leurs mechas au service d’un gouvernement plus ou moins centralisé ; ensemble, ils combattent les Immortals, les IA qui ont pris possession de corps mécanisés d’envergure diverse, du petit drone pour YouTuber à l’araignée sauteuse de la taille d’un village périgourdin.

Daemon X Machina : une déception à la mesure de l'attente suscitéeDaemon X Machina : une déception à la mesure de l'attente suscitéeDaemon X Machina : une déception à la mesure de l'attente suscitée
Daemon X Machina : une déception à la mesure de l'attente suscitée
Ces dialogues fatiguent vite.

Voilà pour les bases du scénario, qui explique soit dit en passant la structure assez mécanique du jeu. Le joueur, qui incarne l’un de ces mercenaires, a accès dès le début de l’aventure à son quartier général personnel (pas mal, pour un débutant), à partir duquel il peut accepter un premier contrat, qui lance une mission. Cela lui donnera accès à un second contrat, puis un troisième, et ainsi de suite. Après plusieurs heures, il aura également accès à quelques missions secondaires, qui soit dit en passant sont assez souvent des redites des missions principales, et dont l’intérêt est assez limité. Dans sa structure même, Daemon X Machina est assez répétitif : on choisit une mission, on a droit à un petit briefing par Four, l’IA du gouvernement, puis on participe à la mission. Le tout est régulièrement entrecoupé de dialogues interminables entre les différents PNJ, sous la forme d’écrans fixes façon messagerie instantanée. De temps à autre, on a droit à une petite cinématique, mais hormis celles qui mettent en scène des passes d’armes, elles aussi peinent à passionner. Il faut dire que Daemon X Machina est bavard, très bavard, dans le même temps qu’il reste assez silencieux sur les points qui permettraient de faire rebondir correctement son intrigue. On finit par zapper les dialogues qui font intervenir tous les archétypes de personnages de la japanimation : le vieux soldat bourru qui a tout vécu et qui est donc respecté par ses collègues les plus jeunes ; le taciturne mystérieux qui n’aime personne et qui, de toute façon, travaille mieux en solo ; la gothique qui veut tuer tout le monde, parce que bon, faut bien justifier le costume de vampire ; le petit rigolo qui n’est pas très doué mais qui en veut ; j’en passe, et pas forcément des meilleurs. Cet empilement de clichés lasse et agace rapidement, à tel point que l’on a bien du mal à s’intéresser aux personnages, qui ne font aucun effort en multipliant les répliques idiotes et les réflexions pseudo-philosophiques, à une cadence qui frôle le ridicule. Les fans d’animation japonaise sauront toutefois reconnaître et apprécier les voix de seiyus de légende, et notamment celles de Toru Furuya et Shuichi Ikeda, les doubleurs d’Amuro Ray et de Char Aznable (Mobile Suit Gundam), qui font rapidement une entrée remarquée dans Daemon X Machina. C’est là tout le problème du titre qui, sur les mêmes composantes, réussit à proposer des choses extrêmement bien fichues, et d’autres qui tombent complètement à côté.

Daemon X Machina : une déception à la mesure de l'attente suscitéeDaemon X Machina : une déception à la mesure de l'attente suscitéeDaemon X Machina : une déception à la mesure de l'attente suscitée

Mou-bile Suit Gundam

Daemon X Machina : une déception à la mesure de l'attente suscitée
Contrôler l'Arsenal est vraiment plaisant. Tirer, beaucoup moins.

Il en va hélas de même pour son gameplay, qui nous a passionnés autant qu’il nous a fatigués. Si l’on ressent vaguement les inspirations d’Armored Core (plusieurs développeurs ont travaillé sur la série), Daemon X Machina se veut autrement plus accessible, en misant sur le dynamisme des déplacements. Les contrôles du vol se prennent très vite en main et l’on a adoré la possibilité de se déplacer en glissant à même le sol, à la manière d’un Dom de Gundam. On glisse, on tire, on s’envole, on envoie une pluie de missiles, puis on pique vers la cible que l’on achève d’un énorme coup d’épée : souvent, le gameplay de Daemon X Machina fonctionne extrêmement bien et grâce à ses contrôles, il est possible qu’il séduise de nombreux fans d’anime real robot. Le jeu de Marvelous sait à qui il s’adresse et il multiplie les références et les clins d’œil plus ou moins discrets dans la façon de chorégraphier ses affrontements. Sur de nombreuses séquences, Daemon X Machina est très fidèle à ce que l’on a pu voir dans les premières bandes-annonces, avec des phases de combat pleines d’énergie, dans lesquelles on est amené à utiliser toutes les possibilités offertes par son Arsenal. Malheureusement, le feeling, lui, n’est pas toujours au rendez-vous.

Daemon X Machina : une déception à la mesure de l'attente suscitée
Les combats manquent cruellement d'intérêt en début de partie.

Il faut dire que Daemon X Machina peut parfois faire preuve d’une mollesse frustrante. À cela, plusieurs raisons. La plus évidente à notre sens, c’est le sound-design d’une partie des armes, qui est complètement raté. C’est plat, froid, et ça manque de patate, à tel point qu’il rend les combats vraiment ennuyeux. Cela s’améliore avec le temps, mais l’on y reviendra. L’autre raison, c’est le système de verrouillage des ennemis, un terme que l’on utilisera faute de mieux, puisque dans les faits, il n’y a pas vraiment de verrouillage dans Daemon X Machina, en tout cas pas au sens où on l’entend habituellement dans le jeu vidéo. Explication : votre Arsenal peut cibler un ennemi, ce qui se matérialise sur le HUD par un cube rose qui signifie que lorsque vous tirez, vous pouvez toucher l’ennemi en question. Seulement voilà, c’est tout ce que fait ce système de verrouillage : il n’a aucune influence sur vos déplacements et si l’ennemi bouge, sort du cadre de l’écran, il faut replacer son réticule de visée de manière à pouvoir continuer à le canarder. Ce n’est pas vraiment un problème contre les ennemis de base, qui sont assez peu mobiles. En revanche, c’est une autre paire de manches contre d’autres Arsenaux, qui ont d’ailleurs l’agaçante capacité de dasher hyper vite, hyper loin. De fait, trop souvent, on cherche ses ennemis, on tente de déplacer correctement son réticule de visée, ce qui casse le rythme des affrontements et surtout montre les limites du système qui manque cruellement de précision.

Daemon X Machina : une déception à la mesure de l'attente suscitéeDaemon X Machina : une déception à la mesure de l'attente suscitéeDaemon X Machina : une déception à la mesure de l'attente suscitée

Ces lacunes empêchent Daemon X Machina d’atteindre son plein potentiel, que l’on perçoit pourtant de temps à autre, notamment dans le dernier tiers du jeu, ou à l’occasion des combats de boss. D’une taille absolument phénoménale, ces boss sont des sacs à PV que l’on mitraille pourtant avec plaisir pendant des dizaines de minutes, sans jamais se lasser. Cela rappelle par moments Monster Hunter, à ceci près que les déplacements sont amusants, et que l’on pilote le robot surarmé le plus cool de la planète. Des moments de ce genre, Daemon X Machina en offre trop peu, et c’est bien dommage : le reste des missions est d’un classicisme à toute épreuve et les objectifs comme les retournements de situation sont souvent les mêmes. Rien de bien grave, dans l’absolu, puisque le jeu a tout de même réussi à nous divertir, mais il est évident qu’il pour les profanes, il sera bien difficile de trouver dans Daemon X Machina la moindre trace de fun. Ici, le plaisir vient d’abord de la possibilité de piloter un beau mecha, et de le voir évoluer un peu plus à chaque mission. Et là, pour le coup, le titre de Marvelous s’en sort extrêmement bien.

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Mon mech à moi

Daemon X Machina : une déception à la mesure de l'attente suscitée
Je le dis sans honte : je suis vraiment fier de mon Arsenal.

Vous le savez probablement, Daemon X Machina propose un système de customisation assez évolué, qui permet de façonner au fil des combats le mecha de vos rêves. Tête, corps, bras gauche, bras droit, et jambes peuvent ainsi être personnalisés en fonction de vos trouvailles sur le terrain de bataille, de même pour l’armement. Car en effet, il faut éliminer d’autres Arsenaux pour ensuite aller looter leurs carcasses : c’est ainsi qu’on peut ramasser une nouvelle tête, un nouveau mitrailleur ou un lance-roquette flambant neuf. Forcément, à chaque fois que l’on voit un ennemi tomber à terre, on ressent une petite excitation : « Qu’est-ce que je vais trouver cette fois-ci ? » se demande-t-on. La chose est parfaitement aléatoire, comme on a pu s’en rendre compte en recommençant plusieurs fois cette mission. Éliminer un puissant mercenaire peut être l’occasion de mettre la main sur les jambes renforcées qui vous faisaient de l’œil, comme ramasser les bras qui vous faisaient déjà moins rêver. C’est plutôt bien fichu et l’on a apprécié de pouvoir bâtir, au fil des heures, un mecha toujours plus classe. Il faut dire que Kawamori a fait de l’excellent boulot, en proposant des designs qui évoque tant Front Mission que Macross ou bien évidemment Armored Core. Pour peu que vous soyez fan de gros robots japonais, Daemon X Machina devrait vous ravir les mirettes.

Daemon X Machina : une déception à la mesure de l'attente suscitéeDaemon X Machina : une déception à la mesure de l'attente suscitéeDaemon X Machina : une déception à la mesure de l'attente suscitée

À noter qu’il est aussi possible de glaner ça et là de nouveaux types de revêtement et quelques stickers, grâce à vos exploits mais aussi en retrouvant ça et là sur la map des graffitis qui viendront enrichir votre base de données, et multiplieront les possibilités de look, même si l’on n’aurait pas craché sur quelques pièces supplémentaires, surtout que certaines jambes se ressemblent beaucoup.

Daemon X Machina : une déception à la mesure de l'attente suscitée
On se sent de plus en plus invincible, au fur et à mesure que l'on construit son Arsenal.

Cette customisation n’est pas que visuelle puisqu’elle influe sur une liste impressionnante de statistiques ; chaque modification a donc un impact sur les performances de votre mecha. Très honnêtement, cette longue liste nous a paru un tant soit peu artificielle, et l’on a fini par se concentrer uniquement sur une poignée d’entre elles, dont la santé et la distance de ciblage des ennemis. Pour autant, construire son Arsenal a quelque chose de vraiment satisfaisant et autant dire qu’en fin de partie, nous étions vraiment fiers de notre mecha. Massif, lourdement armé, mais aussi assez lent, il offrait un gameplay bien différent de ce à quoi nous avait habitués le début du jeu. Un gros fusil-mitrailleur pour le menu fretin, une épée pour le combat au corps-à-corps, deux lance-roquettes, et un énorme module de lance-missiles, façon ogres de Staline : un équipement à faire pâlir d’envie un Heavyarms Custom, qui donnait à notre Arsenal des allures d’orge de Staline à deux pattes. En évoluant, votre Arsenal permet de jouer et de s’amuser autrement et c’est attendu d’un jeu de ce genre ; mais on ne peut s’empêcher de regretter qu’il faille attendre autant de temps avant de profiter pleinement de ce qu’a à offrir Daemon X Machina. Dans l’immédiat, on dira que le titre commence à devenir vraiment amusant à partir des missions de rangs B, ce qui est assez tardif.

Police du framerate, vos papiers s’il vous plaît

Daemon X Machina : une déception à la mesure de l'attente suscitée
En fonction des environnements, le jeu connaît quelques belles chutes de framerate. Pourtant le jeu n'est pas très beau, techniquement parlant.

Difficile de conclure ce test sans s’arrêter un instant sur la dimension technique du titre, qui, vous vous en doutez, pêche un peu. On s’en était déjà rendu compte sur la démo parue en début d’année, Daemon X Machina peine à conserver un framerate constant. C’est nettement mieux qu’en janvier dernier, mais encore aujourd’hui, le jeu perd en fluidité dès lorsque l’on fait face à un gros ennemi, ou que l’écran est envahi d’ennemis et d’effets de lumière. Ce qui agace un peu, a fortiori parce que le jeu n’est pas particulièrement impressionnant, avec des niveaux assez peu chargés, un clipping prononcé et une distance d’affichage maigrelette. Toujours dans l’idée de ne pas surchauffer la petite Switch, Marvelous a opté pour une direction artistique très élégante mais surtout peu gourmande en ressource. Si on peut faire des reproches à la technique de Daemon X Machina, en revanche, on saluera cette direction artistique faite de peu de nuances de couleurs, mais plutôt de grands aplats et de contrastes très élevés. Cela donne un style inimitable à Daemon X Machina, dans le même temps que cela le rend suffisamment lisible pour suivre l’action sans difficulté. C’est un détail qui nous avait inquiétés au moment de notre preview et qui nous a plutôt rassurés lors de notre test, après plusieurs heures de jeu. Le HUD, plutôt chargé, peut être customisé via les options du jeu, ce qui se montrera salutaire si jamais vous décidiez d’y jouer uniquement en mode portable.

Points forts

  • Une vraie direction artistique
  • Design des Arsenaux vraiment réussis
  • Contrôler son Arsenal est vraiment plaisant
  • Le système de customisation et la sensation d’évolution qui l’accompagne
  • Doublages japonais de qualité
  • Une OST un peu passe-partout mais super efficace

Points faibles

  • Vraiment faible techniquement
  • Répétitif
  • Le système de « verrouillage » fonctionne pour certains ennemis… et pas du tout pour les plus dangereux
  • Sensations de shoot vraiment trop plates pour être satisfaisantes
  • Scénario qui finit vite par agacer, car peu intéressant et coupant trop souvent le joueur
  • On s’ennuie poliment pendant les deux premiers tiers du jeu

Daemon X Machina est un jeu frustrant. Parce qu’il y a de nombreuses choses qu’il fait plutôt bien, et parce qu’il sait comment faire plaisir aux fans de mechas, son cœur de cible. Mais le titre de Marvelous se prend les pieds dans une narration vite insupportable et des phases de combat inégales, où les contrôles hyper satisfaisants sont rattrapés par quelques imprécisions de gameplay et surtout la mollesse des sensations de tir. Difficile de ne pas être déçu puisque Daemon X Machina avait tout pour devenir le jeu ultime des amoureux de real robot. Mais puisqu’il ne réussit pas à capitaliser sur ses bonnes idées, il se contentera d’être un petit jeu aussi répétitif qu’imparfait, qui, on l’espère, posera les bases d’une suite plus réussie. Allez, on croit en vous Marvelous.

Note de la rédaction

12
15.1

L'avis des lecteurs (35)

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