E3Find Your Next GamegamescomGDCQuakeConTokyo Game ShowAGDQBlack FridayBlizzConBrasil Game ShowCESComic-ConESWCGamers AssemblyJapan ExpoKakutop FRKAKUTOP LeagueMineconParis Games WeekPAX EastPlayStation ExperienceSoldesStunfestToulouse Game Show
Voilà plus de 10 ans que Left 4 Dead 2 est sorti. Depuis, plus aucun signe de vie de la licence. D’autres titres comme Warhammer Vermintide ont tenté de s’engouffrer dans la brèche pour combler le vide laissé par le shooter de Valve. C’est désormais Turtle Rock Studios, studio à l’origine du premier Left 4 Dead qui reprend le flambeau en proposant ni plus ni moins qu’une suite spirituelle à ce FPS coopératif phare des années 2000.
Il y a de cela deux semaines, nous avions été conviés à une conférence en ligne présentant la campagne du prochain Call of Duty, sous-titré Black Ops Cold War. Si le contexte historique avait de quoi nous enthousiasmer, difficile de nous prononcer sur les sensations procurée par le titre de Treyarch sans l’avoir pris en main. C’est désormais chose faite, car nous avons pu nous essayer au multijoueur de ce nouvel opus pendant près de 3 heures afin de vous délivrer nos premières impressions. Si Modern Warfare était l’opus de la rupture et du retour aux sources, Black Ops Cold War semble être celui de la continuité.
“C’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures confitures” pourrait être le slogan de ce 17ème épisode de la franchise Call of Duty. Après avoir rebooté Modern Warfare, d’une très bonne manière, réconciliant par la même occasion les curieux avec la saga, Activision et ses studios s’attèlent désormais à donner une suite à Call of Duty Black Ops, l’un des opus les plus emblématiques. Call of Duty Black Ops : Cold War aura donc la lourde tâche de passer après un excellent titre, et de satisfaire les joueurs en cette période difficile de pandémie mondiale, une situation qui a évidemment affecté le travail des équipes…
Désormais bien installé dans de nombreux genres de jeux compétitifs, notamment dans le FPS Tactique avec l’excellent Rainbow Six Siege, Ubisoft n’avait toujours pas son propre Battle Royale. C’est désormais chose faite grâce à Hyper Scape. Si elle n’entend pas révolutionner la formule, cette nouvelle propriété intellectuelle itère et tente de perfectionner le genre phare de la fin de la décennie précédente. Nous avons pu nous essayer au titre pendant plusieurs heures, de quoi enchainer quelques parties. Entre inspirations flagrantes et level design d’une efficacité redoutable, le dernier né du mastodonte français à de sacrés arguments à faire valoir.
C’est au cours de l’EA Play Live que Rocket Arena officialise son partenariat avec EA. Si le titre avait déjà été révélé et avait profité d’une beta fermée par le passé, nous avons pu nous essayer à une build proche de la version finale prévue sur nos machines le 14 juillet prochain. Ce hero-shooter en arène entend bien cocher toutes les cases du genre en proposant ce qu’il faut de contenu et de modes de jeu pour satisfaire les joueurs avides de compétition. A-t-il ce qu’il faut dans le ventre pour se frotter aux mètres étalons désormais bien installés du jeu de tir en arène ?
Les jeux de rythme, s’ils existent au sein d’un genre à part entière, prêtent régulièrement leurs mécaniques festives à des styles qui en sont habituellement dépourvus. C’est ainsi que nous avons appris à nous déplacer en battant la mesure dans certains Roguelike (Crypt of the Necrodancer) et autres Shoot’em up (Beat Hazard). En ce premier semestre de l’année 2020, le rythme a jeté son dévolu sur le First Person Shooter. Après Gun Jam ou encore BPM : Bullets Per Minute, Metal : Hellsinger espère lui aussi plonger l’utilisateur mélomane dans l’enfer du juste tempo et du metal. Qu’il en soit ainsi.
Second DLC à sortir pour Borderlands 3, après le sympathique "Casse du Beau Jackpot", Flingues, Amours et Tentacules, nous invite à célébrer l'amour entre deux personnages récurrents dans l'univers de Borderlands : Sir Alistair Hammerlock et Wainwright Jakobs. Vous êtes en effet invité à un mariage qui s'annonce tout sauf conventionnel. À vrai dire, cette nouvelle aventure lorgne plus du côté de l'Appel de Cthulhu que de Love Actually. Et c'est tant mieux.
Nous avons été invités à la mi-janvier à Los Angeles pour tester Valorant, nom de code “Project A” dans les locaux de Riot Games, studio à l’origine de League of Legends et d’une flopée de projets depuis six mois. Présenté pendant quelques heures en long en large et en travers, Valorant s’est donc laissé approcher deux jours durant, l’occasion pour nous d’y faire nos premiers pas et nos premiers frags… FPS compétitif, pensé pour contrer la concurrence, Valorant brille davantage par son futur positionnement stratégique au sein de la scène des shooters en ligne que par ses idées…
Dynamique et ultra-violent, le Doom de 2016 occupe encore l’esprit de beaucoup de joueurs en tant que fast-FPS moderne de référence. Pour autant, cette réécriture de la franchise-clé qui donna ses lettres de noblesse au jeu de tir souffrait à l’époque d’un petit côté “répétitif et archi-bourrin” que les développeurs d’id Software assument et comptent bien corriger sur ce second opus. Après près de trois heures de jeu, le pari est-il réussi ? C’est ce que l’on va voir...
Overwatch 2 résonne comme une opportunité pour la Team 4, l’équipe de développement en charge du jeu chez Blizzard. Le champ des possibles de la licence s’étend avec l’arrivée d’une forte composante narrative PvE capable d’enjamber les barrières imposées par l’équilibrage nécessaire au PvP du Hero Shooter. L’ADN du projet Titan est plus fort que jamais dans cette suite, qui, sans oublier son orientation compétitive grâce à l’ajout d’un nouveau mode PvP nommé Push (à découvrir plus bas dans notre aperçu), embrasse une approche bien plus narrative. Un peu à l’étroit dans ses modes PvP, le lore d’Overwatch sort aujourd'hui dès que l’occasion se présente des frontières du jeu pour s’étoffer à travers différents médias. Courts métrages animés, comics, musiques, nouvelles, et même un livre de cuisine, Blizzard a fait vivre l’univers de sa licence à une échelle bien plus importante que celle racontée à même le jeu. Désormais fort de 50 millions de joueurs et d’une scène compétitive bien établie, Overwatch revoit ses ambitions à la hausse et se tourne vers son volet narratif, son PvE, l’enrichissement de sa proposition PvP, le tout porté par une séquelle qui entend bien redéfinir le concept même de suite en ne laissant aucun joueur sur le carreau.
Après le succès de Diablo 3 sur Switch, Blizzard est bien décidé à se tailler une part encore plus large du délicieux gâteau que représentent les quelques 35 millions de propriétaires de Switch du monde. Alors l'éditeur remet le couvert, cette fois avec son jeu étendard : Overwatch. Il amène son action rapide et ses teamfights pyrotechniques au pays de Nintendo, et on est allé jusqu'à Irvine pour voir ce que ça donne.
La série Sniper Ghost Warrior dégaine son nouvel épisode comme un soldat bien équipé sortirait son fusil : avec calme et professionnalisme. Après un troisième épisode sûrement trop ambitieux par rapport aux moyens dont disposait le studio, Contracts promet de revenir à l’essentiel, à savoir des niveaux moins ouverts pour une expérience tactique plus condensée. Il est temps de s’envoler en direction de la Sibérie afin de nous assurer que les tireurs d’élite ont bien pris de quoi briser la glace.
L’équipe de V1 Interactive a profité de la gamescom pour présenter à la presse son Disintegration, un FPS développé par un habitué du genre en la personne de Marcus Lehto, directeur créatif des Halo signés Bungie. À bord de son Gravcycle, le joueur vagabonde au milieu d’un univers aux bâtiments destructibles. Est-ce le signe que la nouvelle création de Private Division a de quoi bouleverser nos habitudes dans un genre particulièrement balisé ?
Call of Duty est passé par de nombreuses phases au cours de ses 16 années d’existence. Et si, ces dernières années, l’opus WW2 se démarquait par son solo très réussi, façon “Soldat Ryan”, l’épisode BO4 misait quant à lui sur son très sympathique Battle Royale pour s’imposer. Force est de constater que l’épisode 2019 de CoD mise, comme son illustre ancêtre éponyme, sur une refonte globale et intense de toute l’expérience de jeu. Bonne nouvelle pour Activision, ce Call of Duty : Modern Warfare, sauce 2019, semble avoir réussi son pari côté multijoueurs...
Souvent décriée mais se vendant toujours par palettes entières, la saga Call of Duty poursuit son petit bout de chemin. Ayant délaissé le trip science-fictionnel pour revenir il y a peu à la Seconde Guerre Mondiale via Call of Duty : WWII, la série s’intéresse cette fois au support mobile avec un titre essentiellement multi sobrement intitulé Call of Duty : Mobile.
Alors que Dying Light n’aurait pu être qu’une copie sans âme de Dead Island, Techland réussit en 2015 un beau tour de force en prenant le meilleur de son FPS horrifique comme base pour une nouvelle aventure. Plus riche, plus fou, plus nerveux, Dying Light parvint à travers d’excellentes idées et un important suivi à retenir les joueurs via un jeu aussi jouissif seul qu’en coop. Autant dire que sa suite sera fortement attendue le premier semestre 2020. Bonne nouvelle, la présentation de cette année nous aura autant rassuré que la précédente.
Wolfenstein : The New Order sonnait l’avènement d’une nouvelle ère pour la franchise ayant enfanté Blazko le Barjo. Le mythe William “B-J” Blazkowicz a pris sa retraite depuis les événements de The New Colossus et laisse le soin à ses progénitures de continuer le combat dans la suite Wolfenstein Youngblood… un épisode prenant pour cadre une certaine ville autrefois lumière. La relève est-elle à la hauteur de la légende paternelle ?
En 2016, la franchise culte qui a propulsé en orbite id Software signait un retour fracassant sur la scène du Fast FPS avec Doom. Trois ans et des hectolitres de sang plus tard, le Doomguy débarque fusil à pompe en mains pour faire le ménage sur Terre dans Doom Eternal. Mais notre planète bleue est-elle en mesure d'accueillir les forces démoniaques qui s'agglutinent à ses portes ?
Les années passent et ne se ressemblent pas, pour Call of Duty. Le shooter aux milles records revient comme prévu cette année, cette fois entre les mains d’Infinity Ward, le géniteur originel de la licence. Le studio entend effectuer un retour aux sources en proposant une version plus actuelle du quatrième épisode de la série, tant et si bien qu’il a nommé son nouveau bébé Call of Duty : Modern Warfare. Les moteurs de recherche vont adorer.
Avec sa galerie de personnages tous aussi déjantés les uns que les autres, son humour corrosif et sa perpétuelle pluie de loot, Borderlands 3 n'a pas eu a chercher bien loin pour trouver la direction de son développement. Présenté comme l'épisode le plus massif de la saga, cette suite très attendue entend mettre le paquet du côté des améliorations de ses mécaniques de jeu, de la personnalisation avancée de ses héros ainsu que de leur arsenal. À environ quatre mois de sa sortie, il est temps de poser les mains sur une première version jouable du titre et de vous partager nos impressions sur cette suite au cadre désormais interplanétaire.