L'année prochaine, les possesseurs de PlayStation 4 pourront aller survivre dans le monde hostile de Days Gone, un open world infesté de zombies. Son directeur créatif a récemment laissé un message aux joueurs pensant déjà connaître son concept.
Qu'il s'agisse des freakers de Days Gone, des marcheurs de The Walking Dead ou des créatures de Je suis une légende, les zombies ont alimenté bien des livres, jeux et films. Au micro de Game Informer, John Garvin affirme que le genre a encore bien des choses à offrir, tout comme le jeu en open world.
Personnellement j'adore toujours ce genre, je n'en suis pas fatigué ; je ne vois pas d'autre façon de m'adresser aux personnes qui lâchent l'affaire en pensant "hey, c'est un jeu de zombies", que de leur dire : essayez-le. Ce n'est pas un jeu de zombies auquel vous avez déjà joué ; combattre la horde est très différent. Vous allez l'affronter dans ce monde ouvert avec une menace constante, et tout va entrer en compte, de la météo aux armes en passant par le bruit que vous faites et les ressources dont vous disposez.
(...) Le concept de fin du monde et comment les hommes réagissent, est plus intéressant à mon sens lorsqu'il y a une menace constante. C'est quelque chose que permettent les zombies ; les aliens ou les démons par exemple, sont trop fantastiques, tout est permis. S'il s'agit de freakers et qu'ils ont des limites, qu'ils répondent à des règles comme la réaction à la lumière ou encore le besoin de manger, cela devient intéressant.
John Garvin confirme au détour de l'interview que l'aventure principale nous occupera une base de 30 heures en ligne droite, sans compter tous les événements qui surviendront en annexe et notre exploration minutieuse de la map.
Days Gone : près de 10 minutes de gameplay haletantes - E3 2017