
Ce matin, nous vous rapportions le commentaire du PDG d'Activision, recueilli par Polygon, en ce qui concerne Call of Duty : WWII, le nouveau FPS à paraître cette année. L'homme est également revenu sur Infinite Warfare, dernier d'une longue série de jeux futuristes.

Eric Hirshberg l'affirmait récemment : les thématiques abordées dans la pop culture arrivent "par vagues". Le public a adhéré aux conflits modernes jusqu'à la saturation, et semble être aujourd'hui prêt à revenir aux premières amours d'Activision, la Seconde Guerre mondiale. Pour M. Hirshberg, Infinite Warfare demeure un bon jeu (qui s'est d'ailleurs très bien vendu), mais a reçu un accueil tiède pour une question d'attentes du public et de timing.
Je pense que c'est un très bon jeu. Je crois qu'il est vrai que c'est un jeu de grande qualité, Infinity Ward a fait un travail formidable ; mais à la fois, c'était peut-être le mauvais jeu au mauvais moment, en termes de timing par rapport au public et à la culture.
(...) Les avantages du cycle de développement de trois ans sont clairs : il y a plus de temps pour innover, pour peaufiner, pour toutes ces choses qui comptent pour les joueurs. Mais à la fois, cela rend plus difficile, dans un sens, le fait d'avoir le bon rythme.
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