C'est dans les colonnes du magazine japonais Famitsu que l'éditeur dévoile les tenants et aboutissants de son prochain titre, jouable en VR ou sans casque. Le détail des fonctionnalités colle parfaitement avec la culture nippone, parfois encline à proposer vidéoludiquement des aventures à mi-chemin entre le rigolo et le franchement pervers... Jetons donc un coup d'œil aux features de gameplay dévoilées dans le magazine lors de l'annonce, traduite du japonais par nos confrères de Siliconera.

• Dans Happy Manager, vous devrez gérer un bâtiment qui n'héberge que 3 filles.
• Les phases de dialogue se déroulent en vue à la première personne.
• Le bâtiment dispose d'infrastructures telles qu'une piscine ou encore une salle de gym, dans lesquels vous pourrez aller voir les occupantes de l'immeuble faire du sport et transpirer.
• Il y aura des événements dans lesquels vous pourrez "accidentellement" pénétrer dans les vestiaires occupés par les filles.
• Le jeu dispose de 28.000 lignes de dialogues enregistrées.
• Toutes les phases du jeu peuvent être joués avec ou sans VR.

Le site traduit également au passage les bio des 3 filles du jeu :

Shizuka Sakurai : 20 ans. Une "princesse" née dans une famille riche. Elle est gentille, manque un peu de latitude face à la réalité des choses et agit parfois bizarrement. Maintenant qu'elle est adulte, elle s'intéresse à l'alcool.

Barbara Christine Tachibana : 18 ans. Mi-Japonaise avec une voix hargneuse. Du fait de sa double-nationalité, elle a eu quelques problèmes en grandissant, n'est pas très sociable et peut parfois être très froide avec les inconnus.

Himari Takeuchi : 21 ans. L'occupante la plus âgée de l'immeuble. Elle s'investi beaucoup dans ses centres d'intérêts, au point d'oublier de manger ou de boire. Elle se détache de ses hobbys aussi vite qu'elle s'y attache.

Le jeu sera disponible au japon cet hiver, sur PS4, et fera partie du line-up PSVR lors du Tokyo Game Show.