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News jeu Doom : 10 choses à savoir sur la saga
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Doom-Guy

C’est l’effervescence dans les différents cercles de l’enfer ! Depuis le 13 mai dernier, un type en armure réduit les légions infernales en purée alors que l’invasion de Mars a commencé. Vous (re)découvrez le légendaire Doom ? Alors voici 10 choses qui renforceront votre street cred dans le milieu de la boucherie.

Doom : 10 choses à savoir sur la saga

A moins que vous ne viviez sur Mars, vous avez dû entendre parler du retour de la saga Doom sur PS4, Xbox One et PC. Si la série possède une aura particulière, ses sorties sont loin du matraquage annuel. Du coup, nous nous sommes dit que vous rafraîchir la mémoire entre deux fusillades de printemps ne serait pas de trop.

Doom, un nom, une légende

Doom : 10 choses à savoir sur la saga
Doom premier du nom

L’épisode qui vient de paraître est le 4ème de la série. Depuis 1993, les amateurs de shooter ont en effet pu tirer sur tout ce qui bouge dans Doom (1993), Doom II (1994) et Doom 3 (2004). L’une des particularités de la saga réside dans le fait que chaque opus à a connu son lot d’extensions et de déclinaisons afin de prolonger le combat. On pourra citer pèle mêle l’extension du premier épisode Thy Flesh Consumed, disponible dans la version Ultimate Doom, son portage console Doom 64, ou encore le remaster de Doom 3, BFG Edition, sorti en 2012. Il y a largement de quoi assouvir vos plus bas instincts de chasseur dans cette belle collection.

Si chaque titre a su bénéficier de tant d’ajouts, c’est parce que Doom repose sur un concept ultra simple et efficace : vous êtes le doomguy, un marine rompu au maniement de toute une panoplie de pétoires. Et cela va s’avérer plutôt pratique puisque qu’une expérience malencontreuse sur la téléportation va libérer sur Mars les démons de l’enfer. Pour faire le ménage, et comme vous n’avez pas de balai sous la main, il faudra réduire tout ce petit monde en bouillie à coup de fusil. FPS viscéral et nerveux, Doom a tout de suite rencontré le succès. En 2016, il est temps de reprendre les armes.

La naissance du genre FPS

Si Doom est connu et reconnu comme un excellent FPS, c’est sans doute parce qu’il est le jeu qui a largement contribué à démocratiser le genre. Si le principe de jouer en vue à la première personne peut être remonté jusqu’aux années 70 avec des titres comme Maze War ou Spacim, il faudra attendre Wolfenstein 3D en 1992 pour parler véritablement de First Person Shooter. Dans ce jeu des futurs créateurs de Doom, vous incarnez un soldat allié durant la seconde guerre mondiale et vous dégommez du nazi dans la joie et l'allégresse. L’immersion est totale avec des graphismes 3D saisissants et le public accroche immédiatement aux mécaniques du jeu, qui sont encore aujourd’hui les bases du genre FPS.

Si vous suivez un peu, vous savez que Doom premier du nom arrive juste un an après Wolfenstein 3D. Réalisé par les mêmes développeurs de chez id Software, le titre reprend la recette de son illustre aîné et la pousse encore plus loin. Le rythme y est plus soutenu, et le gore des combats rend l’expérience inoubliable. Construction des niveaux, comportement des armes, HUD, ou tout simplement le bestiaire infernal, chaque aspect de Doom devient dès sa sortie une référence vidéoludique. Ce n’est pas pour rien que les FPS furent longtemps appelés des Doom-like ! Peut-être aussi parce que Wolfenstein-like c’est plus compliqué à prononcer, malgré une utilité indéniable au Scrabble.

Wolfenstein et Doom, même combat

Doom : 10 choses à savoir sur la sagaDoom : 10 choses à savoir sur la saga

id Software : créateurs de l’enfer

Géniteur de Doom, id Software est une figure incontournable du jeu vidéo. Fondé en 1991 au Texas par John Carmack, John Romero, Tom Hall, et Adrian Carmack, le studio démontre dès ses premiers jeux un véritable sens de l’innovation. Programmation, game design, graphismes, la trinité du jeu vidéo brille de mille feux avec ces développeurs de génie. Doom, Quake, ou encore Wolfenstein, les amateurs de shooter ont forcément déjà joué à un jeu id Software.

Proposant des expériences immersives, et des premiers jeux sans protection anti-piratage se diffusant très largement, id Software a beaucoup participé à l’essor du jeu vidéo et du genre FPS. Plus vivant que jamais en 2016, le studio et ses vétérans, désormais sous pavillon Zenimax, comptent bien revenir aux origines du mal avec ce nouveau Doom.

Le succès du shareware

Doom : 10 choses à savoir sur la saga

Doom premier, c’est aussi un mode de distribution un brin atypique de nos jours : le shareware. Je vous parle ici d’un temps, que les jeunes de 20 ans, ne peuvent pas connaître (à l’instar de cette référence musicale). Début des années 90, il n’était en effet pas rare de pouvoir se procurer gratuitement des logiciels informatiques en shareware, ce qui collait parfaitement à la philosophie d’id Software. Il s’agissait de versions incomplètes, ou limitées dans le temps, qui permettaient aux utilisateurs d’essayer avant d’acheter. Ou de jouer en boucle à la démo, c’est selon. Doom fût largement distribué en version shareware incluant le premier épisode et ses 9 niveaux. Le jeu complet (2 épisodes supplémentaires) était disponible uniquement par correspondance, sur support… disquette ! On estime que 10 millions de shareware de Doom étaient installés en 1995 sur des PC du monde entier, pour tout de même 1 million de ventes. Pour l’anecdote, Doom fût disponible sur le serveur FTP de l’université du Wisconsin le 10 Décembre 1993. Le nombre de connexions pour récupérer le jeu fit crasher le serveur le jour même.

Le partage avec la communauté demeure une pierre angulaire de la mentalité d’id Software. Les joueurs ont par exemple pu dernièrement voter pour le visuel du verso de la jaquette du prochain Doom, ainsi que partager sans aucune restriction le week-end de bêta fermée.

La 3D est arrivée !

En plus d’un modèle de game design, Doom fût également un jeu techniquement bluffant. En 1993, la 3D n'en était en effet qu'à ses tout débuts et les graphismes du jeu ont été unanimement salués. id Software a cette volonté d'aller toujours plus loin dans le média vidéoludique. On se souviendra notamment de Doom de par ses plateformes mobiles, un level design tortueux et réparti sur plusieurs étages, des objets 3D entièrement texturés, et des sprites d’une efficacité redoutable. id Software a toujours eu à coeur d’explorer de nouveaux horizons.

Doom : 10 choses à savoir sur la saga

Le Doom original est programmé sur le moteur id tech, développé en interne par id Software. Chaque version de ce moteur maison permettra d’obtenir des univers toujours plus riches et réalistes. Bien d’autres studios eurent la joie de développer sur une version de l’id tech. Après un très bon id tech 5, support de Rage et Wolfenstein The New Order, voici venir Doom et la version id tech 6. Ce petit bijou vous permet de profiter, en 1080p et 60 fps, du sang et des tripes de vos ennemis sur toutes les plateformes. Une fois de plus id Software frappe un gros coup sur le plan des graphismes avec Doom.

L’avènement du multijoueur

Doom : 10 choses à savoir sur la saga

Les plus impatients d’entre vous ont déjà pu se frotter à Doom cuvée 2016 par le biais d’une bêta multijoueur avant la sortie du 13 mai. Loin d’être un simple prétexte à l’obtention du tag “multi” sur Steam, ce mode est inscrit dans l’ADN du jeu depuis ses tout débuts. Faisant partie intégrante de la recette ayant assuré le succès de Doom premier du nom, le multijoueur permet de retrouver toute la poésie du solo entre amis.

C’est d’ailleurs en 1993 qu’apparaît pour la première fois le désormais classique mode Deathmatch. L’idée est toute simple : les joueurs se retrouvent sur une map avec divers armes et bonus, et c’est à celui qui fera le plus de frag. Comme tout ce qui régit Doom, le multijoueur est d’une efficacité redoutable. Les vétérans (pour ne pas dire les vieux) se souviendront très certainement des nuits passées sur le multijoueur de Doom, du temps où internet se démocratisait à peine.

Cette année, le multi est de retour ! Les fraggeurs de tout poil y trouvent un gameplay ultra rapide proposant un fun instantané. Après tout, quoi de mieux que de répandre sur les murs ses petits camarades à coups de roquettes ? Si les modes classiques, comme le Deathmatch, sont de retour, des nouveaux venus sont également de la partie. Par exemple le Freeze Tag dans lequel votre avatar est “gelé” si abattu, et ne peut être libéré que par un compagnon. Comme le loup glacé de la cour de récré, l’hémoglobine en plus.

Le jeu défouloir par excellence

Doom ne fait pas dans la dentelle, et c’est tant mieux ! La simplicité du concept permet des mécaniques de jeu élégantes qui procurent un sentiment de plaisir instantané. Faisant appel à vos bas instincts, Doom s’est toujours montré très brut de décoffrage dans son univers et son gameplay. Pour vaincre les horreurs des enfers, vous pouvez compter sur un large choix d’armes, dont le fameux BFG 9000, et de power ups, le tout s’appuyant sur un rythme ultra nerveux.

Si les déplacements à coup de double sauts et d’escalade contextuelle rendent votre progression fluide, chaque tir vous donne une impression de toute puissance. Le bruit de la déflagration, les effets visuels, votre pauvre cible réduite en charpie, tout est là pour rendre le gameplay jouissif. Nouveauté bienvenue pour cette année, des finish move ultra gores, qui font découvrir à vos ennemis les joies du yoga.

Passez du côté obscur

Vous en avez marre de tirer sur les démons ? Devenez-en un ! Le multijoueur de Doom vous permet en effet de jouer avec les pouvoirs de l’enfer. 4 démons, possédant chacun un gameplay propre, sont en effet déblocables pour vos parties entre amis. Et vous constaterez vite que le mal a du bon puisqu’un démon peut complètement bouleverser le cours d’une partie de par sa puissance phénoménale.

La transformation en démon est disponible à des endroits bien précis des maps multijoueur, c’est donc la course entre les 2 équipes pour cet avantage tactique ! Si vous êtes trop lent, nous espérons que vous connaissez au moins une prière de circonstance. Mais si vous parvenez à achever le démon adverse, ce sera à votre tour de jouer les trouble-fêtes.

Doom : 10 choses à savoir sur la sagaDoom : 10 choses à savoir sur la sagaDoom : 10 choses à savoir sur la saga

SnapMap, l’outil des créateurs

Mû par une volonté toujours aussi intacte d’échanger avec la communauté, id Software propose avec Doom un éditeur complet : le SnapMap. Cet outil fort simple d’utilisation vous permet de créer vos propres niveaux et modes pour le jeu et de les partager avec le monde entier !

Doom a toujours compté de nombreux as de la bidouille parmi ses fans, et dès le premier épisode on s’échangeait volontiers des fichiers WADs de modes. Pour Doom II, une sélection de niveaux créés par des contributeurs prestigieux est même sortie officiellement sous le nom de Master Levels for Doom II. Pour devenir le roi du SnapMap cette année, n’hésitez pas à vendre votre âme au diable.

Doom : 10 choses à savoir sur la saga

Entre 1993 et 2016

L’épisode de cette année a fait le pari osé de concilier racines de la saga et nouveautés. Il plaira donc aux fidèles de la chapelle FPS avec son gameplay nerveux et sa prise en main rapide, mais aussi aux nostalgiques, qui retrouvent avec une petite larme à l’œil l’étripage de créatures.

Véritable parti pris, hommage aux origines, Doom vous embarque dans une campagne solo rythmée et un multijoueur digne des grandes heures du fast FPS. Oui, Doom est de retour et il est là pour durer.

Commentaires
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Pseudo supprimé
Niveau 10
le 16 mai 2016 à 13:43

"Les premiers FPS ont été démocratisés par wolfenstein 3D"

ouais, peut etre half life aussi :)

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