C'est Richard Brunois, en charge de la communication de Sony France, qui le dit à La Croix. La PS3 n'en serait qu'au milieu de son cycle de vie, une ritournelle à laquelle Sony nous a déjà bien habitués il faut dire, rappelant fréquemment que la PS2 a tenu 10 ans et que la PS3 en fera autant. Un argument ici renforcé par un petit détail qui fait la différence : la rentabilité de la machine.

La PS3 est née en 2006, mais nous la rentabilisons depuis 2010 seulement. Elle est donc pour nous en milieu de cycle.

Vu ce que la machine a pu coûter en frais de recherches et de développement, on se doute que Sony ne doit pas être bien pressé de lui offrir une remplaçante si peu de temps après qu'elle ait commencé à rapporter de l'argent.