Présenter pour la première fois lors du Festival D'Annecy, le nouveau film des studios Dreamworks pourrait voler la vedette à Vice Versa 2.
Le film d'animation de l'année ?
Le 9 octobre prochain sortira dans nos salles obscures le film Le Robot Sauvage, nouvelle production tout droit sortie du studio Dreamworks (connu entre autres pour Shrek, Kung Fu Panda, Megamind ou encore le Chat Potté). Réalisé par Chris Sanders, l’un des cinéastes derrière la saga Dragons, il s’agit de son premier long-métrage réalisé en solo, adaptant le livre de Peter Brown "The Wild Robot".
Obtenant un score de 100 % sur le site Rotten Tomatoes, dépassant ainsi Vice Versa 2 et ses 91 %, le film est bien parti pour devenir le nouveau succès du studio Dreamwork. Il raconte l’histoire du robot Rozzum 7134, raccourci par "Roz", qui fait naufrage sur une île peuplée d’animaux. Le droïde doit ainsi comprendre son nouvel environnement, tout en se faisant accepter par ses habitants et aider un oisillon à nager et à voler. Les critiquent y voient déjà le futur film de l'animation l'année.
“Le film est remarquable à presque tous les égards. C’est une aventure animée édifiante, hilarante, déchirante et époustouflante qui réaffirme le pouvoir de l’amour d’un parent” - ScreenRant
D'ailleurs, la production s’inspire de ce qui a été fait pour le Chat Potté 2, les visuels de la forêt ou les détails des animaux n’ont de toute évidence jamais été aussi beaux, nous offrant un magnifique mélange de couleurs.
Une expérience émotionelle à pas manquer !
Un film qui tire sans doute aussi sa force des acteurs qui y prêtent leur voix, tels que Pedro Pascal, connu pour The Mandalorian ou Joel dans la série The Last of Us, qui interprète ici le personnage de Fink, le renard qui accompagne Roz. De son côté, l'héroïne-robot est incarnée par Lupita Nyong’O, connue pour ses rôles dans Black Panther ou Us.
Un film, vous l’avez compris, qui s’annonce être un succès porteur de beaux messages tels que l'écologie et l'amitié. Dans une Interview, Chris Sanders explique même qu'il a été touché par l'innoncence et le sérieux du livre :
« J’aime les histoires et les personnages qui n’ont pas peur de ressentir et de prendre de grands risques. Au fil des pages, j’ai senti de plus en plus que j’étais la personne idéale pour porter ce projet à l’écran. J’ai tout vu. Protéger le caractère et l’esprit d’une histoire tout en trouvant un moyen de la transposer au cinéma est une tâche délicate, et on n’a qu’une seule chance de réussir. J’étais sûr de pouvoir y parvenir. »