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News jeu 15 ans plus tôt, ce jeu vidéo avait l'un des plot twists les plus détestés de l'histoire et a détruit la réputation de cette licence Capcom
Profil de Tiraxa,  Jeuxvideo.com
Tiraxa - Journaliste jeuxvideo.com

Voici la petite histoire de l'un des plot twists les plus controversés de l'histoire du jeu vidéo : Bionic Commando, et le bras de la discorde.

26 315 vues
News culture
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Gros spoilers en approche

Attention, cet article est rempli de spoilers importants puisqu’il évoque les fins des jeux Twelve Minutes (dissimulée dans une balise spoil) et Bionic Commando.

Sources :

Game Developer, The Guardian, Destructoid, Kotaku

15 ans plus tôt, ce jeu vidéo avait l'un des plot twists les plus détestés de l'histoire et a détruit la réputation de cette licence Capcom
Twelve Minutes (2021)

Dans l'histoire des retournements de situation mémorables et polémiques du jeu vidéo, le dernier exemple qui me vient naturellement à l’esprit est celui de 12 Minutes, ce thriller porté par James McAvoy, Daisy Ridley et Willem Dafoe et édité par Annapurna Interactive dont le dénouement est aussi clivant qu’une opinion lâchée sur la prélogie Star Wars. L'histoire est la suivante : ce qui s’annonçait comme une soirée romantique entre amoureux se transforme en cauchemar lorsqu’un inspecteur de police débarque chez un couple, accusant la femme de meurtre et battant à mort le mari. Ce dernier se retrouve ensuite transporté dans une boucle temporelle de douze minutes, le condamnant à revivre encore et encore cette même situation de terreur. Le concept tout à fait captivant du développeur Luis Antonio s’est finalement confronté à une révélation d'autant plus affreuse : La femme du protagoniste n’a pas vraiment assassiné quelqu'un puisqu’en fait, c'est le mari qui est coupable, lui qui avait ôté quelques années plus tôt la vie de son beau-père. Ah et aussi, sa femme n’est pas vraiment sa femme, puisque c’est d'abord sa soeur. Twelve Minutes livrait le genre de conclusion aussi déroutante que lynchienne qui vous force à consulter une flopée d’articles explicatifs sur le web une fois les crédits déroulés. Un tel twist érige naturellement deux camps : les joueurs qui crient au génie, et ceux qui gémissent de dégoût face à une telle révélation. La fin de Bionic Commando a quelque chose de similaire, autant dans son absurdité que dans sa capacité à émerveiller. Et elle est d'autant plus intéressante qu'elle est symptomatique de la douloureuse expérience que rencontrent parfois les éditeurs japonais qui décident de s'ouvrir à de nouvelles collaborations occidentales.


Le revival risqué d'un flop local

Si vous avez joué à Bionic Commando à sa sortie en 2009, sachez que vous n’étiez certainement pas nombreux à le faire à ce moment précis, mais vous avez néanmoins eu l'inestimable chance d'être aux premières loges d'un retournement de situation des plus rocambolesques. Pour ceux qui ne sont absolument pas familiers avec les épisodes de cette licence culte née dans les salles d'arcade, nous parlons ici de la suite d'un épisode NES paru en 1988 qui reprend aussi quelques éléments scénaristiques d'un remake publié en 2008 (Bionic Commando Rearmed, vendu une dizaine d'euros et considéré comme une réussite). Capcom a décidé de rafraîchir la franchise avec un titre next-gen 3D pour PC, Xbox 360 et PlayStation 3. La saga a fait un terrible flop au Japon, mais elle est populaire en Occident, et surtout aux États-Unis. Elle fait partie de ces productions que l'on aime pour son fun implacable, en dépit d'une difficulté hors normes. Et puis le pitch du titre original ferait vibrer n'importe quel aficionado de films d'action un peu génériques : L'agent Ladd doit sauver un dénommé Super Jo - personnage principal du jeu Commando sorti sur arcade en 1985, et marketé en Occident comme le premier volet de la saga Bionic Commando - en franchissant de force les barrières de l'armée impérialiste pour le compte des Etats fédéraux d'Amérique. Chez Capcom, on y croit encore. Alors l'éditeur, d'ordinaire peu aventurier, voyage hors des frontières locales en espérant trouver des partenaires de taille qui sauront faire vibrer la licence à l'international. Simon Viklund, concepteur sonore pour le studio suédois Grin, raconte dans les colonnes de Game Developer une rencontre minutieusement préparée :

En fait, c'est eux qui sont venus à nous. Capcom Japan s'est adressé à une société de production américaine ayant des relations dans l'industrie du jeu et leur a demandé : "Connaissez-vous des développeurs occidentaux ? Pouvez-vous nous trouver quelques développeurs occidentaux parmi lesquels choisir ?" Ces personnes ont proposé quelques studios - et je n'ai aucune idée des autres, mais je sais que Capcom a reçu des propositions de quelques autres studios. Apparemment, ils étaient surtout intéressés par GRIN, à Stockholm, en Suède, et ils ont envoyé quelques personnes ; parmi elles, Keiji Inafune, le gars derrière Mega Man. Il est en quelque sorte le chef de file au Japon, donc tout ce qu'il dit, ça se réalise. Il a pu constater que nous disposions de la technologie, de la physique et de l'ergonomie nécessaires.

Scénario de Bionic Commando sur NES (1988)

15 ans plus tôt, ce jeu vidéo avait l'un des plot twists les plus détestés de l'histoire et a détruit la réputation de cette licence Capcom

Pendant plus de deux ans et demi, une centaine d'artistes s'attellent ainsi à la création du renouveau de Bionic Commando. "Tous les trois mois environ, nous nous rendions chez Grin à Stockholm pour échanger des idées et résoudre certains problèmes de conception", confie à son tour Ben Judd, le seul producteur non-japonais de Capcom à l'époque, dans les colonnes de The Guardian. L'homme décrit un processus démocratique prônant le travail d'équipe, même si "le producteur peut sortir le fouet et imposer certaines de ses décisions à l'équipe". Et de citer la détermination indétrônable des Japonais à dépenser autant d'heures de travail que d'argent pour s'assurer une qualité infaillible. Judd estime aussi que ces derniers, d'habitude si conservateurs, "savent qu'ils ne peuvent plus continuer à survivre dans le monde du jeu sans obtenir plus d'argent de la part des Occidentaux, saluant la volonté de Capcom de prendre de nouveaux risques en serrant la main des artistes suédois. Les deux équipes prennent d'abord le soin de préparer le terrain avec un remake du volet NES qu'ils publient en 2008, et puis ils sortent Bionic Commando l'année suivante.

15 ans plus tôt, ce jeu vidéo avait l'un des plot twists les plus détestés de l'histoire et a détruit la réputation de cette licence Capcom
Bionic Commando (2009)
On apprendra finalement après sa sortie que Bionic Commando ne s'est seulement vendu qu'à 27 000 exemplaires aux États-Unis au cours de son premier mois. Terminator Salvation, un autre jeu de Grin sorti conjointement, a reçu de moins bonnes critiques, mais s'est pour autant écoulé à 43 000 copies durant la même période. James Orry de VideoGamer.com, ose parler de “premier échec majeur de Capcom à l'ère de la haute définition."

Un jeu qui parle de nazis ?
15 ans plus tôt, ce jeu vidéo avait l'un des plot twists les plus détestés de l'histoire et a détruit la réputation de cette licence Capcom

Au Japon, l'épisode de 1988 de Bionic Commando sur NES est sorti à l'origine sous le titre Hitler's Resurrection : Top Secret. Pour la sortie de la version internationale, toutes les références au nazisme dans le texte et l'imagerie ont été supprimées et censurées. Si dans la version japonaise, l'Empire était une nation néo-nazie, dans la version anglaise, les nazis sont appelés les "Badds", aussi baptisée dans le manuel les "Nazz".
La croix gammée de l'armée est remplacée par un aigle et le chef des méchants appelé Weizmann dans la version originale est rebaptisé Killt. En revanche, difficile de ne pas reconnaître l'antagoniste ultime du jeu, qui porte toujours les traits d'Adolf Hitler dans la version anglaise.


Son bras, c'est sa femme

Bionic Commando ne poursuit pas l'histoire du héros de la NES, Ladd, mais suit plutôt un certain Nathan Spencer, "agent du gouvernement qui représente la fusion ultime de l'homme et de la machine", comme on peut le lire sur le premier communiqué de presse de Capcom, qui n'oublit pas néanmoins d'intégrer au récit Super Joe pour le bonheur des nostalgiques. Pour l’anecdote, le protagoniste est doublé dans la localisation américaine par Mike Patton, le chanteur du groupe de rock Faith No More, qui s’avère être féru de jeux vidéo. “Non seulement il a une grande palette vocale et de l'expérience dans les jeux vidéo, mais il est aussi un grand fan de Bionic Commando. C'était l'un de ses trois jeux NES préférés lorsqu'il était plus jeune”, confie Ben Judd, cette fois dans les colonnes de Destructoid.

"Bionic Commando reprend la mécanique de balancement très fluide et visuellement intensive de Spiderman et y ajoute un niveau de compétence qui oblige le joueur à s'appuyer sur ses propres capacités plutôt que de maintenir un bouton enfoncé et de laisser le jeu faire tout pour lui", vante Ben Judd, qui évoque ici le bras bionic de Spencer, lequel lui permet de s'accrocher à des parois robustes. L'agent oeuvre dans la ville fictive d'Ascension City et mène à bien ses tâches avant d'être trahi par son propre gouvernement et emprisonné à tort dans un contexte de purge bionique. Et alors qu’il est sur le point d’être exécuté, une arme expérimentale explose dans la cité, déclenchant un tremblement de terre et avec lui l'anéantissement de la population et la menace d'une invasion terroriste par le groupe Bio-Reign. C’est l’heure pour Spencer de racheter son nom et par la même occasion, de se lancer à la recherche de sa femme, Emily, disparue dans de mystérieuses conditions. On lui promet que s'il réussit, il retrouvera son épouse.

15 ans plus tôt, ce jeu vidéo avait l'un des plot twists les plus détestés de l'histoire et a détruit la réputation de cette licence Capcom

Le dénouement s'avère pour beaucoup déconcertant. Au cours de sa mission, Spencer est chargé de récupérer une arme de masse convoitée par les terroristes du Bio-Reign, dont notre bon vieux Joe, que l'on pensait si bien connaître, se révèle être le chef. Mais le point culminant survient lorsque notre agent apprend que sa femme disparue est bien plus proche qu'il ne le pensait. Accrochez-vous à votre siège : en réalité, une partie d’elle fait partie intégrante du bras bionique de notre héros. On ne sait pas vraiment comment elle s'est retrouvée là, ni quel membre exact d’Emily a été injecté dans l'accessoire de Nathan, mais le fait est qu’elle s'y trouve depuis le début de jeu. Le bras de Spencer, c'est sa femme. Le twist est si déroutant qu’il a laissé des milliers de fans sans voix, d’autant qu’ils n’ont jamais eu d’explication concrète sur le sort réservé à cette dernière. La mauvaise nouvelle est d’autant plus ahurissante qu’elle est couplée à une autre triste révélation, celle que Super Joe, la star originale de Commando, est devenu un personnage diabolique. Naturellement, Spencer devient complètement fou en découvrant l'impensable et tue l'homme à l'origine de ses maux.

Florilège de réactions de joueurs rencontrées sur internet :
Je ne m'attendais pas à ce que la matière organique du bras soit Emily !!! C'était un vrai casse-tête pour moi, et ça m'a fait crier "SOYLENT GREEN ! SOYLENT GREEN !" ! lol J'ai adoré, mais j'aurais aimé que ce soit un peu plus développé. Mais encore une fois, s'ils l'avaient construit l'histoire davantage, ça n'aurait pas provoqué un aussi grand choc.

Malgré le temps qui passe, je ris et je m'effondre toujours autant chaque fois que je me souviens du "bras de l'épouse".

Le problème narratif du bras mis à part, le jeu était vraiment génial et mérite un culte. Une mobilité et un gameplay vraiment amusant, des graphismes décents, des combats de boss géniaux et une expérience multijoueur extrêmement imparfaite, mais amusante. Il n'y a pas eu de jeu comme celui-ci depuis, ce qui est dommage.


Le moment où tout est parti en vrille

Bionic Commando n'est pas spécialement acclamé par les critiques, et ce n'est pas seulement en raison de son twist clivant. La maniabilité est lourde, l’action trop diluée, et l’expérience arbore une linéarité décourageante. Mais notre journaliste Logan est tout de même satisfait du voyage, et lui accorde la jolie note de 14/20 lors de son test : “Guère original, un gameplay ayant quelques ratés, une action un peu molle, Bionic Commando n'est pas exempt de défauts, mais au final ce sont bel et bien ses qualités qui prévalent et c'est là le plus important”, écrit-il en conclusion de son texte. Le score Metacritic stagne à une moyenne similaire de 70/100. Pour autant, le personnage de Spencer reste un pilier de Capcom, décrochant même une place dans Marvel vs. Capcom 3 : Fate of Two Worlds et Marvel vs. Capcom Infinite.

Le média Joystiq s'est entretenu avec Keiji Inafune, ancien responsable de la production chez Capcom, sur ce dénouement si étrange. L'ex-employé confie que le projet, dans ses derniers instants, s'est confronté à un certain désintérêt de la part de Capcom, dont il résume alors l'état d'esprit avec ces mots : "Peu importe, faites ce que vous voulez, je m'en fiche". Les relations entre les deux sociétés, freinées par une barrière culturelle gênante, seraient devenues victimes de trop nombreuses incompréhensions. "Au début, les choses se passent très bien entre les deux entreprises. Les choses deviennent un peu bizarres à partir du milieu, et ça devient vraiment mauvais à la fin - surtout pour les entreprises japonaises", poursuit Inafune. Et de conclure : "Ils devraient être plus flexibles (les Japonais). Si vous ne le faites pas, tout va se gâter à partir du milieu. Et c'est la partie la plus importante. Pas le début, mais le milieu et la fin du jeu". Avant la sortie du jeu, en 2008, le compositeur principal Simon Viklund décrivait pourtant une entente mutuelle sur le développement du titre :

Ils nous ont donc laissé le soin d'en faire un titre plus occidental, ce qui est inévitable puisque nous sommes un développeur occidental. Il s'agit toutefois d'un titre occidental à tendance japonaise, car nous travaillons en collaboration avec Capcom Japan, qui approuve tout ce que nous faisons.

15 ans plus tôt, ce jeu vidéo avait l'un des plot twists les plus détestés de l'histoire et a détruit la réputation de cette licence Capcom
15 ans plus tôt, ce jeu vidéo avait l'un des plot twists les plus détestés de l'histoire et a détruit la réputation de cette licence Capcom
Bionic Commando Rearmed 2 (2011)

La même année que celle de la sortie de Bionic Commando, les fondateurs de Grin, Bo et Ulf Andersson, annoncent la fermeture du studio suédois, causée selon leurs dires par une sévère mésentente avec un autre éditeur japonais ; les Andersson accusent une "trahison" de Square Enix, qui ne leur aurait pas versé l’argent dû après leur travail effectué sur un spin-off de Final Fantasy XII, justifiant des objectifs non-atteints. Les développeurs invoquent une "situation de trésorerie insupportable". Ils laissent derrière eux Bionic Commando, Bionic Commando Rearmed, mais aussi Ghost Recon Advanced Warfighter I & II, Wanted : Weapons of Fate et Terminator : Salvation. De son côté, Capcom, désenchanté par les relations à distance, décide de rester calfeutré entre les frontières du Japon pour plancher sur ses prochaines licences. Haruhiro Tsujimoto, le président, ose même déclarer publiquement qu'il abandonnerait complètement les studios occidentaux s'il n'y avait pas autant de jeux à produire avec si peu de ressources : "Notre expérience avec Bionic Commando a démontré la difficulté de confier le développement de nouveaux titres à des sociétés étrangères". Un peu plus tôt, c’est Jun Takeuchi, le créateur de Lost Planet et Resident Evil, qui déclarait que les "différences culturelles" ne permettaient pas de créer des partenariats "sans heurts". Capcom réitère tout de même l'expérience Bionic Commando une dernière fois en 2011 avec Bionic Commando Rearmed 2, suite du remake de 2008 confiée à d'autres Suédois, ceux de Fatshark (Lead and Gold: Gangs of the Wild West) et qui n'est malheureusement pas jugée à la hauteur de la préquelle.

15 ans plus tôt, ce jeu vidéo avait l'un des plot twists les plus détestés de l'histoire et a détruit la réputation de cette licence Capcom

L’histoire me rappelle beaucoup la relation spéciale et très étroite entretenue entre Nintendo et les Anglais d'Argonaut, avec qui ils ont pu développer Star Fox. L'entente était aussi singulière qu'exceptionnelle, avant qu'elle ne finisse par lentement s’effriter. Jez San, le fondateur du studio anglais, confiera un jour à Eurogamer que “Nintendo ne cessait de nous dire de rester petits et de continuer à travailler exclusivement pour eux, mais ils ne nous versaient pas autant d'argent que les autres partenaires”. La rupture sera signée quand l'équipe présentera aux Japonais leur prochaine proposition, celle d'un Mario World en 3D avec un personnage de Yoshi : "Ils ont été époustouflés par le projet, mais ils ont décidé que c'était une plus grande opportunité de se passer de nous et de le faire eux-mêmes". Un récit plus longuement développé dans cet article.

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Commentaires
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pouip pouip
MP
Niveau 17
le 03 avr. à 15:50

Je ne m'attendais pas à ce que la matière organique du bras soit Emily !!! C'était un vrai casse-tête pour moi, et ça m'a fait crier "SOYLENT GREEN ! SOYLENT GREEN !" ! lol

Le journaliste aurait pu traduire "Soylent Gren" par son titre français, bien connu des cinéphiles : Soleil Vert, film emblématique d'anticipation de 1973, référence du genre, avec Charlton Heston. Et qui a vu ce film (sans spoiler) comprend très bien pourquoi le commentateur de Twitter a pensé à ce film à la découverte du plot du jeu-vidéo.

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