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News JVTech La question que Bill Gates poserait à un homme qui voyage dans le temps est d'une simplicité ridicule : "Les humains prospèrent-ils ?"
Profil de nicoln,  Jeuxvideo.com
nicoln - Journaliste jeuxvideo.com

Imaginez rencontrer quelqu'un en provenance de l'année 2100. Que lui demanderiez-vous ? Si l'on imagine Bill Gates poser cette question, on pourrait s'attendre à une requête pointue sur l'avenir de la technologie, mais sa réponse surprend par sa simplicité.

165 295 vues

La réponse de Bill Gates qui fait sens

Si le milliardaire philanthrope rencontrait un voyageur du futur, sa question serait assez simple : Les humains prospèrent-ils ? Loin d'être superficielle, cette question, aussi basique qu'elle puisse paraître, révèle une préoccupation centrale pour le bien-être de l'humanité.

En choisissant cette question, Bill Gates s'éloigne des interrogations classiques sur l'évolution technologique ou les chiffres financiers. Il ne cherche pas à connaître son destin personnel ou la valeur future de son entreprise. Ce qui l'intéresse avant tout, c'est l'état de l'humanité. Pour lui, c'est l'élément ultime qui définit le succès, quelle que soit l'époque.

L'épisode du podcast où il formule cette question met en scène un échange avec Hannah Ritchie, chercheuse sur les données à l'Université d'Oxford. Son livre "Not the End of the World" propose une vision optimiste de la capacité humaine à surmonter les défis, notamment le changement climatique.

C'est dans ce contexte que Bill Gates lui demande quelles questions elle poserait à un voyageur venant du futur. Sa réponse se base sur un critère économique :

Quel pourcentage de la population mondiale pourrait vivre avec un maximum de 20 dollars par jour en 2100 ?

Ce seuil de 20 dollars par jour peut sembler arbitraire, mais il possède une explication plus profonde. Il représente un niveau de vie minimum permettant de répondre aux besoins essentiels et d'accéder à un certain niveau de confort. C’est en tout cas une moyenne et cela dépend du pays dans lequel on vit. Une réponse positive à cette question indiquerait une réduction de la pauvreté et des progrès dans des domaines vitaux comme la santé, l'agriculture et l'éducation.

La planète comme premier choix

Initialement, Bill Gates envisage des questions plus techniques sur l'énergie et l'intelligence artificielle. Il s'intéresse à la source d'énergie utilisée et à l'évolution de l'IA. Sa curiosité porte sur le nucléaire, qu'il voit comme une solution énergétique propre et sur le rôle de l'IA dans la résolution des défis mondiaux. Il faut savoir que dans le nucléaire on inclut aussi la fusion nucléaire, qui n’a pas la plupart des désavantages actuels de la fission.

Néanmoins, face à la proposition de Hannah Ritchie, Bill Gates reconnaît l’aspect primaire de la question du bien-être humain. Même son intérêt personnel pour la technologie s'efface devant cette préoccupation fondamentale. Il conclut ainsi : "Tu as raison. Le bilan ne se mesure pas aux tactiques, mais à la qualité de vie."

Cette interrogation simple nous rappelle que notre objectif ultime devrait être de créer un monde où tous les humains prospèrent et ont la possibilité de vivre une vie digne. Elle nous encourage à orienter nos efforts, qu'ils soient technologiques, politiques ou sociétaux, vers la construction d'un avenir meilleur pour l'humanité entière. Oui, on parle un peu d’une utopie décrite de la sorte.

Une pensée utopique partagée par de grands esprits

Bill Gates n'est pas le seul à s'inquiéter des dangers potentiels de l'intelligence artificielle incontrôlée et à mettre l'accent sur l'importance du bien-être humain. D'autres voix importantes, comme celles de Yuval Noah Harari et Stephen Hawking, ont également exprimé leurs préoccupations sur ces sujets.

Dans son livre "Sapiens : A Brief History of Humankind", Yuval Noah Harari met en garde contre les risques de l'intelligence artificielle, qui pourrait, selon lui, devenir une menace pour l'humanité si elle n'est pas contrôlée de manière responsable.

Stephen Hawking , quant à lui, a déclaré que l'intelligence artificielle est "potentiellement la meilleure ou la pire chose qui arrive à l'humanité". Il a appelé à une réglementation internationale de l'IA afin de minimiser les risques et de maximiser les avantages. Même si cela commence à dater, ses mots résonnent de façon encore plus vraie aujourd’hui.

Finalement, pourquoi ne pas vouloir croire en une utopie. Car le principe même de celle-ci est qu’elle ne peut exciter ? Ce n’est qu’un aspect de la définition de l’utopie. Penser que l’humanité peut aller dans le bon sens ne devrait pas être utopique.

Commentaires
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Radiak Radiak
MP
Niveau 6
le 15 févr. à 11:27

Bonjour,
"Qui fait sens" ne se dit pas en Français. "Qui a du sens" oui.

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