Comme tout le monde, le jour de Noël est un moment de convivialité, de générosité et surtout, ouvert aux surprises et autres extravagances de nos proches. En ce Noël 2023, alors que l’effervescence était à son paroxysme et que le repas de midi était sur le point d’être finalisé, nous ouvrions des cadeaux avec ma chère et tendre.

C’est là qu’elle me tendit un paquet, tout de rouge emballé.

Après avoir déchiré - proprement - le papier cadeau, quelle ne fut pas ma surprise de voir la marque DJI s’afficher sur le haut du carton. Je reconnu immédiatement la célèbre marque d'appareils volants que sont les drones. C’est donc tout ébaubi que je pris le soin nécessaire pour extraire mon tout nouveau joujou de son emballage.

Un drone sous le sapin, une idée lumineuse de ma femme

Ce n’est donc pas peu fier que je commence à étaler devant moi le fameux appareil. De la marque DJI, c’est un drone de petite taille, mais qui se révèle être un concentré de technologie. Il est accompagné d'une télécommande qui porte le doux nom de "radiocommande", typique du modèle RC qu'a choisi ma compagne.

Ce n’est peut-être pas grand-chose pour vous, ou du moins, c’est exagéré dans le sens où elle aurait pu prendre la version qui s’appuie sur l’utilisation d’un smartphone.

Mais elle me connaît bien, elle sait que si je dois me servir de mon smartphone, je vais forcément moins l’utiliser (le paumer, le casser, veuillez rayer la mention inutile).

Le temps de la surprise étant passé, je commence à me plonger dans les notices qui se trouvent être étonnamment claires et concises. En plusieurs langues, elles mettent immédiatement les points sur les “i” avec un topo sur la réglementation locale. Ainsi, DJI se fend d’une belle explication claire de où et comment utiliser légalement le fameux Mini 3 Pro.

Pour le coup, vous pouvez vous appuyer sur la page dédiée sur le site de l'administration française, Service Public, qui détaille tout ce qui est possible de faire avec un drone de la catégorie C0 (moins de 250 grammes), la catégorie du DJI Mini 3 Pro. Et, sachez-le, vous ne pouvez pas faire voler votre drone n'importe où, le site Géoportail vous indique avec précision les lieux et les attitudes à laquelle vous pouvez utiliser votre appareil.

Voir le DJI Mini 3 Pro avec Smart Control sur Amazon

Mais trêve de technicité technocratique, l’heure et à l’exploration et au bidouillage des touches !

Ni une, ni deux, je commence à lancer la configuration et l’appairage de la télécommande avec le drone en question. Aussi étonnant que cela puisse paraître, j’ai été guidé avec facilité tout au long du processus.

Alors que les instructions me donnent des indications pour faire un décollage automatique en extérieur, je me sens assez cavalier pour me dire “et pourquoi pas dedans ? Je le fait monter à seulement 1 mètre ou 2 et ça ira”.

Derechef, je m’exécute et fais la manipulation sur la télécommande. Le drone réagit et met immédiatement en action ses pales.

Quelle erreur.

Le souffle que dégageaient les hélices ont littéralement fait voler tous les papiers cadeaux déchirés de la pièce, transformant mon salon en tempête d'origamis ratés. Mais j'ai pu constater que le DJI Mini 3 Pro répondait rapidement, aisément, et surtout, se stabilisait très vite. Ce que j’avais moins anticipé, c’était le regard noir de mon épouse qui m’invita par la même occasion à ranger le foutoir que j’avais mis et surtout, à aller jouer dehors la prochaine fois.

Prise en main du DJI Mini Pro 3 : la clef c’est l’accessibilité

Quelques heures plus tard, le déjeuner du 25 décembre avalé, je me retrouve avec mon nouveau petit joujou en extérieur, près d'un ancien champ de maïs, pour le moment au repos hivernal.

Les quelques heures passées à table ont permis à la télécommande de télécharger les dernières mises à jour et patches en date. Batteries chargées, je n’avais qu’une hâte : tester mon nouveau drone et voir ce dont il était capable.

J’avais pris le temps tout de même de visionner les vidéos du tutoriel sur les premiers lancements, les risques de crash et la bonne manière de l’utiliser. Et je dois dire que je trouve tout cela bien simple. Et plutôt dans le sens où c’est accessible, à la portée de toute personne qui se penche un tant soit peu sur le sujet. On sent de suite qu'un des points fort de ce drone, c’est surtout son accessibilité.

C’est avec tout cela en tête que je me lance, dans la fraîcheur du mois de décembre avec mon tout premier drone.

Voir le DJI Mini 3 Pro avec Smart Control sur Amazon

Drone : comment le fun ne peut que peser 249 grammes ?

Je lance la manœuvre pour le décollage et instantanément, le drone s’envole en prenant de la distance à la verticale. Sur la caméra embarquée de la télécommande, je vois rapidement le paysage changer de forme et mon champ de vision s’agrandir au fur et à mesure que le drone monte.

Première manœuvre à tenter : un simple aller-retour.

Je penche doucement le joystick de droite vers l’avant afin de le faire avancer. Le Mini 3 Pro de DJI s’exécute de suite et prend rapidement de la vitesse. Je le stoppe au bout d’une centaine de mètres. Immédiatement, l’appareil s’arrête, et surtout, se stabilise.

Je ne cache pas que je suis étonné sur le moment.

Je tente une marche arrière. Même scénario, le drone se penche et revient vers moi en marche arrière. Je le stoppe une fois arrivé à mon niveau. Re-manœuvre de sa part pour se stabiliser.

C’est une grande sensation de confiance que je ressens à ce moment-là. En fait, le drone permet de rapidement se sentir rassuré quant à la manière de le diriger ou encore de l’orienter. Avec les autres caractéristiques apportées par la télécommande ou encore le drone en lui-même, on sent vraiment que le mot d’ordre dans la conception de cet appareil c’est : accessibilité.

La sécurité est également au rendez-vous. Entre les différents checks de sécurité que la télécommande vous demande et les fonctionnalités présentes dans l’appareil, vous pouvez voler en toute tranquillité. Détail qui n’en est pas un : le DJI Mini 3 Pro a des détecteurs avant, arrière et dessous qui préviennent de la présence ou non d’obstacles. Ce qui permet également d’éviter d’aller embrasser une branche d’arbre et de compenser la gestion de la profondeur.

Pour faire simple, le Mini 3 Pro fait tout pour éviter de vous encombrer avec des détails techniques qui vous dépassent légèrement. En fait, il va plutôt tout faire pour vous mettre à l’aise et vous concentrer sur un autre de ses points forts : la photo et la vidéo.

Voir le DJI Mini 3 Pro avec Smart Control sur Amazon

La promesse du DJI Mini 3 Pro : de la 4K à 60 fps

Armé de ce dernier, j’ai pu commencer à prendre quelques photos et vidéos. Rien de bien fameux, je suis clairement sur de la prise en main. Mais dans tous les cas, je suis étonné par la facilité avec laquelle il est possible de faire des prises de vue et des vidéos.

Que ce soit avec l’inclinaison de la caméra, le zoom, les photos ou encore les vidéos, on sent immédiatement que le DJI Mini 3 Pro est dans son élément. Il n’y a qu’à voir la télécommande, des touches sont carrément dédiées à cette thématique. Sous les gâchettes, à portée de doigts, on trouvera deux molettes dédiées à l’orientation haut-bas de la caméra et au zoom.

Ce qui fait que très vite, on s’amuse à vouloir prendre des vidéos et des photos de tout et n’importe quoi. Mais, la réalité m’a vite rappelé, j’avais oublié de prendre une carte microSD pour enregistrer mes photos et vidéos…

Mais, après tout, ce n’était pas bien grave. J’étais surtout sur une session de mise en jambes, et le but était de prendre en main l’engin et de commencer à voir les potentialités.

Je suis hyper-content de l'expérience et désormais, je vais sûrement inonder mes proches avec des caisses et des caisses de photos et de vidéos aériennes !

Le DJI Mini 3 Pro, c’est de la prise en main facile, une grosse accessibilité et surtout de la qualité en matière de vidéo ! En bref, un beau cadeau que je vais sortir très (trop ?) régulièrement !

Voir le DJI Mini 3 Pro avec Smart Control sur Amazon