Cet acteur de La Casa de Papel change de crèmerie. Au revoir Netflix, bonjour Prime Video ! Et la nouvelle série dont il est la star, déconseillée aux moins de 18 ans, cartonne déjà sur la plateforme.
Un acteur de La Casa de Papel sur Prime Video
Vous vous rappelez de Rio dans La Casa de Papel ? Et si je vous disais qu’il est à l’affiche d’une nouvelle série, mais cette fois-ci sur Prime Video. L’acteur Miguel Herrán avait pourtant fait de Netflix sa plateforme privilégiée avec, certes, La Casa de Papel mais aussi son rôle de Christian dans Élite. Et pourtant, il change de crèmerie à l’occasion de la série Los Farad. Dans cette dernière, déconseillée aux moins de 18 ans tout de même, il incarne Óskar, un jeune homme plein d’entrain qui rêve d’ouvrir sa propre salle de sport.
Et Miguel Herrán n’est pas le seul acteur de Los Farad de la série à avoir déjà travaillé sur une série Netflix. Omar Ayuso (Elite) est également de la partie et jouera le rôle… d’Omar - facile à mémoriser non ? Pour le reste du casting, on retrouve Susanna Abaitua (Love at First Kiss, Crazy About Her) dans le rôle de Sara Farad et Pedro Casablanc (Under the Rose, Sous sa coupe) dans celui de Leo Farad, ainsi qu’Adam Jezierski, Amparo Piñero, Fernando Tejero, Nora Navas ou encore Roberto Lezana. Derrière la caméra, on retrouve Mariano Barroso (Invisibles, Todas las mujeres) et Alejandro Hernández (The Horror of Dolores Roach, New Amsterdam). Et tout ce beau monde a visiblement bien travaillé puisque, depuis sa sortie le 12 décembre dernier, la série s’est hissée dans le top 3 des séries les plus visionnées en ce moment sur Prime Video.
Los Farad, rendez-vous dangereux sur la Costa del Sol
Mais alors, qu’est-ce que ça raconte Los Farad ? Comme on l’a dit, la série propose de suivre les aventures d’Óskarn qui veut monter sa propre salle de sport. Mais sa rencontre avec la famille Farad, qui participe au trafic international d’armes, va tout changer. Nous sommes en effet dans les années 80 et il va se retrouver en plein cœur de l’âge d’or de la Costa del Sol, avec sa jet-set et ses magouilles géopolitiques. Et les showrunners avaient à cœur de redonner vie à l’ambiance si particulière de la Marbella de l’époque.
Pendant cette période, le trafic a en effet permis de faire vivre la région et de lui donner une aura toute particulière : “Tout à coup, c'était Hollywood,” a expliqué Alejandro Hernández auprès d’El Mundo, “au milieu de l'Espagne de la Transition, Marbella était très avancée dans beaucoup de choses, c'était une promesse, un monde plein de couleurs qui avait beaucoup plus à voir avec Beverly Hills qu'avec Lavapiés.” Le pari est visiblement réussi puisque la série cartonne, comme on l’a indiqué précédemment. Qui plus est, elle enregistre la note correcte de 6,8/10 sur IMDb.