Cela fait cinq mois que Astérix et Obélix : L'Empire du Milieu est arrivé sur Netflix, le moins que l'on puisse dire c'est que le film est une réussite comme le montre ces chiffres.

Netflix possède les droits du cinquième volet des aventures des deux Gaulois au cinéma produit par Guillaume Canet, il est le premier à être une histoire originale. Depuis son lancement en mai sur le service de vidéo à la demande, Astérix et Obélix : L’Empire du Milieu a atteint des très bons chiffres avec plus de 5 millions d’heures de visionnage, dont plusieurs tops 10 à travers le monde comme en Argentine, en Uruguay et en Afrique du Sud dans les premières semaines après sa sortie. Il a atteint le cap symbolique des 20 millions de vues, un chiffre dévoilé lors de la conférence de presse du nouvel album d’Astérix L’Iris Blanc prévu pour le 26 octobre prochain.

Dans cette histoire originale réalisée par Guillaume Canet, nous suivons nos deux Gaulois dans une aventure qui les emmènera jusqu’à l’Empire du Milieu (Chine). Le duo va venir en aide à la princesse Fu Yi (fille de l’impératrice), sa fidèle guerrière Tat Han et Graindemaïs (le marchand phénicien) pour sauver sa mère et libérer le pays. Attention, César veut lui aussi atteindre l’Asie pour assouvir sa soif de territoire.

Quand sera disponible Astérix et Obélix : l’Empire du Milieu en France ?

Pour les abonnés de MyCanal, le dernier volet des aventures d’Astérix et Obélix est disponible. Pour les autres qui ne possèdent que Netflix, ils devront attendre au minimum 2024 pour espérer avoir accès au long-métrage. Avec la chronologie des médias français, il faut attendre 15 mois après la sortie d’un film pour qu’il sorte sur la plateforme de SVOD. L’Empire du Milieu atterrira sur la plateforme au courant du deuxième trimestre 2024.

Pour rappel, c’est en décembre 2018 que cette nouvelle version de la chronologie des médias a vu le jour. Elle laisse la possibilité au géant Netflix de sortir ses films plus rapidement grâce à un accord signé entre les plateformes de SVOD, les chaînes de télévision et les organismes de cinéma. Le géant américain s’est engagé à payer 40 millions d’euros par an et de produire au moins 10 films par an en contrepartie du raccourcissement de 36 mois à 15 mois.