Il ne reste plus qu'un tout petit peu moins de trois mois à attendre pour enfin jouer à The Legend of Zelda : Tears of the Kingdom, et ce dernier se montre toujours aussi cryptique. Son dernier trailer en date, diffusé lors du Nintendo Direct, a apporté davantage de questions que de réponses, mais nous avons décidé de nous pencher sur ce que cachent les détails de cette bande-annonce.
Nous sommes désormais à un peu moins de 3 mois de la sortie de The Legend of Zelda : Tears of the Kingdom, et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'on en sait toujours très peu sur le futur titre majeur de la Nintendo Switch, dont le scénario et le gameplay demeurent toujours aussi abscons. Toutefois, la dernière bande-annonce dévoilée lors du Nintendo Direct nous en a probablement dévoilé davantage que nous y avons eu droit jusqu'ici, et nous pouvons potentiellement en déduire davantage d'éléments qu'auparavant. Bien qu'il ne s'agisse que de suppositions, voici quelques enseignements que nous avons tirés du quatrième trailer de ce Zelda tant attendu.
Sommaire
- Plus qu'un simple DLC de Breath of the Wild
- Entre ciel et (sous) terre
- Un bestiaire amélioré et étoffé
- Le ciel, symbole de la réunion des chronologies ?
- Un bras droit propulsé sur le devant de la scène
- Mad Link : Fury Road
- Un gameplay et un monde encore plein d'inconnues
Plus qu'un simple DLC de Breath of the Wild
Commeçons tout d'abord par tordre le cou à une idée reçue qui a la vie dure. Les joueurs les plus sceptiques, pour ne pas les qualifier aveuglément de détracteurs, ont tendance à comparer Tears of the Kingdom à une simple extension de The Legend of Zelda : Breath of the Wild. À première vue, ce ressenti peut se comprendre, ceci d'autant plus que Nintendo a clairement expliqué que le développement du titre a débuté sur la base d'un DLC du chef-d'œuvre absolu ayant accompagné les débuts de la Switch (et servi de chant du cygne parfait pour la Wii U). Toutefois, des extensions, Breath of the Wild en a déjà eu, entre "Les Épreuves Légendaires", premier DLC basé sur une série de défis, et surtout "Ode aux Prodiges", contenu additionnel conséquent complétant le scénario et rajoutant 20 nouveaux sanctuaires et un donjon supplémentaire (rien que ça).
Ainsi, il est évident que Breath of the Wild n'a tout simplement pas besoin d'un troisième DLC, son cycle étant terminé depuis décembre 2017. En vérité, Nintendo n'a fait qu'exploiter des concepts inutilisés dans le cadre de ses projets de contenus additionnels, ce qui est loin d'être inédit chez le constructeur japonais. Nous rappellerons par exemple qu'en 1993, The Legend of Zelda : Link's Awakening avait réexploité des éléments mis de côté lors de la création de The Legend of Zelda : A Link to the Past, avec le succès que l'on sait. Enfin,, et même si une certaine pandémie a ralenti la conception du titre et justifie sans doute les 6 années complètes d'écart le séparant de son prédécesseur, Tears of the Kingdom a bénéficié d'un temps de développement immense, comparable à celui de son aîné mais aussi de The Legend of Zelda : Skyward Sword. Bien que se déroulant dans le même environnement, il semble inclure énormément de nouvelles zones et d'éléments de gameplay inédits qui en font bien plus qu'un simple "BotW 1.5".
Entre ciel et (sous) terre
Ces bases (rassurantes) posées, revenons près de quatre ans en arrière, à l'E3 2019. Le tout premier trailer du jeu, appelé à l'époque "la suite de The Legend of Zelda : Breath of the Wild", se focalisait intégralement sur les souterrains d'Hyrule ; il faudra attendre deux années complètes, avec l'E3 2021 et la deuxième bande-annonce du jeu (toujours sans nom à l'époque), pour découvrir que cette suite tant attendue ferait la part belle à une immense partie inexplorée de ce monde fascinant : ses cieux. Lors de l'officialisation du titre du jeu en septembre 2022, sa troisième vidéo mettra encore l'accent sur cette dimension céleste, ce que l'ultime présentation à ce jour (celle du Nintendo Direct du 8 février dernier) viendra confirmer… tout en renforçant l'aspect sombre et dramatique d'un titre quand même pas mal centré sur les souterrains. Plusieurs cinématiques mettent en scène les grottes et caves d'Hyrule, entre celles où Link et Zelda explorent les lieux jusqu'à leur séparation dramatique, et les séquences de poursuite (comme celle avec le Hinox) à mettre en parallèle avec le trailer de l'E3 2014 où Link était poursuivi par un Gardien dans la forêt de Firone.
La dimension souterraine semble très importante dans Tears of the Kingdom, au point d'avoir disséminé des entrées de grottes dans des parois qui n'existaient pas dans Breath of the Wild (voir ci-contre). Toutefois, ce n'est pas la seule à se voir beaucoup plus développée ici. Là où le monde ouvert de Breath of the Wild se déroulait presque exclusivement en extérieur (l'exploration des sanctuaires et des créatures divines en étant exclue), celui de Tears of the Kingdom semble alterner entre trois visions différentes du royaume d'Hyrule, en proie à la "rancœur" (*) sévissant de nouveau sur terre et dans les sous-sols. Seuls les cieux semblent épargnés par les ravages du Fléau, donnant l'impression d'une vision inversée d'un certain The Legend of Zelda : The Wind Waker où Hyrule avait été intégralement noyée sous l'océan. Ici, c'est dans les cieux que semble se trouver la seule manière de s'échapper à une menace grandissante, celle d'un Ganondorf scellé sous terre et que personne n'imaginait revenir à la vie. Dans l'ultime trailer, la célèbre lune de sang semble plus puissante que jamais, et bon nombre des créatures maléfiques présentes sur et sous terre ont radicalement évolué.
(*) '''La "rancœur" est le nom français donné à cette substance appelée "malice" en anglais, selon Hyrule Warriors : L'Ère du Fléau (même si ce dernier est supposément non-canonique).''
Un bestiaire amélioré et étoffé
En son temps, il fut reproché à Breath of the Wild d'offrir un bestiaire somme toute limité, tournant autour de trois catégories principales d'ennemis déclinés en différentes variations : les Bokoblins, les Lézalfos et les Moblins. Dans Tears of the Kingdom, ces derniers sont toujours de la partie, mais ils semblent constituer des armées mieux organisées, et encore plus diversifiées. Nous en voulons pour preuve ces camps en forme de crâne aux dimensions bien plus importantes, et ces "boss Bokoblins" décrits comme contrôlant une armée de sbires, promettant des combats de groupe probablement plus complexes que ceux finalement très sommaires du titre sorti en 2017. Le trailer dévoile également de nouvelles formes de Lézalfos d'apparence plus résistance, ou encore de Hinox, ce cyclope géant endormi faisant office de mini-boss un peu partout sur la carte, cette fois-ci coiffé d'une étrange souche pleine d'épines. Il porte notamment à son cou un curieux rocher lumineux dont la couleur n'est pas sans rappeler la mystérieuse substance verte présente dans plusieurs séquences, et sur laquelle nous reviendrons plus bas.
De nombreuses théories de fans, souvent basées sur des espoirs personnels plus que des faits concrets, ont évoqué le retour d'ennemis absents du lore depuis des générations. En effet, Breath of the Wild avait marqué la première apparition dans un Zelda 3D des Hinox mais aussi des célèbres Lynel, et une des (nombreuses) séquences se déroulant sur le viaduc d'Hylia vient confirmer cette hypothèse. Sur ce pont mythique apparaît en effet un dragon à trois têtes, qui n'est sans doute autre que Gleeok. Ce boss particulièrement coriace du tout premier The Legend of Zelda a bien un pont à son nom dans Breath of the Wild, mais n'apparaissait à aucun moment dans ce dernier, et semble bien de retour pour la première fois dans un épisode en 3D de la licence. Il incarne, tout comme de nombreuses créatures maléfiques, les "fidèles serviteurs" (sic) de la voix off (que l'on imagine être celle de Ganondorf) les invitant tout simplement à "détruire Hyrule et quiconque se rallierait à sa cause" au début du trailer.
Cependant, si les sous-sols (remplis d'ennemis pour la plupart déjà connus) et les zones à l'air libre sont envahies de créatures peu recommandables, le havre de paix que semblent constituer les mystérieuses zones célestes surplombant Hyrule n'est pas si tranquille qu'il en a l'air. Le dernier trailer a dévoilé une sorte de colosse fait de blocs (ou de caisses), et que l'on pourrait qualifier de golem, mû par l'étrange énergie verdâtre omniprésente dans chaque bande-annonce de Tears of the Kingdom. Son architecture et les matériaux qui le constituent font quelque peu écho à ceux vus sur une autre créature non identifiée brièvement entrevue dans le trailer de l'E3 2021, elle aussi présente dans les cieux. Les îles volantes surplombant Hyrule, clairement le plus gros mystère de cette suite, disposeraient donc de leur propre bestiaire, probablement indépendant des armées que la lune de sang ne cesse de ressusciter sur terre. Le rôle de ces monstres de pierre et/ou de bois est pour le moment indéfinissable, mais à moins de jouer un rôle d'épreuve pour tester les capacités de Link, ils lui sont clairement hostiles en apparence.
Le ciel, symbole de la réunion des chronologies ?
Puisque l'on évoque ce contexte céleste surprenant et mystérieux, venons-en au rôle qu'il joue dans ce que l'on peut tenter de déduire du scénario du jeu, qui semble aussi sombre que plein d'espoir. En juin 2021, Nintendo révélait que la suite de Breath of the Wild ne serait pas qu'un conte souterrain effrayant, à la grâce d'une transition majestueuse entre la chute de Zelda dans les profondeurs et celle de Link dans les cieux. Un mois tout juste avant la sortie de The Legend of Zelda : Skyward Sword HD, cela avait tout d'un clin d'œil avec l'épisode canoniquement aux origines de la légende. Mais si le lien scénaristique entre Tears of the Kingdom et Skyward Sword était plus profond qu'il n'en avait l'air ? Si l'on se fie à la célèbre (et tant discutée) chronologie de la franchise, Breath of the Wild fait office de fin de la timeline, succédant aux trois divisions opérées en fonction de l'issue des événements survenus à la fin de The Legend of Zelda : Ocarina of Time. Sa suite directe étant assumée comme telle, elle poursuit donc un arc ayant réuni toutes les chronologies.
Attention spoilers : nous allons ici nous faire l'écho d'une théorie particulièrement intéressante soulevée par le youtubeur Zeltik, spécialiste de la licence et dont la vision semble parfaitement cohérente sur le sujet. Dans son analyse du troisième trailer de Tears of the Kingdom, il imagine que les silhouettes à longs cheveux et oreilles pointues présentes sur les bas-reliefs sont la déesse Hylia et sa réincarnation humaine, la princesse Zelda. Leur lien nous fut confirmé en 2011 dans Skyward Sword, titre situé à l'origine de la chronologie de la série, et si Hylia n'est jamais montrée directement dans aucune cinématique de la série, on peut voir de nombreuses statues à son effigie, surtout dans l'Hyrule de Breath of the Wild : Link peut y offrir les emblèmes du triomphe récoltés dans les sanctuaires en échange de fragments de cœur ou d'endurance. Durant la toute dernière bande-annonce, une silhouette féminine mystérieuse qui ressemble à Zelda, mais dont le visage n'est pas affiché, pourrait tout à fait être celle de Hylia…
Au vu de certains éléments, une connexion forte entre la princesse et la déesse semble sur le point de se nouer, peut-être sous forme de réincarnation inversée. La théorie peut sembler absurde, mais jugez plutôt : et si, en chutant dans les abîmes sans fond d'Hyrule, Zelda disparaissait pour de vrai, entraînant le deuil du royaume (et ses fameuses larmes, donc) et que son salut passait par le retour de la déesse Hylia, voire sous sa forme ? Toujours selon l'étude effectuée par Zeltik, Tears of the Kingdom pourrait ainsi symboliser la fin de la timeline et surtout, constituer une boucle qui redémarrerait avec Skyward Sword. Après tout, le symbole associé au logo officiel de Tears of the Kingdom se rapproche du dessin d'un ouroboros, serpent se mordant la queue et donnant l'impression d'un cycle infini. Bien entendu, on est là sur de l'interprétation très particulière, mais il faut avouer que tout cela n'est pas complètement absurde… et de toute manière, il est difficile de vraiment en savoir plus pour le moment. Alors, pourquoi pas ?
Un bras droit propulsé sur le devant de la scène
Revenons-en brièvement au possible rôle de la déesse et au lien qu'elle joue peut-être entre le scénario et le gameplay du jeu. Dans un des souvenirs de Link de Breath of the Wild, on pouvait voir Zelda prier Hylia sans succès et se désespérer de son incapacité à assumer ses responsabilités. À la fin du dernier trailer de Tears of the Kingdom, nous pouvons entendre la voix de Zelda (doublée par Adeline Chetail en VF) supplier quelqu'un : « Je t'en prie, confie-lui le don que tu possèdes. » Un lien facile peut se faire ici : la princesse implore la déesse de venir en aide à Link, d'où la connexion entrevue entre son bras et celui du héros, dont l'étrange métamorphose au gré des trailers a clairement remplacé la tablette Sheikah conférant à Link les pouvoirs incroyables lui permettant de mouvoir tout un tas d'objets, de les figer dans le temps, etc. Si l'origine de cette transformation du bras droit de Link est toujours aussi énigmatique, nous n'avons plus aucun doute quant à l'importance de son rôle, ceci d'autant plus que la pose de l'amiibo officiel qui accompagnera le jeu le confirme sans l'ombre d'un doute.
Cependant, à quoi sert le bras droit de Link ? À en juger par certaines séquences, tel un Jedi maîtrisant la Force, le héros de la légende pourra mouvoir des objets grâce à la simple puissance des nouveaux pouvoirs que lui confère ce bras chargé de l'étrange énergie verdâtre présente un peu partout dans le jeu. Jamais nommé dans aucun trailer, pas même le tout dernier, cet élément pourtant central et commun à pratiquement toutes les cutscenes semble offrir à Link un panel d'actions et de mouvements spéciaux au moins aussi varié que la tablette Sheikah, qu'un artwork officiel semble par ailleurs avoir déléguée à la princesse Zelda. Capable de déplacer des objets massifs, ainsi que de figer voire de remonter le temps comme l'ont montré les 2ème et 3ème trailers, le bras de Link semble omnipotent, et son rôle nous est apparu encore plus complet dans cette toute dernière bande-annonce, puisque le héros d'Hyrule nous est apparu plus bricoleur que jamais, et dans des proportions que nous n'aurions jamais imaginées !
Mad Link : Fury Road
Ce fut sans doute la plus grosse surprise de ce quatrième trailer : et si, en plus de cuisiner des recettes par centaines, Link était capable de fabriquer des armes et des véhicules ? Nous n'aurions pas envisagé cela il y a encore une semaine, mais de trop nombreux éléments laissent supposer que notre héros est en mesure d'assembler des pièces récupérées un peu partout dans Hyrule (en les repêchant au fond des Marais de la Rancœur, ou en les ramassant sur les parois des gisements miniers de la Montagne de la Mort, par exemple). Avec tout ce qu'il a pu trouver en chemin, le plus talentueux des épéistes hyliens fabrique d'étranges véhicules terrestres façon Banjo-Kazooie : Nuts and Bolts, peut-être pour transporter des objets qu'il ne peut pas se contenter d'ajouter à son inventaire. En outre, Link nous apparaît également capable de concevoir des machines volantes propulsées par des hélices de fortune… de quoi naviguer dans les cieux d'une île volante à l'autre ?
Dans un registre similaire, Link donne l'impression de pouvoir "crafter" des armes. Comme pour le reste des éléments de jouabilité du titre, Nintendo n'a pas du tout communiqué sur le maintien de la mécanique d'armes qui se brisent, mais la corruption (voire la destruction ?) de l'Épée de Légende semble au cœur du scénario et du gameplay de Tears of the Kingdom. Bien que cette dernière dispose sans doute d'un statut à part, certaines séquences laissent également entrevoir une capacité de Link à construire ses propres armes. On le voit notamment utiliser, au fin fond d'une caverne, un objet particulièrement étrange projetant de l'énergie verte sur un Lithorok, qui ressemble à un canon monté sur une sorte de sceptre, et frappé du même symbole que le golem des cieux du deuxième trailer. Ce dernier nous avait par ailleurs déjà laissé entrevoir ce même type d'arme montée de toutes pièces, mais crachant du feu cette fois. Quant à l'arc de Link, il semble également bénéficier de curieuses modifications, avec cette étrange boule à son extrémité conjuguée à un tir à tête chercheuse en direction d'un ennemi volant…
Un gameplay et un monde encore plein d'inconnues
Malgré ces nouveaux éléments, nous sommes toujours aussi peu en mesure de rassembler toutes les pièces du puzzle et d'en tirer des certitudes concrètes. La manière dont sont connectés ciel et terre demeure toujours aussi énigmatique, ceci d'autant plus que la mécanique de "larmes" n'a pas refait surface dans le dernier trailer. On a en revanche vu apparaître une sorte de station à l'architecture typique des constructions Sheikah, dont les textes (heureusement traduisibles compte tenu de l'existence d'un alphabet officiel) signifient "transport", laissant supposer que les voyages rapides ne se feraient peut-être pas aussi facilement que dans Breath of the Wild. Reste à déterminer si ces derniers sont liés aux nouvelles tours étranges qui semblent avoir remplacé celles du jeu de 2017, et que l'on voit fleurir à l'horizon sur certains plans de la bande-annonce, ou aux spirales d'énergie verdâtre entrevues sur d'autres. Quant aux glyphes géants que l'on a continué de voir fleurir çà et là sur le sol d'Hyrule, hormis leur ressemblance avec les silhouettes des bas-reliefs du troisième trailer, on ignore toujours leur rôle. Par certains côtés, le jeu génère encore un peu plus de mystère à chaque apparition médiatique.
En effet, à un peu moins de trois mois de la sortie tant attendue de Tears of the Kingdom, l'ensemble des trailers mis bout à bout ne donne hélas que peu de réponses claires. Le monde d'Hyrule tel que nous le connaissions sera-t-il toujours aussi ouvert que dans Breath of the Wild, et proposera-t-il la même richesse de gameplay émérgent ? La narration du titre sera-t-elle plus sombre, et surtout plus approfondie que son aîné ? La seule chose que l'on peut véritablement en déduire, c'est que Nintendo a tout intérêt à proposer un "Zelda Direct" dans les semaines qui suivent pour davantage nous éclairer sur le scénario et les bases de jouabilité d'un titre qui se veut volontairement cryptique, et ne peut que fasciner encore un peu plus les fans. Reste qu'il y a 6 ans, Eiji Aonuma (producteur de la série) se montrait très sûr de lui en dépit de l'inquiétude de nombreux joueurs, et que la réalité du terrain lui a donné raison. Nous saurons de toute façon très bientôt si une fois de plus, The Legend of Zelda a bien fait de cultiver son mystère et de surprendre les joueurs du monde entier en leur offrant une nouvelle aventure qu'ils n'avaient pas vu venir…
The Legend of Zelda : Tears of the Kingdom paraîtra exclusivement sur Nintendo Switch le 12 mai 2023. Et vous, quelles sont vos théories concernant ce nouvel épisode, et qu'avez-vous déduit des différents trailers du jeu ? N'hésitez pas à nous partager vos avis dans les commentaires !