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News jeu Après m'avoir fait rêver, je n'ai plus que de la crainte pour Halo
Profil de Carnbee,  Jeuxvideo.com
Carnbee - Journaliste jeuxvideo.com

Avec ses 500 kilogrammes, Master Chief fut le héros de la Xbox. Comme l’a déjà reconnu officiellement Microsoft, c’est grâce au célèbre Spartan et au Xbox Live que sa première console de jeux n’a pas sombré. Sans lui, il n’y aurait peut-être jamais eu de 360 ! Jusque-là protégé par son armure Mjolnir, John-117 a pris de terribles coups au fil de ses missions. Tellement que je me demande parfois si le Major ne devrait pas prendre sa retraite.

43 518 vues
Une histoire de point de vue

Cet article est un billet d’opinion, il est par nature subjectif. L'avis de l'auteur est personnel et n'est pas représentatif de celui du reste de la rédaction de JV.

Sommaire

  • Le phénomène Halo
  • De la poussière et des échos
  • I want to believe

Le phénomène Halo

Il y a presque 21 ans, le 14 mars 2002, je sortais de ma boutique de jeux vidéo préférée avec dans mes bras une Xbox Originale, une deuxième manette Duke, Jet Set Radio Future et Halo : Combat Evolved. La facture était aussi salée que le poids était lourd, mais qu’importe. Je possédais la console la plus puissante du marché ainsi que le jeu de Bungie censé lui faire cracher ses tripes. De mémoire, je n’ai jamais autant attendu la sortie d’un jeu vidéo, à part peut-être Silent Hill 2. J’avais de bonnes raisons : les magazines du monde entier ne tarissaient pas d'éloges sur ce FPS futuriste. J’avais moi-même pu y jouer pendant une petite heure quelques semaines plus tôt, dans un appartement parisien privatisé par Microsoft (le Xbox Lounge) où il était possible d’essayer les titres du launch dans d’excellentes conditions. Je m’étais pris une énorme claque. Par-dessus tout, entre la sortie américaine et européenne de la console, la vidéo du Warthog Jump tournait sur les forums du monde entier (YouTube n’existait pas encore). Elle montrait comment un joueur, Randall Glass, se servait du moteur physique du jeu pour créer des cascades rocambolesques. Il n’empêche qu’au tout début de l’année 2002, voir un tel moteur physique dans un environnement aussi ouvert paraissait révolutionnaire. La bonne époque !

Après m'avoir fait rêver, je n'ai plus que de la crainte pour HaloAprès m'avoir fait rêver, je n'ai plus que de la crainte pour HaloAprès m'avoir fait rêver, je n'ai plus que de la crainte pour Halo

En ce mois de mars 2002, impossible de compter le nombre d’heures que j’ai passées en solo et en coopération sur le soft de Bungie. Halo en mettait plein les yeux et plein les oreilles. Je n’étais visiblement pas le seul à aimer repousser les Covenants : lors des premiers mois de vente de la machine, 80 % des possesseurs de Xbox sont partis avec un exemplaire du jeu. En trois ans, Halo : Combat Evolved s’est vendu à plus de 5 millions d’exemplaires, un très beau score pour l’époque. Preuve du choc engendré par le premier épisode de la franchise, Halo : Combat Evolved intégra le World Video Game Hall of Fame en 2017, aux côtés de Donkey Kong et de Pokémon. Au début des années 2000, nous assistions à la naissance d’une véritable success story. Les artistes se pressaient pour être associés à Halo, tels que Nile Rodgers, Breaking Benjamin, Hoobastank, Incubus ou encore Steve Vai qui figurent sur la bande sonore du deuxième volet. Michelle Rodriguez prêta sa voix à une soldate de l'UNSC alors que John Mayer joua secrètement sur deux morceaux de l’OST, en dehors de tout contrat signé. Il voulait juste dire à ses amis qu’il faisait partie du projet. L’enthousiasme était palpable.

Après m'avoir fait rêver, je n'ai plus que de la crainte pour HaloAprès m'avoir fait rêver, je n'ai plus que de la crainte pour HaloAprès m'avoir fait rêver, je n'ai plus que de la crainte pour Halo

Les fans n’avaient alors qu’une envie : continuer les aventures du Spartan et de son IA Cortana, et se retrouver en ligne pour s’affronter grâce au Xbox Live. Le pari fut une nouvelle fois réussi en 2004 quand Halo 2 arriva. Deux tiers des abonnés au Xbox Live l’achetèrent. Le soft pulvérisa les précédents records en se vendant à 2,38 millions d'exemplaires en une seule journée, rien qu'en Amérique du Nord. En outre, les ventes de Xbox augmentèrent de 27 %. À titre personnel, ce deuxième opus est mon préféré de la saga tant il parvient à améliorer chaque mécanique de gameplay tout en apportant une véritable profondeur au scénario, sans compter l’expérience multi exceptionnelle. Quand Halo 3 débarqua sur Xbox 360 en 2007, c’était un nouveau carton. Selon Microsoft, Halo 3 aurait rapporté 170 millions de dollars en une journée, surpassant le deuxième volet qui avait rapporté 125 millions. Un an après sa sortie, quasiment un propriétaire sur deux de la console de Microsoft avait acheté le soft de Bungie. Halo 3 : ODST (2009) et Halo Reach (2010) rencontrèrent eux aussi un grand succès au moment de leur sortie malgré une concurrence de plus en plus féroce. Call of Duty gagnait en importance et cela se ressentait dans les lignes de code de la série, puisque les paquetages s’invitèrent dans Halo Reach, de même que les capacités spéciales et le bloom… ce qui sera critiqué par certains fans. Néanmoins, lorsque Bungie quitta Microsoft, la licence phare de la Xbox était au sommet de sa popularité.

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De la poussière et des échos

Halo a su raconter une histoire simple mais passionnante via des niveaux au level design bien pensé, le tout saupoudré d’humour et de moments épiques. Bungie a toujours misé sur son IA plutôt que sur les séquences scriptées, ce qui explique pourquoi chaque nouvelle partie amène son lot de surprises. Surtout, Halo se partage grâce à ses campagnes jouables en écran scindé. Ainsi, n’importe quel membre de la famille peut venir donner un coup de main. Depuis le lancement du premier Halo et la sortie de l’épisode Reach, il s'est passé presque 10 années. Bungie décida de quitter la firme de Redmond car ses dirigeants ne voulaient pas être liés au Master Chief toute leur vie. Avoir réussi à concevoir 5 volets de Halo en moins d’une décennie, tous des 90+ Metacritic (à l’exception du stand alone ODST), ça a laissé des traces. La franchise fut alors reprise par 343 Industries, un tout nouveau studio mis au point par Microsoft. La pression a dû être énorme pour ses développeurs, d’autant plus que la presse révélait régulièrement les CV des personnes engagées, faisant grandir les attentes.

Après m'avoir fait rêver, je n'ai plus que de la crainte pour HaloAprès m'avoir fait rêver, je n'ai plus que de la crainte pour Halo

Halo 4 aurait pu se prendre les pieds dans le tapis, mais quand il arriva en 2012, il fut bien accueilli. Disposant de graphismes faisant honneur à une Xbox 360 en fin de vie, il disposait d’une narration qui retrouvait presque les ambitions de Halo 2. Je me souviens avoir apprécié la campagne solo dans sa globalité, avec des moments scriptés inspirés de ceux de la concurrence plutôt bienvenus, sans que cela ne dénature l’aventure. Mes regrets ont toujours porté sur la structure trop classique à base d’enchaînements de couloirs-arènes, très perceptibles. Quant aux nouveaux ennemis, ils étaient moins amusants à affronter que les Elites. Du côté du multijoueur, Halo 4 continua de s’inspirer du FPS d’Activision (utilisation d’Atouts et de killstreaks) qui était devenu un incontournable. C'était un risque à prendre pour séduire de nouveaux joueurs. Cette envie de rafraîchir la formule tout en continuant d’accrocher les fans caractérise 343 Industries, pour des résultats souvent très bons… mais loin des séismes de l’époque.

Après m'avoir fait rêver, je n'ai plus que de la crainte pour Halo

Attention, je ne veux pas sombrer dans la nostalgie déplacée. Tout n’était pas parfait dans les Halo conçus par Bungie. La progression faisait régulièrement appel à des allers-retours, tandis qu'à partir de Halo 3, l'aspect narratif était clairement mis entre parenthèses (malgré de beaux moments sur Reach). Mais il faut reconnaître que Bungie parvenait à créer l’événement. Halo 4 a tenté d’explorer de nouvelles pistes scénaristiques avec Le Didacte et la Bibliothécaire. Il a surtout creusé la relation entre une Cortana en fin de vie et le Major. Une histoire poursuivie maladroitement dans Halo 5 : Guardians, sorti en 2015 sur Xbox One. Privé du coop en écran partagé, ce qui fut considéré comme une trahison par les fans de la série, abscons dans ce qu’il racontait, Halo 5 se contenta d’un 84/100 sur Metacritic, faisant de lui l’opus le moins bien noté par la presse, en compagnie du stand alone ODST. Bien sûr, cette moyenne reste très bonne objectivement, mais elle insiste sur le fait que la saga a quelque peu perdu de sa superbe. Avec des contenus toujours plus nombreux et des utilisateurs extrêmement sollicités, il est bien évidemment difficile d’initier des phénomènes culturels semblables à ceux des premiers Halo.

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Halo 4 a rapporté 220 millions de dollars en 24 heures, soit 20 millions de plus que Halo Reach . Halo 5 aurait ramené dans les poches de Microsoft 400 millions de dollars durant son premier week-end. Certes, les chiffres semblent très bons, mais depuis que 343 Industries a repris la licence, mon intérêt pour Halo s’est effrité. Tourner le dos à des fonctionnalités normalement indéboulonnables (la coop en écran partagé), c’est une chose, mais avoir toutes les peines du monde à savoir quoi faire des personnages et de l’univers dont on a la charge en est une autre. Les pérégrinations de la Blue Team et de la Team Osiris n’étaient pas des plus passionnantes à suivre.

Après m'avoir fait rêver, je n'ai plus que de la crainte pour Halo

Que dire de Halo Infinite, le volet qui décida de passer sous silence le destin de Cortana après l’énorme rebondissement final d’Halo 5 ? Après un développement visiblement chaotique, le jeu fut repoussé d’une année et sortit presque miraculeusement dans un bon état. Les fans peuvent toujours s’enthousiasmer en se disant que le résultat aurait pu être pire, mais il aurait surtout pu être meilleur. D’après Bloomberg, 2/3 du contenu du jeu aurait été supprimé afin d’aider 343 Industries à arriver au terme du développement. L’excellent mode multijoueur, free-to-play, est de son côté épinglé par son manque de mises à jour de qualité. Heureusement, ces derniers mois, la Forge a redonné quelques couleurs à la communauté de Halo, communauté qui se montre de plus en plus virulente sur les réseaux sociaux à l’égard de 343 Industries. Seul Halo : The Master Chief Collection trouve gâce à leurs yeux, quand bien même le lancement aurait été chaotique. Il faut reconnaître que le studio a fait un travail remarquable avec cette compilation.

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I want to believe

Les nouvelles émanant de 343 Industries ne sont pas bonnes. Le studio est victime d’une vague de licenciements historique. D’après Bloomberg, elle toucherait au moins 95 employés. De plus, le studio ne produirait aucun contenu solo additionnel de Halo Infinite, alors que les développeurs seraient en train d’abandonner le coûteux Slipspace Engine au profit de l’Unreal Engine. J’ai beaucoup aimé le monde plus ouvert de Halo Infinite, et surtout l’apport du grappin dans l’exploration mais aussi lors des combats. J’aurais aimé un ambitieux contenu additionnel qui s’appuie sur les très bonnes bases de cet épisode. Je suis convaincu que la formule d’Infinite est la bonne avec ce grand monde à explorer librement. Elle aurait juste mérité plus de soin et de génie de son exécution (des biomes différents, des scènes linéaires plus épiques, un scénario qui rattache les wagons, etc.). En ce qui concerne le multijoueur, le nouvel événement a apporté plusieurs nouveautés demandées (comme le matchmaking de maps Forge) et il se pourrait que les prochaines saisons soient chargées en matière de contenus (nouveaux modes, nouvelles maps, etc.).

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Chaque fan de la série a son avis sur la direction que devrait prendre Halo à l’avenir. Dans les nombreux commentaires que l’on peut lire sur la Toile, certains passionnés veulent “un retour aux sources”, tandis que d’autres réclament “de vraies évolutions”. J’ai vu des joueurs demander “une vue à la troisième personne”, “plus de narration”, voire un “reboot complet”. De mon point de vue, Halo s’est déjà réinventé avec Infinite, mais les développeurs ne sont pas allés assez loin dans leurs propositions scénaristiques, graphiques, structurelles. Je considère les retours aux sources comme une facilité brandie par des designers en panne d’inspiration et souhaitant avant tout séduire les fans de la première heure. Mais la plupart des grandes séries qui ont réussi à s’imposer de nouveau malgré leur âge n’ont jamais opté pour le retour aux sources. The Legend of Zelda et God of War ont su se réinventer en profondeur plutôt que de suivre le même modèle, tout en assurant une production value de grande qualité.

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Je ne suis malheureusement pas enthousiaste quant à l’avenir de Halo. L’absence d’Infinite lors des grands événements organisés par Microsoft depuis sa sortie n’est pas rassurante, les sondages envoyés par la firme de Redmond ne sont pas rassurants, la communication officielle du studio n’est pas rassurante, les messages Twitter des anciens employés ne sont pas rassurants, le départ de Joe Staten n’est pas rassurant. Après m’avoir fait rêver, Halo me fait craindre le pire quant à son avenir. Est-il destiné à n’être qu’un FPS tout au plus sympathique, à l’image du show télévisé de Paramount qui a bien du mal à se dépêtrer de sa réputation moribonde de série B ?

Après m'avoir fait rêver, je n'ai plus que de la crainte pour Halo

Là encore, Microsoft a longtemps tenté d’apporter sa saga phare sur les écrans qui ne sont pas reliés à des consoles. Nous nous souvenons du projet imaginé par Peter Jackson tombé à l’eau (vous l’avez ?). Après divers essais dans la web-série (Forward Unto Dawn, Nightfall), dans l’animation (Halo Legends, The Fall of Reach) et dans la série télévisée, Halo n’a jamais réussi à s’imposer comme The Last of Us est train de le faire dans le monde du petit écran. De mon point de vue, le problème de la série Halo ne vient pas du fait qu’elle se déroule dans une autre timeline (ce qui provoque d’énormes libertés), mais bien la construction de la plupart des personnages, la réalisation en mode pilotage automatique ou encore l’utilisation de flashbacks insignifiants. Halo méritait mieux, une fois de plus.

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L’idée de prêter la licence à d’autres studios a été évoquée. Il semble d’ailleurs que Certain Affinity participerait au développement d’un jeu Halo multijoueur ou d’un mode pour Halo Infinite. Ce que nous pouvons vous assurer, c’est que la possibilité de prêter l’IP à des studios externes n’est pas nouvelle. Je trouve la piste intéressante si le but est de proposer des créations dans des genres différents, comme une expérience narrative à la troisième personne à l’occasion d’un spin-off par exemple. Je crains pour le futur de Halo, mais je ne suis pas désintéressé pour autant. On dit souvent qu’il est impossible d’oublier ses premiers amours. Ma rencontre avec ce FPS futuriste sur console restera gravée à jamais dans mon cerveau. Je ne demande qu’une chose, c’est que l’on me remette l’anneau au doigt et que la franchise soit traitée comme elle le mérite. Quitte à ce que le Master Chief prenne beaucoup de temps avant de revenir.


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Commentaires
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elderKettle elderKettle
MP
Niveau 25
le 14 févr. 2023 à 09:04

C'est une licence qui a fait son temps , ses mécaniques a l'heure actuelle sont vieillissante, il va falloir faire un gros travail dessus pour voir le grand publique revenir

Lire la suite...
Commentaire édité 14 févr. 2023, 09:05 par elderKettle
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