C‘est rare d’avoir une bonne nouvelle autour de l’environnement. Surtout quand il s’agit d’un changement aussi rapide que celui que nous sommes en train de vivre sans même s’en rendre compte.
La couche d’ozone se reconstitue enfin
Le dernier rapport sur la couche d’ozone publié en partenariat avec l’ONU, la NASA, l’Union européenne et bien d'autres est très positif sur le sujet. Dans le rapport sur 2022, nous apprenons que la stabilisation et la réparation progressive se poursuivent. Elle aurait même tendance à s'accélérer.
L’humain est ainsi responsable de ce changement. Cela prouve une fois de plus qu’en trouvant l’origine exacte du problème et avec des solutions appliquées à l'échelle du monde, le réchauffement est solvable, en tout cas avec des efforts communs.
Le rapport explique ainsi que d’ici 2040, la majeure partie du globe aura au dessus de lui la couche d’ozone rétabli. Pour l'Arctique il faudra attendre cinq ans de plus. En revanche, la date lointaine est celle de l'Antarctique, prévu pour 2066. = Pourquoi la couche d’ozone se répare ? = Dans un premier temps il faut comprendre la raison première de la destruction rapide de la couche d’ozone sur certaines parties du globe. Ce que l’on nomme les gaz rares comme tous les hydrofluorocarbones sont la cause première. Ils étaient présents dans les gaz frigorifiques des réfrigérateurs, des climatisations, etc. Il a fallu trouver une alternative rapide et aussi efficace pour qu’elle soit adoptée.
C’est là que le protocole de Montréal a permis de légiférer sur ces gaz et de les interdire. Mais cela n’a pas empêché certaines zones géographiques de continuer à utiliser le gaz illégal. En Chine notamment, une inquiétude a grandi en 2018, car une grande part de cette pollution n’était pas régulée. Heureusement aujourd’hui, la Chine a changé son fusil d’épaule et légifère.
Ce rapport a été construit à partir des ressources depuis les premières investigations de 1981. Nous avons aujourd’hui un grand recul sur la situation et le but est de l’appliquer aussi au réchauffement climatique. Le problème est que la cause n’est pas simple à identifier et surtout à changer. Aujourd’hui les enjeux économiques ont pris le dessus sur les enjeux environnementaux.
On constate tout de même un changement à mesure que les investissement et environnement deviennent petit à petit rentables. La seule solution est de trouver des alternatives aussi efficaces pour un coût équivalent. Cela passe par le transport fret qui est un grand secteur pollueur ou bien le secteur du textile. C’est toute une remise en question qui peut permettre de résoudre le problème avant qu’il ne soit trop tard.