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News jeu Après Gamekult, un autre média très connu des gamers dans la tourmente
Profil de Tiraxa,  Jeuxvideo.com
Tiraxa - Journaliste jeuxvideo.com

Après Gamekult, un autre média culte du secteur vidéoludique enregistre une vague de départ, cette fois totalement involontaire.

Après Gamekult, un autre média très connu des gamers dans la tourmente

Sommaire

  • IGN dans la tourmente
  • La suite d'une longue série aux Etats-Unis

Nous l'apprenions il y a quelques semaines : la quasi-totalité de la rédaction de Gamekult a pris la décision de démissionner en activant sa clause de cession suite au rachat de Unify par Reworld Media. Un départ effectif à partir du 7 décembre dernier comme le précisait Nicolas "Puyo" Verlet, le rédacteur en chef, lors d'un live d'adieux réunissant certains visages bien connus des lecteurs. C'est au début de l'été que la rédaction apprenait que TF1 avait revendu son lot de médias liés au numérique, comme Les Numériques au groupe Reworld Media, détenteur d'une flopée de magazines populaires comme Grazia.

Après Gamekult, un autre média très connu des gamers dans la tourmente

Explicitement, une clause spécifique au métier de journaliste permet au concerné de conserver ses droits au chômage et de toucher ses indemnités de licenciement en cas de cession ou de changement d'actionnaires. En 2019 déjà, plusieurs journalistes du magazine Science & Vie avaient activé ce droit suite à leur rachat du groupe Mondadori France. Comme évoqué dans le communiqué partagé par la rédaction de Gamekult, "le site poursuivra son activité pour assurer la transition avec la nouvelle rédaction". Le site, fondé en 2000, continuera donc bien à exister mais sans les noms qui ont forgé sa réputation au fil des années. Pour autant, de nombreux lecteurs ont décidé collectivement de se désabonner en signe de soutien aux équipes parties. Aujourd'hui, c'est une autre rédaction de la presse jeux vidéo qui se retrouve dans la tourmente et au cœur de l'actualité.


IGN dans la tourmente

L'info a été rapportée par les journalistes de Kotaku hier, quelques heures avant le lancement des Game Awards. L'une des plus grandes publications anglophones sur les jeux vidéo se sépare de postes dans plusieurs de ses départements. La source : d'anciens et d'actuels membres de la rédaction qui ont décidé de prendre la parole directement sur leurs réseaux sociaux. "J'ai fait partie du licenciement massif d'IGN aujourd'hui et j'ai vraiment besoin de tout l'amour et du soutien que je peux obtenir" raconte Marcie, employée en charge des produits publicitaires faisant parallèlement état d'une santé mentale en déclin sur son compte Twitter. "J'ai travaillé pendant 7 ans pour obtenir mon emploi, pour le perdre à cause de la "restructuration"", déclare pour sa part Alan Torres, monteur vidéo qui précise avoir reçu la nouvelle de façon totalement inattendue : "Je me sens particulièrement stupide parce que j'ai travaillé sur Next Gen Console Watch (une émission d'IGN) jusqu'à 2 heures du matin hier, pour m'assurer que rien ne m'échappait, comme des demandes d'art ou autre chose". Rebekah Valentine, journaliste toujours en poste a choisi d'afficher son soutien à ses camarades :

https://twitter.com/duckvalentine/status/1600924097747116032?s=20&t=j-2d1qLzYyzO4CvC69DZAA

s'il vous plaît envoyez de l'amour aux gens de l'IGN touchés aujourd'hui. Mes collègues étaient et sont incroyables et ne méritaient pas cela.

Au total, Kotaku confirme le départ d'au moins 10 employés d'IGN, tous licenciés. La média Gamesindustry.biz précise que les équipes éditoriales, d'ingénierie et de vente de publicité d'IGN sont celles qui ont été touchées. Ces coupes feraient partie "d'une restructuration plus large de la société mère d'IGN, Ziff Davis, avec d'autres unités commerciales également touchées". Pour l'heure, les représentants de Ziff Davis, groupe de presse américain dont la dernière grande vague de licenciement remonte à 2013, n'ont pas encore répondu aux sollicitations des journalistes. De son côté, Kotaku s'étonne du timing choisi : "Il semble étrange de licencier du personnel juste avant l'un des plus grands événements industriels de l'année. Couvrir les Game Awards est déjà une tâche herculéenne."


La suite d'une longue série aux Etats-Unis

Pour les médias anglophones, ces coupes deviennent monnaie courante. GamesIndustry rappelle que depuis ce début d'année, plusieurs organes de presse spécialisés dans les jeux vidéo et la technologie ont licencié du personnel. Dès le mois de juillet notamment, Polygon a subi un sort similaire. Dans une note transmise à Variety, le chef de Vox Media (propriétaire de Polygon), Jim Bankoff, déclarait réduire le personnel d'une trentaine d'employés en raison de problèmes de chaîne d'approvisionnement réduisant les budgets de marketing et de publicité. "Notre objectif est d'anticiper une plus grande incertitude en prenant des décisions difficiles mais importantes pour réduire les initiatives qui sont moins prioritaires ou dont les besoins en personnel sont moins importants dans le climat actuel", avait-il expliqué. En parallèle, la société Social Chain licenciait environ 35 employés au sein de son activité d'édition qui inclut GameByte et FragHero "en réponse à un environnement de marché très difficile". Même chose pour Game Informer, puis quelques mois plus tard pour Future, Fanbyte et G4. Puis en octobre, la fermeture complète de G4 sera annoncé, tandis que la rédaction de Vice, elle aussi, annoncera réduire son nombre d'employés.

Commentaires
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Ada79 Ada79
MP
Niveau 36
le 11 déc. 2022 à 17:00

Gamekult qui va devenir un jv like :malade:
Quelle tristesse!

Lire la suite...
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