Au menu du daily de ce 27 octobre, on commence avec God of War Ragnarok et ce qu’on a appris du dernier trailer. On enchaine par le remake de The Witcher, fraîchement annoncé. Enfin, on évoque le retour d’une série humoristique emblématique. Le daily, c’est parti !
God of War se dévoile encore un peu plus
God of War Ragnarok sortira sur PS4 et PS5 le 9 novembre 2022. Ce jeu très attendu, vous livre le mythique Kratos aux côtés d’Atreus, son fils. Ces derniers vont être confrontés au Ragnarok, soit la fin des mondes de la mythologie nordique. Aux dernières nouvelles, il a été confirmé que le mode photo serait absent du jeu à sa sortie. En contrepartie, on a pu découvrir un extrait qui nous en dit un peu plus sur l’univers explorable dans cet opus et sur les ennemis qui le peuplent.
The Witcher Remake, l’ouverture aux néophytes de la saga arrive
Vous avez toujours eu peur de vous lancer dans ce colosse qu’est la saga vidéoludique The Witcher ? Eh bien, CD Projekt a pensé à vous. Le 26 octobre, le studio mets un nom sur de l’un de ses nombreux mystérieux projets. Ainsi, le Projet Majoris a été officialisé cette semaine sous les traits de The Witcher Remake. Cette refonte du premier jeu a pour but de l’offrir à un nouveau public, celui qui, par exemple, a connu l’univers de Andrzej Sapkowski via The Witcher 3. Pour rappel, cet ultime opus a été un véritable succès. Ses copies s’étaient écoulées à plus de 40 millions d’exemplaires, ce qui en fait l’un des 15 jeux-vidéo les plus vendus de l’histoire.
Malcolm bientôt de retour sur nos écrans ?
Cette promesse avait déjà été entendue, mais un des acteurs de la série iconique a relancé cette folle rumeur. Après l'initiative, finalement avortée, d’une suite sous forme de film en 2019, le retour de Malcolm est toujours un projet en vie. Initié via un script signé Bryan Cranston, acteur du père de famille Al, ce projet avait été mis en stand-by suite au refus de l’un des acteurs de participer à cette nouvelle aventure. Invité sur Fox News, Frankie Muniz, a eu des mots qui laissaient bel et bien penser que l’idée n’était pas morte.