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News JVTech Numérique en France : quelle sera la politique du gouvernement d’Elisabeth Borne ?
Profil de Nicolas L. aka « artcore_gamer » ,  Jeuxvideo.com
Nicolas L. aka « artcore_gamer » - Rédacteur

Très engagé sur le terrain du numérique à l’occasion de son premier mandat, Emmanuel Macron laisse pourtant le secteur dans le flou depuis sa reconduction à l’Élysée. À l’issue du discours de politique générale de sa Première ministre, Elisabeth Borne, le doute subsiste.

Numérique en France : quelle sera la politique du gouvernement d’Elisabeth Borne ?

Lors de son discours de politique générale, prononcé le 6 juillet 2022 à l’Assemblée nationale, la Première ministre n’a pas mâché ses mots quant aux ambitions de son gouvernement en matière de numérique.

Nourrissant le rêve d’une « grande nation numérique », Elisabeth Borne a promis la formation d’un million de jeunes dans « les métiers d’avenir », rappelé l’urgence de lutter contre la fracture numérique, et confirmé l’importance de soutenir la French Tech. Mais derrière ce beau discours, les acteurs français du numérique ne voient pas (encore ?) se dessiner les contours d’une politique concrète.

Un bilan positif pour le premier quinquennat Macron

Entre Emmanuel Macron et le numérique, les choses ont pourtant bien commencé. En 2017, alors candidat à la présidence de la République, il s’était engagé à de nombreuses promesses dans le domaine — et le fait est qu’un grand nombre d’entre elles ont été tenues au cours des cinq ans qui ont suivi.

Macron voulait la fin des zones blanches : début 2022, le directeur général de la Fédération française des télécoms, Michel Combot, déclarait que « 30 millions (de foyers sur 40) sont couverts par la fibre optique », et que « les autres ont des solutions satellites et de la 4G, mais dans tous les cas ils ont tous du haut et du très haut débit ».

Macron s’était engagé à développer la téléconsultation pour les médecins et professionnels de santé. Dans un contexte marqué par la crise sanitaire, l’État a effectivement favorisé le développement de ce secteur, en consacrant notamment 100 millions d’euros par an pour « consolider l’essor de la télésanté ».

Enfin, Macron voulait développer tout à la fois le numérique en entreprise, et les entreprises du numérique. En décembre 2018, le gouvernement dévoilait le dispositif France Num, destiné à fournir une aide financière aux entreprises souhaitant accomplir leur transformation numérique. Dans le même temps, la France lançait en 2018 le Fonds pour l’innovation et l’industrie et la stratégie nationale pour l’intelligence artificielle ; et en 2021, contribuait au fonds European Champions Tech Initiative.

Des ambitions modestes durant la campagne présidentielle

Mais pendant la campagne présidentielle de 2022, le sujet du numérique figurait parmi les grands absents du programme d’Emmanuel Macron. Durant l’entre-deux-tours, la rédaction de Radio France s’était employée à lister les promesses en la matière de celui qui était alors candidat à sa réélection — or, celles-ci manquent quelque peu d’ambition.

La plupart d’entre elles sont liées à la régulation et à la prévention : Emmanuel Macron promet la mise en place par défaut, sur les équipements informatiques en tous genres, d’outils pour un usage plus sûr du numérique, comme le contrôle parental, ou un filtre anti-arnaque. Il s’engage également au recrutement de 1 500 « cyber-patrouilleurs », pour lutter contre la désinformation et le harcèlement en ligne, ainsi qu’à la mise en place d’un numéro d’urgence pour les victimes de la cybercriminalité.

D’autres mesures sont liées à la généralisation de l’éducation et de l’accès au numérique ; en ce sens, elles sont la continuité logique du quinquennat précédent : proposer l’apprentissage du numérique et du code dès la 5e, accompagner les Français dans l’usage des outils numériques, ou encore achever la couverture du territoire par la fibre.

Mais en matière d’innovation et d’accompagnement des entreprises du secteur, le candidat Macron se montre très abstrait : outre l’investissement dans l’innovation agricole, par le biais de la robotique et de l’informatique, il agite simplement le rêve « d’expériences en réalité virtuelle » dans le domaine de la culture, et de la construction d’un « métavers européen ». Rien de très concret, à ce stade, pour les nombreuses sociétés françaises du numérique.

Une politique numérique encore floue

Désormais réélu, Emmanuel Macron continue pourtant d’affirmer qu’il porte de grands espoirs envers la filière numérique française. Invité du salon VivaTech en juin dernier, il y avait déclaré qu’il espérait atteindre les 100 licornes françaises (c’est-à-dire 100 startups valorisées à plus de 1 milliard de dollars) d’ici l’an 2030.

Mais ce discours fort optimiste avait malgré tout laissé le secteur de la Tech plutôt mécontent, alors qu’à l’annonce du premier gouvernement Borne, le 20 mai dernier, aucun ministre ni secrétaire d’Etat n’avait été nommé en charge du numérique, pour prendre la suite de Cédric O, qui officiait jusqu’à la fin du quinquennat précédent.

Problème résolu ce lundi 4 juillet, lors de la composition du deuxième gouvernement Borne, avec la nomination de Jean-Noël Barrot à la Transition numérique et aux Télécommunications. Là où son prédécesseur était secrétaire d’Etat, Jean-Noël Barrot est ministre délégué, et obtient donc davantage de compétences. Mais ce signal positif est à nouveau en demi-teinte : contrairement à Cédric O, choisi pour son affinité et son expérience dans le digital, Barrot est un homme à la carrière essentiellement politique, dont les affinités avec le numérique sont entièrement à démontrer.

De ce ministre délégué, les professionnels de la Tech attendent donc pour le moment qu’il fasse ses preuves. À ce stade, ni les promesses d’Emmanuel Macron durant sa campagne, ni les déclarations d’Elisabeth Borne lors de son discours, ne sont annonciatrices de grandes mesures pour renforcer la position française dans le domaine. Jusqu’à preuve du contraire, les acteurs du numérique restent donc dans le flou.

Commentaires
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Cortasia42296 Cortasia42296
MP
Niveau 5
le 10 juil. 2022 à 11:53

Il est excellent, ce gouvernement, je suis très fier d'avoir voté pour ce président https://www.noelshack.com/2022-27-7-1657446823-1621353197-6bccc760-7d18-441e-a032-37f44a7accb5.png

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