Certains internautes ont eu l’excellente surprise de découvrir qu’ils possédaient un bon d’achat de 500 euros à valoir sur le Google Store, mais ils ont rapidement déchanté en découvrant qu’il s’agissait en réalité d’un bug. Dommage !
S’il fallait illustrer la définition de l’ascenseur émotionnel, il ne fait aucun doute que certains internautes utiliseraient une capture d’écran du Google Store pour cela. En effet, le 2 mai dernier, de nombreux visiteurs de la boutique en ligne de Google, qui permet notamment d’acquérir un Pixel 6 ou un Pixel 6 Pro, ont eu la surprise de découvrir que leur compte Google était créditeur de 500 dollars. En d’autres termes, la firme de Mountain View semblait leur faire un bien joli cadeau pour leur permettre d’acheter ses produits.
500 dollars, et puis plus rien
Évidemment, comme on peut s’en douter, la proposition était trop belle pour être vraie. Il s’agissait en réalité d’un bug qui a touché une petite partie des utilisateurs du site : comme l’explique 9to5Google, les propriétaires d’un compte Google sur lequel un crédit, même minime de 1 dollar, était présent au moment de leur visite sur le Google Store, ont vu la somme de 500 dollars s’afficher à la place du montant réel. Les personnes avec 0 dollar de crédit n’ont pas été concernées par le bug.
Les captures d’écran montrent bien que le crédit de 500 dollars apparaît sur la page de la boutique, mais qu’il disparaît sur la page du compte, où seuls 2,90 dollars sont présents, ce qui correspond à la somme réelle que possède l’utilisateur.
Un bug lié à une mise à jour
Le problème serait arrivé suite à la mise à jour réalisée par Google au sein de sa boutique en ligne, qui a connu un rafraîchissement récent, et bienvenu pour la plupart des utilisateurs. Certains ont même pensé que ce généreux crédit était un cadeau-surprise pour les premiers clients de cette nouvelle version.
La déception est grande pour beaucoup d’internautes, mais la conclusion n’est pas si étonnante : on imagine difficilement Google faire un cadeau aussi généreux, même si l'on est en droit de rêver un peu.