L’attente est enfin terminée. Après des mois de supposition, nous savons ce que nous allons devoir débourser pour nous lancer dans la nouvelle génération de consoles. D’un côté, la PlayStation 5 Digital Edition est affichée à 399 euros, et la PlayStation 5 munie du lecteur Blu-ray est à annoncée à 499 euros. De l’autre, la Xbox Series S coûte 299 euros, contre 499 euros pour la Xbox Series X. Des tarifs qui peuvent soulever une interrogation : est-il vraiment plus cher de jouer aujourd’hui par rapport à ce que nous avons connu avec les précédentes générations ? Il est temps d’établir un joli tableau avant de casser une nouvelle fois nos tirelires.
Différentes erreurs s'étaient glissées dans la première version de notre tableau. Nous l'avons mis à jour.
- Neo-Geo (953 euros)
- Saturn (708 euros)
- PlayStation 3 (702 euros)
- Nintendo 64 (207 euros)
- GameCube (256 euros)
- Wii (293 euros)
Des 1 790 francs demandés pour l’Atari 260 aux 329 euros de la Nintendo Switch, les prix de nos machines ont joué aux montagnes russes avec le temps. Lorsque nous prenons en compte l’inflation (calculée en fonction de l’évolution des salaires et du pouvoir d’achat), nous nous rendons compte que cela ne coûte pas forcément plus cher de se procurer des systèmes de jeux aujourd’hui par rapport à il y a 10, 20, voire même 30 ans. Pour celles et ceux qui aiment les statistiques, la Nintendo 64 est la console de salon la moins chère de l’histoire (suivie du GameCube) alors que la Neo-Geo est la plus onéreuse (suivie de la Saturn). Entre les principaux constructeurs actuels et sur la totalité des machines qu’ils ont mises sur le marché, c’est Nintendo qui propose en moyenne les machines les plus abordables, suivi de Microsoft et enfin de Sony.