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News jeu Paris et le jeu vidéo, une longue histoire d'amour
Profil de Kaaraj,  Jeuxvideo.com
Kaaraj - Journaliste jeuxvideo.com

Jouer, c’est s’évader. Découvrir un territoire inédit, un univers sorti de l’imagination débordante d’une équipe de développement, et oublier ne serait-ce qu’un instant des paysages du quotidien. Mais jouer revient aussi parfois à se retrouver en terrain connu : New York, Londres ou Paris font ainsi partie d’une longue liste de villes modélisées dans nos titres favoris, que ce soit par le biais d’une reproduction partielle ou totale, d’une vision réaliste ou fantasmée, d’une réalisation réussie… ou ratée.

Paris et le jeu vidéo, une longue histoire d'amour

Nous nous intéressons ici à Paris, théâtre de nombreux titres sortis au cours des dernières décennies. Avec ses nombreux monuments historiques, son style facilement reconnaissable et sa renommée mondiale, la capitale française est un terrain de choix pour des jeux vidéo souhaitant profiter un peu de son aura avant, à leur tour, de briller au classement des ventes. Mais loin du seul objectif purement financier, plusieurs de ses productions ont aussi su reproduire ou sublimer tout ou partie de la ville lumière avec des approches parfois très différentes.

Paris comme principal terrain de jeu

L’approche historique

Paris et le jeu vidéo, une longue histoire d'amour

Et forcément, lorsque nous parlons de Paris dans le jeu vidéo, un nom revient régulièrement sur le devant de la scène : Assassin's Creed Unity . Il faut dire que le titre s’avère particulièrement impressionnant en terme de modélisation et de rendu de la ville, dépeignant avec beaucoup de fidélité plusieurs quartiers et bâtiments majeurs de cette dernière. Quelques libertés historiques ont certes été prises, comme l’intégration de la flèche qui n’a en réalité été construite que plusieurs dizaines d’années après la révolution française, mais de Notre-Dame au Palais du Louvre en passant par la place de la Concorde, difficile de ne pas s’enthousiasmer devant le travail de recréation minutieux de la capitale, qui a d’ailleurs connu un regain d’intérêt l’an dernier avec le tragique incendie de Notre-Dame.

Il ne s’agit pas du seul titre abordant Paris sous un angle historique. Dans un style très différent sortait il y a plus de 20 ans Louvre : L'ultime Malédiction , qui mêle point’n click et aventure en vue à la première personne au sein du désormais célèbre musée. L’histoire ne se déroule pas uniquement à notre époque, mais aussi à trois autres périodes (14e, 17e et 18e siècle), permettant de découvrir toutes les facettes du Louvre avant qu’il ne devienne un musée, le tout sur fond d’enquête historique.

Paris et le jeu vidéo, une longue histoire d'amour

Un peu plus proche d’Assassin’s Creed Unity de par sa formule en monde ouvert, The Saboteur n’avait certes pas marqué les esprits à son lancement, mais il offrait un vaste terrain de jeu dépeignant le Paris occupé de la seconde guerre mondiale. Quelques choix douteux (Chambord situé au nord de Paris, le cimetière du père-lachaise proche de Bercy ou le paysage de la ville, ici entourée de… montagnes) n’en font pas une reconstitution particulièrement fiable, The Saboteur ayant plus souvent des allures de Paris vu par les bus de touristes. Il s’offre tout de même une ambiance réussie grâce à sa direction artistique et à l'intégration de certains lieux clés tels que l’arc de triomphe ou la Tour Eiffel, que vous aurez même la possibilité d’escalader jusqu’à son sommet si le coeur vous en dit.

Paris alternatif, entre dystopie et vision futuriste

D’autres jeux ont quant à eux opté pour un Paris alternatif. Très récemment, Wolfenstein Youngblood adaptait l’approche dystopique de la série dans un nouvel opus se déroulant dans notre capitale. Un cadre de jeu pourtant un brin sous-exploité, puisqu’aucun lieu iconique n’était ici véritablement mis en avant, le soft préférant s’attarder sur des éléments caractéristiques des lieux, mais qui restent des détails : bouches de métros, catacombes, architecture des bâtiments notamment. Seule exception notable, la version repensée de la Tour Eiffel ici renommée Siegturm, que vous aurez l’occasion d’explorer de l’intérieur. Pour une approche alternative un peu plus poussée en terme de reconstitution, c’est davantage vers Remember Me qu’il faut se tourner. Il n’est ici pas question de dystopie, mais d’un Paris futuriste offrant une nouvelle version des quartiers, monuments et panoramas célèbres de la capitale. Le résultat est artistiquement très réussi et permet surtout d’avoir une vision très exhaustive des lieux iconiques de la capitale, s’attardant autant sur des détails d’ambiance que sur des représentations iconiques incontournables pour le grand public (Tour Eiffel ou Sacré-coeur, entre autres).

Paris et le jeu vidéo, une longue histoire d'amourParis et le jeu vidéo, une longue histoire d'amour

L’option moderne, plus classique

Des détails d’ambiance que l’on retrouve également dans l’épisode original des Chevaliers de Baphomet , qui dépeint cette fois un Paris plus traditionnel et moderne, reprenant nombre de lieux communs sur notre beau pays et ses habitants (la carte de l’europe avec ses personnages bardés de clichés a d’ailleurs assez mal vieilli). Si elle n’est pas le seul lieu explorable du jeu, la ville tient tout de même une place importante au coeur de l’intrigue centrée autour des templiers. Une filiation naturelle s’établit en terme d’approche avec Louvre : L’ultime Malédiction, mais les deux titres se différencient par leurs approches artistiques, Les Chevaliers de Baphomet optant pour un style plus léger et coloré.

Paris et le jeu vidéo, une longue histoire d'amour

Des termes qui ne définissent pas vraiment Tomb Raider : L'ange des Ténèbres , qui base une grande partie de son aventure à Paris avant d’emmener Lara dans une autre capitale européenne, Prague. Malgré un passage au Louvre qui semble décidément s’imposer pour tous les titres s’attardant sur les notions de légendes et d’histoires, celui-ci ne montre qu’une vision très partielle de la ville avec peu d’éléments la caractérisant avec efficacité. Pour trouver une approche aussi moderne qu’originale, c’est davantage vers Night Call qu’il faut se tourner : une vision noire de la ville par le prisme d’un chauffeur de taxi parisien. La ville est principalement représentée sous la forme d’une carte, le reste consistant en des saynètes vous montrant au volant de votre taxi ou en train de prendre une pause clope entre deux courses.

Un paris fugace, mais remarqué

Faire de Paris son seul ou tout du moins son principal terrain de jeu n’est pas toujours aisé, raison pour laquelle d’autres titres ont préféré opter pour une approche moins absolue, Paris n’occupant ici qu’une place limitée de leurs aventures. Pour les raisons évoquées en préambule de l’article, la capitale française dispose d’une renommée mondiale idéale afin d’en faire un simple niveau dans le cadre d’un jeu s’offrant un tour du monde ou à minima plusieurs environnements principaux.

L’espion qui m’aimait

Paris et le jeu vidéo, une longue histoire d'amour

Les jeux d’infiltration ou d’espionnage l’ont bien compris. 007 Nightfire nous offrait ainsi en guise d’introduction une course-poursuite dans les rues de Paris commençant en hélicoptère, se poursuivant en voiture et se concluant sur le plan d’un James séducteur avec la Tour Eiffel en fond. Splinter Cell Pandora Tomorrow nous emmenait lui dans un laboratoire, n’utilisant donc que très partiellement le contexte parisien à l’exception d’une brève virée dans les sous-sols du métro au début de la mission. S’il propose un environnement fictif pour l’occasion, Hitman s’est aussi offert une virée parisienne dans le premier épisode de l’opus lancé en 2016 : un palais au style architectural typique des monuments de la capitale et un contexte de défilé de mode rappellent si le doute était permis que l’ensemble se déroule bien en France. Il ne s’agit d’ailleurs pas d’une première pour la série, puisque Hitman : Blood Money proposait un niveau également basé à Paris qui permettait toutefois moins d’apprécier la ville, puisqu’il était intégralement situé à l’intérieur d’un opéra. Moins proche de nous en terme de temporalité, Velvet Assassin plaçait son intrigue en pleine seconde guerre mondiale et s’offrait donc également un passage par la capitale, tout près de Notre-Dame en l'occurrence. Difficile toutefois d’en profiter pleinement au regard de l’ouverture limitée des environnements ici explorables.

L’approche cartoon ou l’inspiration libre

Paris et le jeu vidéo, une longue histoire d'amour

Moins réaliste dans sa démarche artistique, la série des Sly a régulièrement utilisé Paris comme terrain de jeu dans un style cartoon très réussi. Le plus souvent par le biais de quelques cutscenes se déroulant dans un opéra, un wagon isolé ou un balcon de la ville, mais aussi parfois comme véritable niveau à part entière, à l’image de celui de Sly 2 : Association de voleurs . Si l’aspect fantaisiste ne permet pas toujours de reconnaître au premier coup d’oeil les environnements typiques de la ville, ses toits et surtout la Tour Eiffel au loin nous rappellent à tout moment le lieu de nos larcins. De Tour Eiffel, il est aussi question dans Pokémon X et Y , qui n’ont toutefois pas repris le nom de la ville et de son emblème, mais opté pour une création fortement inspirée de ces derniers. C’est donc ici Illumis qui est représentée, avec la tour prismatique en son centre.

Une vision plus sombre de la capitale

Paris et le jeu vidéo, une longue histoire d'amour

Plus rarement représenté dans les jeux vidéo, l’arc de triomphe a aussi eu droit à son moment de gloire dans Onimusha 3 , qui s’ouvre sur l’invasion des Genma à Paris et joue avec les lignes temporelles en nous faisant de nouveau incarner Samanosuke, ici téléporté dans le futur (en 2004) pour aider Jacques Blanc (incarné par Jean Reno) à se débarrasser des créatures. Une partie des affrontements se déroule sous le célèbre monument de la place Charles-De-Gaulle, tout près de la tombe du soldat inconnu. Rarement évoquées, mais pourtant souvent utilisées, les catacombes se sont elles invités du côté d’un certain Deus Ex , qui nous permettait ensuite d’explorer quelques rues alentours. Pas vraiment impressionnantes visuellement, celles-ci reprennent tout de même quelques codes visuels de la ville, comme ses célèbres bouches de métro ou des enseignes francophones à la traduction parfois… étonnante, dirons nous.

Paris comme lieu d’affrontement

FPS guerriers, le passage obligé

Paris et le jeu vidéo, une longue histoire d'amour

La riche histoire de Paris en fait évidemment un terrain de jeu privilégié pour les séries plaçant certains épisodes dans le contexte de la seconde guerre mondiale. Medal of Honor : Resistance en est l’un des exemples les plus évidents, tandis que les licences Call of Duty et Battlefield ont privilégié sa représentation dans le contexte de la guerre moderne, même si la première citée nous a aussi fait visiter les rues occupées de la capitale dans son épisode justement sous-titré WWII . Dans son approche contemporaine, Battlefield 3 nous offrait quant à lui les derniers instants d’un soldat avec notamment un bref combat sur le quai d’une station de métro précédant la nucléarisation de la ville, tandis que Call of Duty Modern Warfare 3 s’attardait sur une longue bataille terrestre et aérienne se déroulant tout près de la Tour Eiffel, finalement détruite à l’issue de cet affrontement.

Il est également question de Tour Eiffel détruite dans Twisted Metal 2 , aussi théâtre de nombreux affrontements à travers le globe, mais dans un style évidemment très différent des FPS cités plus haut. C’est ici aux commandes de véhicules lourdement armés et dans l’objectif de remporter un grand tournoi que vous devrez détruire vos concurrents en vous appuyant sur votre arsenal. Vous aurez pour cela l’occasion d’écumer les rues et toits de Paris, de détruire statues et adversaires avant potentiellement d’en faire de même avec l’un des bâtiments les plus iconiques de la ville.

L'Arc de Triomphe et les jeux de course, une grande histoire d'amour

Paris et le jeu vidéo, une longue histoire d'amour

Dans un style plus traditionnel, les jeux de course ont aussi régulièrement mis en avant la ville lumière, nous faisant profiter de ses panoramas, ses quais, ou encore l’architecture de ses bâtiments. Le paysage urbain typiquement parisien se retrouve dans bon nombre de titres avec une réussite visuelle plus ou moins avérée : Moto Racer 3 , Paris-Marseille Racing , Burnout ou Gran Turismo 4 avec sa course de l’opéra. Quelques autres productions du même genre ont intégré des monuments célèbres : la Tour Eiffel s’invite par exemple en fond dans le décor d’un GRID 2 ou prend une place imposante au coeur de Midnight Club II . Ce dernier, avec sa structure en monde ouvert nous permettait aussi de découvrir d’autres lieux célèbres de la capitale et de passer notamment sur le parvis de Notre-Dame. Mais l’autre star des jeux de course se déroulant à Paris, c’est l’Arc de triomphe : lieu de finish de la course dans Test Drive 6 , il s’invite aussi dans Midtown Madness 3 , Asphalt : Urban GT ou même GRID 2, déjà cité un peu plus haut.

Les stades de Paris aussi de la partie

Paris et le jeu vidéo, une longue histoire d'amour

L’affrontement peut donc aussi se faire de manière sportive : les déplacements motorisés ne sont pas les seuls à nous faire profiter de l’environnement parisien, la série des Pro Cycling incluant notamment le célèbre sprint final sur les Champs-Elysées dans le cadre de l’ultime étape du Tour de France. D’autres doivent se contenter d’ambiance plus cloîtrées, comme la série des Top Spin 4 ou des Virtua Tennis vous offrant un accès aux terrains de Roland-Garros, qu’ils soient sous licence ou sous le simple nom de “tournoi de Paris”, tandis que côté football, le Parc des Princes squatte la série des FIFA depuis de longues années. Les amateurs de PES peuvent tout de même se retrancher sur les mods pour profiter du stade du Paris Saint-Germain. Difficile de profiter du paysage parisien depuis l’intérieur d’un stade, mais avec les nombreux autres jeux cités, nul doute que les amateurs de la ville sauront trouver de quoi les contenter si l’envie leur vient de s’offrir une virée vidéoludique au coeur de la capitale.

Commentaires
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35andejeuxvideo 35andejeuxvideo
MP
Niveau 3
le 18 août 2020 à 08:00

Et pourtant aucun de ces jeux n'a réussi a mettre en avant le caractère sympathique et altruiste des Parisiens.
C'est ce qui lui donne ces lettres de noblesse !

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Commentaire édité 18 août 2020, 08:02 par 35andejeuxvideo
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