Carnbee est sur le plateau du Journal pour vous parler des jeux retirés des boutiques, ceux qu'on dit "délistés". Avec nos journalistes et chroniqueurs, ils discutent de ce phénomène qui risque de s'intensifier.
Avec les abonnements et la proportion de jeux dématérialisés de plus en plus grande, on peut se demander si les jeux n'ont pas une date limite de consommation désormais. En effet, entre les problèmes de droits sur les licences de jeux, les franchises adaptées, les marques de voitures ou de chaussures, les musiques, les codes sources perdus, les éditeurs sont de plus en plus souvents confrontés à des soucis de distributions. On a déjà eu de nombreux exemples : Alan Wake retiré puis de retour sur le Microsoft Store, ou encore Castle of Illusion ... Plus de 800 jeux sont délistes de Steam chaque année, et une centaine sur les boutiques des consoles. Carnbee explique pourquoi, et comment les éditeurs tentent de résoudre ce problème, afin de continuer à distribuer leurs jeux.