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News jeu Call of Duty Modern Warfare : quand la Russie fait peur à PlayStation
Profil de Epyon,  Jeuxvideo.com
Epyon - Journaliste jeuxvideo.com

La semaine passée, on apprenait via le compte Twitter de Call of Duty en Russie que Call of Duty : Modern Warfare ne serait pas commercialisé sur le PlayStation Store. Une décision d’autant plus étonnante qu’elle est du fait de Sony Interactive Entertainment, et non de l’éditeur du jeu, Activision. Pourtant partenaire privilégié d’Activision et de Call of Duty depuis plusieurs années, Sony aurait donc décidé de prendre ses distances avec le nouveau FPS d’Infinity Ward, tout du moins en Russie. Une décision surprenante, que nous avons cherché à comprendre.

Call of Duty Modern Warfare : quand la Russie fait peur à PlayStation
Attention, spoilers

Pour les besoins de cet article, nous allons devoir présenter le scénario de la campagne de Call of Duty : Modern Warfare mais aussi de nombreux détails scénaristiques de celles-ci. De fait, la suite de l’article contiendra de nombreux spoilers.

Call of Duty Modern Warfare : quand la Russie fait peur à PlayStation
Le message posté sur Twitter par Call of Duty Russia.

Activision et Sony Interactive Entertainment sont deux des éditeurs les plus puissants du monde et dans la mesure où le second commercialise également ses propres consoles de salon, il paraissait logique que l’un et l’autre travaillent en bonne intelligence. Ce qu’ils font, depuis des années. Après le juteux partenariat avec Bungie, qui avait boosté les ventes de PlayStation 4 aux Etats-Unis au moment de la sortie du premier Destiny, Playstation a pu compter sur Activision et ses Call of Duty, qui cherchaient un nouveau partenaire après que Microsot et Xbox aient préféré se retirer. Une nouvelle association qui fait le bonheur des deux nouveaux meilleurs amis et ce depuis 2015, et la sortie de Call of Duty : Black Ops III. Mais les choses ont pris un nouveau tournant ces derniers mois, en tout cas en Russie. En septembre, on apprenait via CharlieIntel, site d’information spécialisé sur Call of Duty, que Sony avait annulé en Russie toutes les pré-commandes numériques de Call of Duty : Modern Warfare, avant d’en faire de même pour la bêta du jeu. L’éditeur japonais n’avait alors fait aucun commentaire. Activision avait réagi via un communiqué officiel, déclarant que « malheureusement, Sony Interactive Entertainement n’est pas en mesure d’assurer la bêta PS4 de Call of Duty : Modern Warfare en Russie ce week-end ». Un commentaire étonnant mais qui préfigurait d’un problème plus large, qui a été confirmé lorsque Activision a fait savoir que Sony ne commercialiserait pas le jeu sur son PlayStation Store.

L’éditeur américain peut toujours compter sur les versions dématérialisées Xbox et PC, qui elles seront bien disponibles, selon lui. Toujours selon CharlieIntel, qui cite un média russe, la version physique PS4 de ce nouveau Modern Warfare pourrait également être concernée. Au moment où nous écrivons ces lignes, nous n’en avons pas encore la confirmation.

Le silence de PlayStation, Activision et Xbox

Cette affaire surprenante, qui pourrait trouver ces origines dans le scénario de la campagne solo de Call of Duty : Modern Warfare, nous a donc poussés à contacter PlayStation et Activision, pour tenter d’obtenir des informations supplémentaires. Mais les deux éditeurs ont souhaité ne pas faire de commentaire supplémentaire, Activision s’en tenant à la déclaration qui a déjà été faite il y a quelques jours :

Call of Duty: Modern Warfare est une fiction qui a été minutieusement conçue pour divertir nos fans et raconter une histoire passionnante. Sony Interactive Entertainment a décidé de ne pas vendre Modern Warfare sur le PlayStation Store en Russie pour le moment. Nous attendons avec impatience le lancement en digital de Modern Warfare en Russie sur PC via Battle.net et sur console via Xbox.

Nous avons également contacté Xbox, puisque nous étions curieux de savoir si l’éditeur américain s’alignerait sur la décision de son concurrent ; si le contenu du jeu est la source du problème, peut-être que Xbox choisirait d’imiter PlayStation, afin de ne pas s’attirer les foudres de la Russie. C’est en tout cas ce que nous avions supposé. Mais à date, les réponses de Xbox ne nous permettent pas de penser qu’une telle chose pourrait se produire.

Un scénario éminemment politique

Puisque nous ne recevions aucune information convenable de la part des trois éditeurs, nous avons donc décidé de nous intéresser au jeu en lui-même. Est-ce vraiment le scénario qui pose problème, comme le suggéraient certains internautes ? Il fallait en avoir le cœur net. Alors, puisque la personne ayant réalisé le test de Call of Duty : Modern Warfare n’était pas disponible pour nous éclairer (nous avons commencé à travailler sur cet article le 23 octobre 2019, NDLR) , nous avons décidé de lancer la campagne du jeu afin de comprendre de quoi il retournait. Et maintenant que nous l’avons terminé, nous comprenons un peu mieux les craintes de PlayStation.

Notre vidéo-test de Call of Duty : Modern Warfare

Call of Duty : Modern Warfare raconte donc l’histoire d’un conflit militaire se déroulant dans un pays fictionnel nommé Urzikstan ; la géographie, l’architecture, la langue, les coutumes vestimentaires ou l’apparence des habitants rappellent facilement certains pays du Proche et Moyen-Orient, comme la Syrie, l’Iran, voire l’Irak. Le pays est occupé depuis des années par la Russie, qui a envahi l’Urzikstan dans le but de combattre l’organisation terroriste Al-Qatala. On discerne ici les deux grands ennemis du jeu : d’un côté, les terroristes, et de l’autre, les forces d’occupation russes. Le jeu tente toutefois d’apporter de la nuance, en fournissant à chaque camp une motivation, une raison d’agir.

Call of Duty Modern Warfare : quand la Russie fait peur à PlayStation
Farrah est la cheffe du FDL.

Ainsi, les forces russes présentes en Urzikstan sont dirigées par le Général Barkov, un homme violent désireux de « protéger la Russie », qui estime que le pays qu’il a envahi est « un vrai vivier de terroristes ». Dans l’absolu, on retrouve ici les mêmes raisons qui ont conduit les États-Unis à attaquer l’Afghanistan, suite aux attentats du World Trade Center, le 11 septembre 2001. Ses méthodes sont sans doute plus discutables puisqu’il n’hésite pas à commander des attaques meurtrières sur des populations civiles, au prétexte que n’importe quel habitant peut être un terroriste, ou un rebelle. Exécutions sommaires, bombardements, tortures, utilisation de gaz toxique… Tout y passe. Ce sont les agissements de l’armée d’occupation qui ont conduit à la création du FDL (Force De Libération), mené par Farrad Ahmed Karim, l’une des protagonistes du jeu. La jeune femme se bat pour libérer son pays et dans ce but, elle n’a pas hésité à réclamer l’aide de plusieurs puissances étrangères, et notamment le Royaume-Uni et les États-Unis.

Call of Duty Modern Warfare : quand la Russie fait peur à PlayStation
Omar Sulaman, le Loup, leader de Al-Qatala.

Et puis il y a Al-Qatala. Si le nom rappelle évidemment celui d’Al-Qaida, l’organisation n’a pas de motivation religieuse : c’est un groupuscule d’anarchistes qui cherchent à abattre les gouvernements en place partout à travers la planète. Al-Qatala est mené par un leader charismatique, le Loup, un natif d’Ursikstan. De son vrai nom Omar Sulaman, il a combattu les Russes en Afghanistan lors de l’invasion du pays par l’URSS en 1979, en comptant sur l’aide des Etats-Unis et de leurs alliés. Mais le désintérêt progressif du bloc de l’ouest pour le conflit a fait naître chez Sulaman une haine farouche des grandes puissances de ce monde ; lassé des « guerres par procuration » menées par les États-Unis, l’URSS puis la Russie, Sulaman a créé Al-Qatala ("Les Tueurs"), qui a dans un premier temps attiré de nombreux combattants locaux, puis ensuite des hommes et des femmes de toutes nationalités. Il commandite plusieurs opérations terroristes à travers la planète, certaines dirigées contre la Russie, ce qui mène à l’invasion dirigée par le Général Barkov ; l’une de ces attaques est d’ailleurs mise en scène au début du jeu, lorsque Al-Qatala parvient à faire exploser plusieurs bombes en plein Londres, déclenchant la réaction du SAS anglais. C’est d’ailleurs principalement à travers l’œil anglais, celui des victimes d’attentats, que le joueur observe l’action de Call of Duty : Modern Warfare.

Call of Duty Modern Warfare : quand la Russie fait peur à PlayStation
Les civils, premières victimes des wars my proxy.

Au-delà de ce résumé très succinct, Call of Duty : Modern Warfare dessine un portrait très sombre de la guerre moderne, dans lequel le bien et le mal n’existent pas vraiment. On apprend ainsi que Sulaman et le Capitaine Price ont déjà travaillé ensemble, que les Anglais et les Américains ont armé le FDL aux yeux et à la barbe de la Russie ; ce qui n’empêchera pas les Américains de prendre leurs distances avec le conflit et d’ajouter le FDL à sa liste des organisations terroristes à combattre. Dans Call of Duty : Modern Warfare, les alliances se font et se défont en fonction des intérêts personnels de chaque nation, et ces intérêts peuvent évoluer très vite. Si Infinity Ward a déclaré par le passé que son nouveau jeu est apolitique, il fait pourtant la critique des guerres par procuration, les fameuses « wars by proxy » théorisées dans les années 70 par un proche conseiller du président Jimmy Carter. Des guerres dans lesquelles ont été et sont toujours impliquées la plupart des grandes puissances, à commencer par la Russie et les États-Unis.

Où est-ce que ça coince ?

Alors évidemment, on serait tenté de penser que c’est le rôle accordé à la Russie dans le jeu qui a incité Sony à prendre ses précautions et ses distances avec le nouveau shooter d’Activision. Car il est aisé de réduire Call of Duty : Modern Warfare à un énième jeu post-Guerre Froide, dans lequel le joueur incarne un Américain défenseur de la liberté, face à des hordes de soldats russes sans pitié. Mais dans les faits, en suivant le scénario de ce Modern Warfare, les choses ne sont pas si binaires ; ni noir ni blanc, le jeu réussit, dans une certaine mesure, à éviter le manichéisme classique des FPS militaires en développant les points de vue de chacun des belligérants. Mais aussi à faire évoluer leurs rôles.

Call of Duty Modern Warfare : quand la Russie fait peur à PlayStation
On combat principalement des Russes, ou des membres d'Al-Qatala.

Ainsi, les Russes ne sont pas nécessairement les grands méchants ; ce rôle est limité au personnage de Barkov, qui semble mener sa campagne de terreur en toute autonomie, sans jamais être inquiété par sa hiérarchie. Pourquoi ? Le scénario du jeu laisse planer ici un flou coupable, et jamais l’on ne saura pourquoi le gouvernement russe n’a pas pris position plus tôt contre Burkov. On finit toutefois par apprendre que la Russie a renié le général. En revanche, le jeu prend soin de ne pas mettre tous les Russes dans le même sac. Ainsi, lorsque Hadir, le frère de Farrad, demande à Alex s’il « tue des Russes », le soldat américain lui répond « Seulement les méchants ». Par la suite, le joueur pourra compter sur le soutien de plusieurs soldats russes, notamment lorsque Al-Qatala vise Saint-Pétersbourg. À la mort du Boucher, le bras droit d’Omar Sulaman, Nikolai, un membre des forces spéciales russes, fait savoir au joueur que « la Mère-Patrie approuverait ». On apprendra en fin de partie que la CIA et le FSB (les services secrets russes) travaillent ensemble, dans un épilogue qui sert également d’introduction au mode Spec Ops. On notera toutefois que les scénaristes n’ont pas hésité à réutiliser un fait de guerre réel, le bombardement de l’Autoroute de la Mort, lors de la Première Guerre du Golfe. Les avions américains avaient alors bombardé quelque 350 soldats, tous désarmés. Dans le jeu, le nom d’ « Autoroute de la Mort » est bien repris mais l’attaque est imputée aux troupes de Barkov, qui auraient massacré hommes, femmes et enfants. Une façon de réécrire l’histoire ? Possible, mais l’on pourrait aussi y voir une critique du bombardement américain : seul un personnage aussi ouvertement malfaisant que Barkov pourrait acter une telle décision.

Call of Duty Modern Warfare : quand la Russie fait peur à PlayStation
Le SAS intervient rapidement en plein Londres. Avec une violence froide et implacable.

Car étonnement, les Américains et leurs alliés n’ont pas toujours le bon rôle dans Call of Duty : Modern Warfare. Les États-Unis apparaissent calculateurs, opportunistes et lâches, préférant agir dans l’ombre, afin que jamais leurs intérêts ne soient menacés. Tâchant de ménager leurs relations avec la Russie, ils défendent avant tout leur situation dans la région et lorsque cette position n’est plus défendable, ils font machine arrière : le Pentagone annule toutes les opérations en cours et abandonne à leur sort leurs alliés du FDL. Pire encore, les États-Unis catégorisent soudainement le FDL comme "organisation terroriste". Un revirement surprenant qui donne raison au Loup, lorsque celui-ci fait la critique des grandes puissances de ce monde.

Il n’y a donc pas vraiment de « camp du bien », dans ce Modern Warfare. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si le jeu opte pour une conclusion hollywoodienne : Infinity Ward ne donne raison à personne et c’est finalement un rassemblement hétéroclite de combattants américains, anglais, russes et urzikans qui vont triompher d’Al-Qatala et de Burkov. Pas de prise de position de la part du studio, sinon sur l’importance des valeurs habituellement mises en avant dans ce type de production. Le courage, l’amitié, le juste combat pour la liberté, la défense des faibles et des innocents… Très convenu, en somme. Et donc pas de quoi expliquer la décision de Sony.

Call of Duty Modern Warfare : quand la Russie fait peur à PlayStation
Le logo des Casques Blancs.

La source du problème pourrait donc être ailleurs, et notamment dans le rôle du FDL et la manière dont il est représenté dans le jeu, comme l’avaient d’ailleurs suggéré plusieurs internautes. Car la situation de l’Urzkistan fait écho aux événements qui se déroulent en Syrie depuis le début de la guerre civile, qui a éclaté en 2011. Pour rappel, la guerre a donné naissance à divers groupes armés et organisations pacifiques, qui sont devenus des acteurs majeurs dans le conflit qui a opposé le gouvernement de Bachar el-Assad aux rebelles. C’est aussi dans ce contexte que l’État Islamique a proclamé, en 2014, son califat, installé en territoire irakien et syrien. Une guerre tripartite donc, qui a conduit à l’intervention de plusieurs puissances étrangères, comme la France, les États-Unis… et la Russie. Alliée du régime de Bachar el-Assad, la Russie est devenue un acteur majeur d’un conflit qui dépasse la simple question de la démocratie en Syrie. Et la Russie a un avis très tranché sur le rôle joué par certains groupes armés et les organisations humanitaires qui sont nés durant la guerre civile. À commencer par celui de la Défense Civile Syrienne, plus connus sous le nom de Casques Blancs ; cette organisation humanitaire, fondée en 2013, a pour but de « sauver des vies », indépendamment du camp choisi. On la retrouve généralement sur les sites touchées par des bombardements pour sortir survivants et cadavres des décombres. Financés par les États-Unis, la France, l’Allemagne ou le Royaume-Uni, les Casques Blancs n’ont pas hésité à dénoncer, photos et vidéos à l’appui, les exactions du régime syrien et sont devenus petit à petit les cibles de l’armée régulière. Mais aussi de la propagande pro-russe, puisque la Russie a accusé la Défense Civile Syrienne d’entretenir des liens avec l’État Islamique et du Front al-Nosra. Un discours entretenu autant par le gouvernement de Bachar al-Assad que par les diplomates russes qui désormais traitent les Casques Blancs comme des terroristes.

Et évidemment, le FDL de Call of Duty : Modern Warfare rappelle beaucoup les Casques Blancs. Opposés à la Russie qui les traite comme les combattants d’Al-Qatala, les soldats de Farrah sont assistés par des puissances occidentales ; pas parce qu’ils défendent une noble cause, mais parce qu’ils sont des pions dans la guerre par procuration que se livrent les occidentaux et les Russes. Mais, et c’est peut-être ce qui pose problème, si Call of Duty : Modern Warfare n’hésite pas à faire la critique des impérialismes américains et russes, il présente le FDL comme le seul camp du bien. Farrah et ses amis se battent pour la liberté, pour sauver des vies, pour que leur pays retrouve la paix. Par extension, qu’Infinity Ward le veuille ou non, le jeu prend le parti de la Défense Civile Syrienne en lui donnant également le bon rôle, ce qui va à l’encontre de la propagande pro-russe. De quoi faire tousser quelques ministres à Moscou. Sony et sa division PlayStation, qui s’étaient déjà faits remarquer il y a quelques mois pour des histoires de censure, auront peut-être préféré jouer la carte de la sécurité.

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Commentaires
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lil-noob lil-noob
MP
Niveau 6
le 01 nov. 2019 à 17:45

Encore une fois les amis on peut s'apercevoir a quelle point les Americain suce des graines en tentant de réécrire l histoire en mettant des acte d une lâcheté sans nom sur le dos d un opposant en plus de tenter de rendre cette acte justifiable a traver un personnage fictif . En bref les USA suce et avale toujours plus!

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