Dans ce dernier, outre diverses informations que l'on connait déjà comme sa similarité structurelle avec Until Dawn, les développeurs, au travers de Pete Samules, producteur, nous parlent un peu du système narratif à embranchement, qu'ils nous annoncent comme encore plus riche.

Il y a des scènes qui n'existent que sur des chemins narratifs spécifiques, différentes combinaisons de survivants possibles avant les scènes finales, des conséquences plus significatives et, à certains égards, plus surprenantes, de "mauvaise gestion", ainsi que des fins qui varient considérablement en fonction des chemins empruntés. Man of Medan a les résultats les plus diversifiés de tous nos jeux à ce jour. Il y a plusieurs façons d'essayer de quantifier cela, mais en voici une seule. Dans Until Dawn, il y avait 38 scènes de mort pour les personnages et vous pouviez en voir jusqu'à 10 en une seule partie. Il y en a 69 dans Man of Medan, et le maximum que vous pourrez voir lors d'une partie est de neuf.

Ainsi, la rejouabilité qu'on nous annonçait dès l'année dernière se traduit par de très nombreuses scènes à découvrir lors de parties supplémentaires, qui devront donc être au minimum 9. Egalement, si Until Dawn rendait hommage au slasher movies des années 80-90, Samuels nous explique que les influences de Man of Medan sont plus larges :

Man of Medan a certes des points de contact similaires, mais aussi des références que vous reconnaîtrez en provenance du sous-genre de l'intrusion, des phénomènes beaucoup plus surnaturels, et même d'horreur de science-fiction. Nous pensons qu'il est certainement plus contemporain dans ses influences et, bien sûr, ce n'est que le premier d'une anthologie. Les deuxième, troisième et quatrième épisodes sont assez différents dans leurs influences.

L'occasion de rappeler que si Man of Medan est un jeu qui pourra être joué indépendamment des autres, il fait partie d'une anthologie de 4 titres aux univers reliés entre eux.