Suite spirituelle de Limbo et Inside en fausse 3D, Sommerville ne vaut pas un pet de lapin. Le personnage est lourd à diriger, les bugs de collisions sont à foison, graphiquement ce n'est pas ouf, l'histoire a déjà été vu 100 fois autre part et les énigmes sont de la simplicité affligeante.

Un bon jeu d'aventure et de plateforme en 3D futuriste qui ressemble beaucoup à Inside mais en plus coloré avec un côté La Guerre Des Mondes. Le jeu est très beau graphiquement avec une très jolie direction artistique, le gameplay est bon et facile à prednre en main, les musiues sont de qualité et la durée de vie est correcte avec environ 4 heures de jeu, l'histoire est intéressante avec une invasion extraterrestre et le protagoniste qui possède des pouvoirs. En revanche il est dommage d'avoir quelques imperfections au niveau du gameplay et quelques bugs. Et pour terminer sur une bonne nouvelle : le jeu est disponible dans le Xbox Game Pass.

Le jeu est loin d'être parfait.
Trop facile, aucun challenge. Un gameplay plus que basique.

Cependant il est franchement agréable à parcourir, en partie grâce à une direction artistique très soigné.

Je ne comprends pas qu'on puisse mettre une note en dessous de la moyenne à ce jeu.

Je suis déçu, j'avais énormément d'attente pour ce jeu, peut-être trop d'attente.
je vais commencer d'abord par le gros gros point fort du jeu : son ambiance est complètement dingue, j'adore le style visuel l'atmosphère, l'histoire qu'on nous raconte.
Alors me direz-vous pourquoi seulement 12, c'est simple le gameplay avec ses 2,5 D c'est très compliqué de savoir où se situe notre personnage à l'écran. Du coup par moment on est bloqué alors qu'on avait trouvé la solution un quart d'heure plus tôt mais on arrivait simplement pas à placer notre personnage correctement pour interagir avec tel ou tel objet et on était bloqué.
C'est vraiment dommage car s'il n'y avait pas ses bugs de placement de collision le jeu serait tellement plus fluide et bien meilleur. le gameplay gâche la narration dommage pour un jeu vidéo.

Alors pour les points forts, ça va être rapide :
La DA, musiques sympas quand il y en a et les graphismes qui restent, malgré tous les défauts, très plaisant.
On sent une volonté de bien faire mais qui fonctionne beaucoup trop rarement.
Certains puzzles intéressants, même si 90% sont beaucoup trop faciles.

Les points faibles qui font de ce jeu une véritable purge:
Un scénario ultra générique au début mais qui fini par perdre son public en chemin, on ne comprend plus rien rapidement et ça ne s'arrange pas dans le temps ET qui ne mène à rien de bien consistant, même une fois le jeu fini.
Les bugs de collision partout, tout le temps.
Certains de ces bugs vous ferons recommencer certaines séquences plusieurs fois sans raison (je pense au passage où il faut se cacher derrière une barque pour traverser une rivière avec des glitches abominables qui téléporte le perso 5m devant ou derrière la barque.
Un système de vue en plans parallaxes complétement pété qui fait qu'on arrive régulièrement à chercher de longues minutes où on est sensé allé.
Certaines phases de gameplay males amenées qui font qu'on est obligé de crever sans savoir quoi faire.
De nombreux niveaux interminables au ralenti, ou il faut juste pousser le joystick dans une direction en activant les bons pouvoirs... J'ai DESTESTE ces très longues minutes totalement INUTILES, QUASIMENT 1 HEURE SUR les 4 heures annoncées !!!
POUR AVOIR LA BONNE FIN SANS TRICHER, une seule solution : faire et refaire les séquences pour trouver tous les "petits robots" qui trainent et comprendre leur fonctionnement... ET je peux vous garantir qu'une fois le jeu fini, vous n'aurez aucune envie de recommencer !

Un gros foirage, il n'y a pas beaucoup d'autres mots pour décrire ce jeu.
Le gameplay est très lent et laborieux.
Les collisions sont complètement ratées, par exemple le personnage va se retrouver bloqué contre des éléments du décor ce qui nous obligera à recharger le checkpoint.
Même chose pour les éléments interactifs des énigmes, qui peuvent se retrouver bloquées contre de l'herbe ou des petits cailloux...
En parlant des énigmes, celles-ci sont enfantines et déjà vues et revues... Et extrêmement bugguées !
La principale difficulté sera d'apprender les angles de caméra, souvent beaucoup trop éloignés et mal choisis.
Même pour récupérer les 1000g de gamerscore facilement, le jeu ne vaut pas la peine de perdre 2-3 heures

On loue fréquemment les jeux modernes pour leur contenu gargantuesque, leurs graphismes et leurs durées à rallonge, trois critères qui semblent définir ce qu'est un bon produit vidéoludique. Mais est-ce qu'on félicite l'originalité ? Malheureusement non, et c'est tout à fait regrettable. Car lancer une partie de Somerville, c'est avoir l'assurance de plonger dans une expérience inclassable, et proprement fascinante.

Somerville ne renie pas sa filiation avec les géniaux puzzle-platformers atmosphériques (dont le co-créateur est un précurseur en la matière, ne l'oublions pas), "Inside" en tête, mais il s'agit essentiellement de petits éléments éparses (notamment esthétiques, ainsi que l'utilisation parfaitement maîtrisée du moteur Unity) lui rendant hommage.

Dans les faits, l'incroyable récit SF interactif auquel nous participons activement n'est pas un jeu de plateforme. Afin de progresser, la réflexion est de mise. Les décors à la troublante beauté dévastée intègrent de subtils repères visuels, un procédé efficace qui permet au joueur de ne pas errer sans raison, et qui en pratique fait confiance à son intelligence, son sens de l'observation, et récompense les dites facultés comme il se doit.

Quant à la narration, qu'un Spielberg ou un Nolan ne renieraient pas, elle est un peu plus complexe à appréhender, et se montre même volontairement nébuleuse, bien que sa brillante mise en scène tienne davantage de la démonstration que de la suggestion. Une seconde partie ne sera pas de trop pour démêler l'entièreté de l'intrigue. Qu'importe ; un concept aussi bien ficelé, rythmé, et unique que Somerville, n'est que pure délectation pour un passionné du 10ème art que la différence n'effraie pas.