Succédant à SNK, alors en faillite, Noise Factory s'occupa de la réalisation du troisième Sengoku. Si le titre brille par la qualité de sa technique, il en va autrement sur le fond avec la disparition des voyages dans le temps, des transformations et des phases d'action variées qui faisaient le sel de la série. On se retrouve avec un Beat'em All académique, certes, mais foncièrement divertissant.