« Desert Child » est un jeu indépendant en pixel art lancé en kick starter par Oscar Brittain. Alors que dire de Desert Child. Commençons pas les points positifs peut être. Avant toutes choses, ce jeu est absolument magnifique. La direction artistique est juste sublime et c’est un vrai plaisir de déambuler dans les rues de cette ville de Mars. Chaque secteur est un tableau où nous pouvons voir déambuler tous ces expatriés de la Terre de toutes les couleurs, origines et cultures. Ville cosmopolite où se dégage une atmosphère chaleureuse et underground. Les différents décors fourmilles de détails et de réferences empreintées à l’univers de la bande dessinée et du cinéma. La bande son, quant à elle, est géniale. Parfois électro parfois new retro ou encore par moments avec plus de groove et des sonorités hip hop, elle est composée et interprétée en grande partie par le dit Oscar Brittain. Il nous offre ici un large choix de vinyles à acheter au disquaire du coin avec l’argent remporté aux cours de nos différentes courses. Car oui, « Desert Child » est avant tout un jeu de courses qui reprend le principe d’un Gradius.
Votre bécane du futur, appelée ici hoverbike, est équipée d’un fusil que vous choisissez en démarrant une nouvelle partie, et vous êtes lancé à tout berzingue dans des courses effrénées en 1vs1. Au cours du jeu, vous aurez également la possibilité de faire quelques petits boulots pour remplir votre portefeuille comme livrer des pizzas ou participer à des courses truquées. Cet argent vous permettra d’améliorer et réparer votre bolide, mais aussi de faire une pause au japonais du coin afin de vous restaurer. Malheureusement c’est au niveau du gameplay que le les défauts se font ressentir. En effet les courses sont extrêmement répétitives, le challenge n’est pas au rendez vous car même si il est possible d’influencer la victoire ou la défaite on a la sensation que tout est à peut prêt dû au hasard. Ceci est causé par une intelligence artificielle qui ralenti, accélère, et bouge sans trop de logique et une visibilité très réduite ce qui occasionne souvent des collisions contre des murs, poteaux ou vagues parce qu’on a tout bonnement pas eu le temps des les voir arriver. Ajoutez à cela une réalisation aux fraises et vous obtenez un jeu de courses en pixel art où dès qu’il y’a un peu trop d’éléments à l’écran vous subissez une chute de framerate ahurissante qui casse complètement la sensation de vitesse et de fluidité. Le jeu est divisé en trois chapitres, le premier faisant office de tutoriel et le dernier de conclusion, c’est dans le deuxième chapitre que se situe le cœur du jeu et vous devez comptez environ 3h pour en venir à bout si vous flânez un peu.
C’est dommage... c’est à se demander si ce n’est pas une vitrine pour faire la promotion d’un album(génial) ou juste un vrai beau jeu où on ne s’amuse pas vraiment. L’univers aurait mérité d’être creusé car tout y est pour créer une licence à succès. Il ne manque plus que le fun et un peu de scénario et nous serions prêt à enfourcher notre moto volante et partir tout droit en fixant l’horizon au son de la radio.
« Desert Child » est un jeu indépendant en pixel art lancé en kick starter par Oscar Brittain. Alors que dire de Desert Child. Commençons pas les points positifs peut être. Avant toutes choses, ce jeu est absolument magnifique. La direction artistique est juste sublime et c’est un vrai plaisir de déambuler dans les rues de cette ville de Mars. Chaque secteur est un tableau où nous pouvons voir déambuler tous ces expatriés de la Terre de toutes les couleurs, origines et cultures. Ville cosmopolite où se dégage une atmosphère chaleureuse et underground. Les différents décors fourmilles de détails et de réferences empreintées à l’univers de la bande dessinée et du cinéma. La bande son, quant à elle, est géniale. Parfois électro parfois new retro ou encore par moments avec plus de groove et des sonorités hip hop, elle est composée et interprétée en grande partie par le dit Oscar Brittain. Il nous offre ici un large choix de vinyles à acheter au disquaire du coin avec l’argent remporté aux cours de nos différentes courses. Car oui, « Desert Child » est avant tout un jeu de courses qui reprend le principe d’un Gradius.
Votre bécane du futur, appelée ici hoverbike, est équipée d’un fusil que vous choisissez en démarrant une nouvelle partie, et vous êtes lancé à tout berzingue dans des courses effrénées en 1vs1. Au cours du jeu, vous aurez également la possibilité de faire quelques petits boulots pour remplir votre portefeuille comme livrer des pizzas ou participer à des courses truquées. Cet argent vous permettra d’améliorer et réparer votre bolide, mais aussi de faire une pause au japonais du coin afin de vous restaurer. Malheureusement c’est au niveau du gameplay que le les défauts se font ressentir. En effet les courses sont extrêmement répétitives, le challenge n’est pas au rendez vous car même si il est possible d’influencer la victoire ou la défaite on a la sensation que tout est à peut prêt dû au hasard. Ceci est causé par une intelligence artificielle qui ralenti, accélère, et bouge sans trop de logique et une visibilité très réduite ce qui occasionne souvent des collisions contre des murs, poteaux ou vagues parce qu’on a tout bonnement pas eu le temps des les voir arriver. Ajoutez à cela une réalisation aux fraises et vous obtenez un jeu de courses en pixel art où dès qu’il y’a un peu trop d’éléments à l’écran vous subissez une chute de framerate ahurissante qui casse complètement la sensation de vitesse et de fluidité. Le jeu est divisé en trois chapitres, le premier faisant office de tutoriel et le dernier de conclusion, c’est dans le deuxième chapitre que se situe le cœur du jeu et vous devez comptez environ 3h pour en venir à bout si vous flânez un peu.
C’est dommage... c’est à se demander si ce n’est pas une vitrine pour faire la promotion d’un album(génial) ou juste un vrai beau jeu où on ne s’amuse pas vraiment. L’univers aurait mérité d’être creusé car tout y est pour créer une licence à succès. Il ne manque plus que le fun et un peu de scénario et nous serions prêt à enfourcher notre moto volante et partir tout droit en fixant l’horizon au son de la radio.