Après avoir fait le tour de cette série éponyme, je me devais de finir avec ce dernier jeu sorti à ce jour, l'occasion de ressortir mon PSVR : ce fut pour moi une nouvelle épopée vidéoludique, mais de trop courte durée...
Graphiquement, les environnements précédemment vus dans Youngblood rendent extrêmement bien en réalité virtuelle. Sans être aussi variés, colorés et ahurissants qu'avec un Astro Bot, on est tout de suite plongé dans une ambiance de science-fiction très accrocheuse.
Le gameplay est un peu particulier à prendre en main, mais on s'y habitue rapidement : cloué sur un fauteuil, on apprends d'abord à interagir avec ce qui nous entoure afin de réparer des prototypes de machines, puis on en viens à en prendre le contrôle. Au programme : quelques niveaux assez linéaires avec de l'incinération de nazis à bord du Panzerhund, des niveaux d'infiltration plus techniques au contrôle d'un petit drone d'espionnage, et de la grosse démolition avec le colossal Zitadelle. Le jeu est jouable à la manette de PS4, mais je recommande vivement d'y jouer à l'aide de deux PSMove pour utiliser correctement nos deux mains.
Niveau durée de vie, malgré la présence de trophées à débloquer en accomplissant certaines actions lors des missions, le jeu est extrêmement court. En prenant mon temps, j'ai dû le finir en 2h30... J'aurai aimé que les divers concepts vu au cours du jeu soient bien plus exploités.
La bande son est de bonne qualité, avec des musiques et bruitages issus de Youngblood. Rien à dire de plus à ce sujet, on retrouve forcément une ambiance similaire, ce qui n'est pas déplaisant.
Enfin, le scénario est assez anecdotique mais nous ramène à Paris quelques temps avant l'arrivée des sœurs Blazkowicz : on contrôle ici un Cyber-pilote, androïde spécialisé dans le contrôle à distance d'autres machines de destruction. Réparé par Maria et Jemma, deux résistantes, nous devrons leur prêter main forte et accomplir une mission visant à stopper les projets de Recherche & Développement des nazis en détruisant l'une des 3 tours de Paristadt : Frère 3. Ce scénario est plus un prétexte qu'autre chose, mais renforce un peu plus l'immersion.
En définitive, Wolfenstein : Cyberpilot a plus des allures de démo technique que de vrai jeu à part entière. Ce spin off en VR aura été une nouvelle expérience sympathique pour ma part, mais évidemment beaucoup trop courte, ce qui justifie la note de 12/20 que je lui attribue. Je ne le recommande qu'à ceux qui comme moi ont apprécié l'ambiance des Wolfenstein de cette génération, en particulier Youngblood, et qui ne sont pas trop exigeants concernant la VR et le gameplay à base de détection de mouvements, mais je vous déconseille d'y jouer sans disposer de 2 PSMove.
Après avoir fait le tour de cette série éponyme, je me devais de finir avec ce dernier jeu sorti à ce jour, l'occasion de ressortir mon PSVR : ce fut pour moi une nouvelle épopée vidéoludique, mais de trop courte durée...
Graphiquement, les environnements précédemment vus dans Youngblood rendent extrêmement bien en réalité virtuelle. Sans être aussi variés, colorés et ahurissants qu'avec un Astro Bot, on est tout de suite plongé dans une ambiance de science-fiction très accrocheuse.
Le gameplay est un peu particulier à prendre en main, mais on s'y habitue rapidement : cloué sur un fauteuil, on apprends d'abord à interagir avec ce qui nous entoure afin de réparer des prototypes de machines, puis on en viens à en prendre le contrôle. Au programme : quelques niveaux assez linéaires avec de l'incinération de nazis à bord du Panzerhund, des niveaux d'infiltration plus techniques au contrôle d'un petit drone d'espionnage, et de la grosse démolition avec le colossal Zitadelle. Le jeu est jouable à la manette de PS4, mais je recommande vivement d'y jouer à l'aide de deux PSMove pour utiliser correctement nos deux mains.
Niveau durée de vie, malgré la présence de trophées à débloquer en accomplissant certaines actions lors des missions, le jeu est extrêmement court. En prenant mon temps, j'ai dû le finir en 2h30... J'aurai aimé que les divers concepts vu au cours du jeu soient bien plus exploités.
La bande son est de bonne qualité, avec des musiques et bruitages issus de Youngblood. Rien à dire de plus à ce sujet, on retrouve forcément une ambiance similaire, ce qui n'est pas déplaisant.
Enfin, le scénario est assez anecdotique mais nous ramène à Paris quelques temps avant l'arrivée des sœurs Blazkowicz : on contrôle ici un Cyber-pilote, androïde spécialisé dans le contrôle à distance d'autres machines de destruction. Réparé par Maria et Jemma, deux résistantes, nous devrons leur prêter main forte et accomplir une mission visant à stopper les projets de Recherche & Développement des nazis en détruisant l'une des 3 tours de Paristadt : Frère 3. Ce scénario est plus un prétexte qu'autre chose, mais renforce un peu plus l'immersion.
En définitive, Wolfenstein : Cyberpilot a plus des allures de démo technique que de vrai jeu à part entière. Ce spin off en VR aura été une nouvelle expérience sympathique pour ma part, mais évidemment beaucoup trop courte, ce qui justifie la note de 12/20 que je lui attribue. Je ne le recommande qu'à ceux qui comme moi ont apprécié l'ambiance des Wolfenstein de cette génération, en particulier Youngblood, et qui ne sont pas trop exigeants concernant la VR et le gameplay à base de détection de mouvements, mais je vous déconseille d'y jouer sans disposer de 2 PSMove.