Plutôt un drame psychologique monté comme un film d'horreur, autant prévenir tout de suite, c'est du racolage. L'ambition n'est pas de concurrencer un Silent Hill ou de coller une trouille bleue aux joueurs, même si certains passages sont beaucoup plus angoissants que d'autres...la Maman, précisément, pilier de l'intrigue, fout un peu les jetons. Non, c'est plutôt un labyrinthe sombre, l'idée c'est de rester dans la lumière, l’obscurité est dominée par des entités diaboliques au regard fluo. Malheureusement le jeu est trop dépassé techniquement pour procurer quoi que ce soit, on ne se sent pas vraiment menacé. C'est certainement encore un jeu victime de son budget... Wired Productions ne fait jamais dans la dentelle en manière d'histoire tortueuse, ici encore les personnages ne sont pas tous gentils, des âmes fracturées, des choix couteux...et donc trois fin radicalement différentes. La question c'est de savoir si le jeu, très lent, vous donnera l'envie de les découvrir. J'ai accroché suffisamment pour, mais Those Who Remain restera classé parmi mes petites déceptions de l'année.

Petit jeu sympathique. L'histoire est agréable à suivre, le gameplay est correct, bien que les mouvements soit lent. Les énigmes sont cool, parfois un peu difficile

J’ai du finir ce jeu en plusieurs fois car je me suis lassé les actions répétitives. Ce qui m’a poussé à continuer était de savoir la fin de l’histoire Ce qui m’a poussé à continuer été de savoir la fin de l’histoire