Jeu d'épouvante/aventure à la première personne, Don't Knock Twice remplit sa part du marché, à savoir jouer correctement avec les ficelles de la peur. Tiré d'une légende russe, la sorcière de Baba Yaga, le joueur évolue essentiellement dans une vaste demeure. Je ne l'ai testé que de manière classique alors ma critique ne parle que de cette version. Malgré tout, même sans casque VR, le jeu se montre plutôt flippant.
Graphismes/ esthétique : Bons graphismes. Au niveau esthétique, c'est glauque (mention spéciale aux tableaux de la maison, particulièrement celui au dessus de la cheminée de départ, qui s'avère ultra flippant par la suite !). Le point faible par contre c'est l'absence de reflet dans les miroirs que l'on croise... Notre personnage n'a pas de corps ! L'utilisation des armes est quand à elle assez peu crédible mais qu'importe, n'oublions pas qu'il ne s'agit pas d'un jeu à gros budget...
Scénario : S'inspire d'un film du même nom (ou Baba Yaga chez nous). Vous vivez depuis peu sous le même toit que votre ado ultra flippante et il va falloir composer avec ça ! (Je n'en dis volontairement pas grand chose car je ne veux pas spoiler).
Jouabilité : Simple à première vue, mais pourtant pas tant que ça, j'avoue qu'on s'emmêle un peu les pinceaux avec les boutons... Pourquoi dans ce style de jeu s'entêter à attribuer le bouton R2 pour toutes les actions ? Alors que les boutons X ou carré s'y prêtent si bien depuis tant d'années ?
Bande son : Rien à redire, c'est soigné de ce côté. Les sons sont de qualité et contribuent à ce sentiment de peur, la musique est quand à elle excellente et colle au thème, à savoir une légende russe. En effet on peut entendre le célèbre chant russe traditionnel "Kalinka" revisité. L'idée est sympa.
Durée de vie : Le titre est assez court et la rejouabilité n'est pas énorme (2h environ pour un run, peut-être 3 en prenant son temps). Une fois qu'on connaît le jeu, le refaire pour avoir l'autre fin ne prend pas énormément de temps (après il y a quelques actions spécifiques à faire ici et là si on veut exploiter le jeu à fond...).
Le jeu joue pas mal sur les jump scares, et j'avoue que ça fonctionne... C'est pourquoi je ne peux que vous conseiller d'y jouer avec un casque sur les oreilles, et de préférence la nuit, dans le noir complet. Le jeu se révèle aussi plus subtil dans ses effets de la peur, je ne vous en dirai pas plus car je vous laisse découvrir par vous même car de ce côté là, les développeurs semblent maîtriser leur sujet.
La note est adaptée au jeu en lui-même, c'est à dire que j'ai pris en compte le fait que c'était un petit jeu indépendant, avec moins de moyens que les grosses sorties. Malgré tout il reste une bonne surprise pour qui aime se faire peur.
Jeu d'épouvante/aventure à la première personne, Don't Knock Twice remplit sa part du marché, à savoir jouer correctement avec les ficelles de la peur. Tiré d'une légende russe, la sorcière de Baba Yaga, le joueur évolue essentiellement dans une vaste demeure. Je ne l'ai testé que de manière classique alors ma critique ne parle que de cette version. Malgré tout, même sans casque VR, le jeu se montre plutôt flippant.
Graphismes/ esthétique : Bons graphismes. Au niveau esthétique, c'est glauque (mention spéciale aux tableaux de la maison, particulièrement celui au dessus de la cheminée de départ, qui s'avère ultra flippant par la suite !). Le point faible par contre c'est l'absence de reflet dans les miroirs que l'on croise... Notre personnage n'a pas de corps ! L'utilisation des armes est quand à elle assez peu crédible mais qu'importe, n'oublions pas qu'il ne s'agit pas d'un jeu à gros budget...
Scénario : S'inspire d'un film du même nom (ou Baba Yaga chez nous). Vous vivez depuis peu sous le même toit que votre ado ultra flippante et il va falloir composer avec ça ! (Je n'en dis volontairement pas grand chose car je ne veux pas spoiler).
Jouabilité : Simple à première vue, mais pourtant pas tant que ça, j'avoue qu'on s'emmêle un peu les pinceaux avec les boutons... Pourquoi dans ce style de jeu s'entêter à attribuer le bouton R2 pour toutes les actions ? Alors que les boutons X ou carré s'y prêtent si bien depuis tant d'années ?
Bande son : Rien à redire, c'est soigné de ce côté. Les sons sont de qualité et contribuent à ce sentiment de peur, la musique est quand à elle excellente et colle au thème, à savoir une légende russe. En effet on peut entendre le célèbre chant russe traditionnel "Kalinka" revisité. L'idée est sympa.
Durée de vie : Le titre est assez court et la rejouabilité n'est pas énorme (2h environ pour un run, peut-être 3 en prenant son temps). Une fois qu'on connaît le jeu, le refaire pour avoir l'autre fin ne prend pas énormément de temps (après il y a quelques actions spécifiques à faire ici et là si on veut exploiter le jeu à fond...).
Le jeu joue pas mal sur les jump scares, et j'avoue que ça fonctionne... C'est pourquoi je ne peux que vous conseiller d'y jouer avec un casque sur les oreilles, et de préférence la nuit, dans le noir complet. Le jeu se révèle aussi plus subtil dans ses effets de la peur, je ne vous en dirai pas plus car je vous laisse découvrir par vous même car de ce côté là, les développeurs semblent maîtriser leur sujet.
La note est adaptée au jeu en lui-même, c'est à dire que j'ai pris en compte le fait que c'était un petit jeu indépendant, avec moins de moyens que les grosses sorties. Malgré tout il reste une bonne surprise pour qui aime se faire peur.
Franchement ? Si vous voulez vraiment avoir peur dans un jeu du même genre, foncez sur Layers Of Fear et oubliez ce Don't Knock Twice où il ne se passe absolument RIEN!
Techniquement dépassé, truffé de bugs, les jumpscares sont risibles et au nombre de 3 je crois dans tout le jeu, la fin est lamentable. Vraiment, ce jeu est loupé et en rien intéressant ni flippant.