Jeu assez mauvais. Déjà techniquement c'est indigne d'une PS4, c'est moche et ça se permet en plus de ramer très souvent.
Le gameplay est pas très bon non plus, la visée est totalement imprécise, et les combats en mêlée sont ridicules.
L'histoire c'est simple, j'ai suivi au début puis petit à petit ça m'a littéralement gonflé à tel point que je ne m'y suis plus intéressé. Les personnages sont globalement sans intérêt.
Bref jeu sauvé par son ambiance et c'est à peu près tout, j'y ai passé une dizaine d'heures et je ne l'ai pas fini tellement ça m'a gavé.

Le créateur de Resident Evil revient avec un nouveau jeu sur next gen avec un survival horror old school. Alors ce jeu est il un cauchemar ? La réponse est OUI mais c'est une bonne chose.
Les Plus :
- Un survival à l'ancienne.
- Graphiquement parfois très beau.
- Économiser ses balles.
- Les Boss (Surtout la femme araignée).
- La fins est un véritable cauchemar.
- Le feu.
Les Moins :
- On comprend pas toujours tout.
- Un peu lent à bouger Sebastian.
- Des bandes noires sérieusement.

The Evil Within est un survival-horror qui s'inscrit dans la lignée des « Résident Evil ». Le jeu a été réalisé par le père de cette série légendaire Shinji Mikami. L'atmosphère, le gameplay et le positionnement de la caméra derrière notre perso se rapprochent pas mal de l'excellent Resident Evil 4.

Tango Gameworks, grâce au savoir faire de l'illustre Shinji Mikami nous à concocté un cocktail détonnant de tout ce qui se fait de mieux dans le genre (survival-horror), le jeu emprunte pas mal de chose à Silent Hill sur l'aspect psychologique et torturé, on retrouve aussi quelques éléments d'infiltration inspiré de The Last of Us et on a parfois la possibilité quand les éléments du décor s'y prêtent de se cacher comme dans un certain Outlast. On sent aussi toute la fascination et l'admiration qu'à Mikami pour certains films d'horreur et films étrange dont je ne citerai pas les noms.
Nombreux sont ceux qui restent pantois et dubitatif devant cette histoire de manipulation cérébrale (psychique) au scénario pour le moins confus et alambiqué, mais c'est justement ce côté irrationnel et psychologique qui m'a beaucoup plu et ça la rend (l'histoire) intrigante et énigmatique jusqu'au bout. À certains moments, on ne sait plus du tout si on est dans la réalité, dans un rêve ou sous contrôle cérébrale d'un esprit ou scientifique malveillant. Pour pouvoir apprécier ce genre de jeu, il faut parvenir à s'affranchir de toute rationalité et de toute notion de logique. Les graphismes sont un peu vieillots, mais là encore se style daté renforce l'aspect lugubre des environnements et l'horreur en générale.
On peut lui reprocher ce que l'on veut, mais en tout état de cause le gameplay même s'il n'a rien d'original se montre bien supérieur à la plupart des autres survival-horror au gameplay plus limité. La majorité des survival-horror récents mettent beaucoup plus l'accent sur l'horreur que sur le côté survival. Comme c'est souvent le cas dans les jeux japonais le gameplay est de très bonne facture et hormis quelques chapitres, la pression imposée par le rythme de l'action ne retombe que rarement. Les munitions que l'on trouve en quantité limitée amplifient grandement notre sensation d'angoisse et de pression ainsi que notre sentiment d'insécurité. La difficulté du soft est savamment dosée, les pics de difficulté sont bien répartis et les boss nous font vivre des moments épiques. L'emploi de l'arbalète ajoute une vraie plus-value au gameplay, les différentes sortes de flèches nous permettent de faire des combinaisons très efficaces et jouissives avec les allumettes, les armes à feu et le couteau. À noter que la flopée de pièges que l'on désamorce nous réapprovisionne en matériel nécessaire à la fabrication des flèches.
Le jeu n'est pas exempt de défauts, certains chapitres un peu en de ça dans leur inspiration narrative ne nous épargne pas quelques maladresses d'écriture et certaines répliques entre Sebastian Castellanos et Joseph sont un peu niaises. Les bugs de collision sont monnaie courante lorsqu'on utilise l'arbalète, les flèches de cette dernière passent souvent à travers les répliques de Ruvik (les ennemis affublés d'une capuche dans les derniers chapitres) même en visant en plein milieux de leur corps. La framerate instable dans quelques chapitres provoque des saccades qui parasite les cinématiques.

Rajouté le 11 novemebre 2017

Il est rare que je revienne sur l'un de mes avis, mais après l'avoir fait une deuxième fois en speed run dans l'optique de le platiner, il s'avère en fin de compte que le gameplay souffre de beaucoup trop d'approximation pour ne pas être pénalisé d'un point. Les imprécisions et les confusions dans les actions contextuelles sont récurrentes. À titre d'exemple, lorsqu'on approche d'un ennemi au sol pour le brûler, elles mettent souvent trop de temps à s'afficher. Le passage à la fin du chapitre 15 où il faut éviter les câbles pour ne pas déclencher les pièges est un véritable calvaire, même en passant largement à côté, le jeu fait comme si on les avait touchés. Je ne vais dresser une liste de tous les défauts que j'ai rencontrée, cela me demanderait trop de temps.

The Evil Within est un jeu déroutant, troublant et angoissant que je conseille aux amateurs de survival-horror à l'ancienne. Par contre, si vous faites partie des joueurs qui ne sont pas habitués à la jouabilité un peu lourde des anciens Resident Evil et qu'en plus vous êtes facilement rebuté dès qu'il y a un peu de challenge, il est préférable pour vous de passer votre chemin. The Evil Within est un bon jeu qui aurait pu être encore meilleur si sa réalisation n'avait pas été aussi bâclée.

Allez hop je cherche pas plus loin.

Des qui a des zombie avec mitraillette et qui te jette des grenades c'est direct un 0 pour moi bien mérité.

T'achète pas un survival horror pour faire un jeu de guerre.En plus le jeu ne fait jamais peur et ne te fout aucune préssion tout le long.

Une purge pour tout ceux qui aime vraiment les jeux d'horreur.

C'est comme trouver ça cool les vampires qui brillent au soleil dans twillight

Une histoire assez incompréhensible ce qui lui donne son charme mais un game play assez décevant tout au long du jeu. L'envie de trop faire peur gâche un peu le délire, mais Il reste une bonne expérience.

finis il y a quelques jours . Le jeu souffre de la cross-gen graphiquement. Le perso est un chouilla raide et l'endurance mal proportionnée.
Niveau immersion le jeu est juste excellent (die and retry) et le manque de munitions apporte bcp.
Très bonne vf
bref une bonne surprise.

Evil Within, sous ses airs de Resident Evil, apporte du sang neuf dans le genre - trop peu utilisé - du Survival Horror.
Son ambiance, glauque à souhait, vous transportera dans la folie de Sebastian Castellanos, un reporter quelque peu torturé.
Les graphismes se font vieillot mais la direction artistique vous les fera de suite oublié, tout comme l'ambiance sonore excellente du titre.
Le bestiaire est malheureusement trop peu varié mais les boss vous assureront quelques sueurs froides.
Un indispensable selon moi, destiné aux fans ou non du genre.
Un 17/20 amplement mérité.

Shinji Mikami tente de ressusciter le Survival Horror avec The Evil Within. Si l'intention est louable, la réalisation l'est beaucoup moins. Des faiblesses techniques se font sentir, les mécaniques de jeu manquent d'inspiration et le gameplay pêche par des approximations pénalisantes. On frissonne, on se sent oppressé mais on est trop souvent frustré par les multiples défauts qui jalonnent le titre. Dommage.

The evil within est le jeu gore par excellence. Le directeur du jeu étant le même que les 1er RE explique sont côté survival horror très réussis. J'ai eu pas mal de frisson en particulier avec les DLC qui sont horrible dans le bon sens du terme.

The Evil Within est un très bon survival horror qui nous emmène dans un univers dérangeant et horrifique, il ne renouvel pas le genre mais arrive à se démarquer par son ambiance oppressante et se sentiment d'insécurité permanente.
On retrouve forcément la touche Resident Evil en passant aussi bien par du bon Silent Hill a l'ancienne.
L'histoire est plutôt bien mise en scène, notre héros plutôt attachant, un bestiaire de boss vraiment flippant mais des personnages secondaire moins mise en avant.
Facile à prendre en main, des graphismes correctes sans être non plus transcendant, une bande son qui colle parfaitement à cet univers et une excellente durée de vie.
The Evil Within est une très bonne expérience à faire dans le noir est si possible avec un casque. 👌

Jeu intense ou chaque niveau ne se ressemble pas vraiment.Scénario preneur,donnant envie dans savoir toujours plus!Le gameplay offre de bonne sensation de jeu.A faire pour les fans de thriller/survival.

Je donne mon avis après avoir fini le jeu en 15h. Je n'ai pas aimé le jeu franchement c'est une déception. quand on vois la bande annonce sur le store des gens qui sursaute en jouant au jeu, c'est de la publicité mensongère. je cherchais un jeu comme outlast mais on est loin du compte. Le scénario et ennuyeux et intéressent. Les personnages non aucune attache, le dialogue sont seulement la pour comble les vides. bref une déception pour un jeu qui prétend être l'un des meilleurs dans son genre.

Un bon survival, un peu barré, qui a ses défauts et ses qualités. L'ambiance du titre est très bonne, la durée de vie correcte. Il ne révolutionne pas le genre mais est honnête.

Technique : 0/2
Direction Artistique : 2/2
Jouabilité : 1/2
Rejouabilité : 2/2
Durée de vie : 1/2
Rythme : 2/2
Histoire : 2/2
Mise en scène : 1/2
Ambiance Sonore : 2/2
Musique : 1/2