L’expérience Digital Devil Saga est atypique, très atypique.
Prenant la forme d’un C-RPG avec des faux-airs de D-RPG, Digital Devil Saga est une ode à la mélancolie. Sobre, presque intimiste dans ses graphismes, c’est sa patte artistique qui lui donne toute son efficacité, et habite le monde du Junkyard d’une véritable âme. Les personnages sont des réussites, car évoluant avec ce monde. Le tout sublimé par une OST, tout en rock mélodique, qui laisse parfois pantois (Sahasrara).Très franchement rien à reprocher de ce côté-là, peut être les graphismes limités, mais ils ne font guère ombre au jeu. Cet univers est la grande force du jeu.
Même chose pour son gameplay, rodé et d’une efficacité diabolique, il est une référence du genre du tour par tour. Et avec la difficulté appréciable sans être trop relevé du jeu, autant dire qu’on en profite. Le système d’évolution est bien fichu, ne demandant pas plus de level-up que nécessaire, le seul bémol restant une balance des personnages jouables discutable (Cielo… ). En dehors des combats, rien à dire, les donjons sont originaux, d’une construction intelligente, et artistiquement inspirés. Ils sont un véritable régal, surtout quand viennent se mêler de petites énigmes, parfois fourbes voir sadiques.
Le scénario de DDS suit une ligne de conduite simple, et s’apparenterait presque au conte, en dehors du thème évident du cannibalisme, symbolisé par la phrase « Eat them’all ». Le jeu pose des question donnant à réfléchir, et ne répondra à aucune d’elles. Les réponses viendront dans DDS2. Qu’importe ! Car l’histoire de DDS, simple mais forte, se pose comme étant une véritable métaphore, dans un univers apocalyptique et mélancolique. Presque un conte.
Néanmoins, le fait est que DDS est un jeu coupé en deux, et cela se paye sur sa durée de vie courte (30 h), ce qui frustre, car on en demanderait plus. On reste sur notre faim, comme nos héros, et ne pouvons qu’attendre la suite. Les annexes sont un remède à cela, mais j’avoue ne pas avoir osé m’attaquer aux quelques sérieux clients à abattre. Quelques passages plus lourds sont aussi à noter, rien de bien méchant, mais il faut le signaler.
Ayant joué aux récents SMT, j'étais impatient de me lancer dans les précédents opus. Ce Shin megami se passe comme la majorité de la série dans un univers sombre où se mêle mysticisme et science, avec ici une guerre entre plusieurs tribus où vous devrez dévoré vos adversaires pour atteindre le Nirvanna. Ici le système de combat est assez similaire aux autres et vous devrez sans cesse exploiter les faiblesses des adversaires, dans l'ensemble la difficulté est acceptable si vous faites les bons choix dans l'acquisition des compétences. Dans l'ensemble les musiques sont bien mais moins marquante que les personas et les doublages sont par moment discutable surtout pour les personnages secondaires. Une durée de vie faible, environ 30 heures si vous ne faites pas les boss secondaires. Dans l'ensemble il reste un bon jeu avec un bon scénario et des personnages intéressants cependant si vous n'aimez pas les donjons parfois un peu long, les combats aléatoires assez fréquent, ce jeux pourra vous déplaire.
L’expérience Digital Devil Saga est atypique, très atypique.
Prenant la forme d’un C-RPG avec des faux-airs de D-RPG, Digital Devil Saga est une ode à la mélancolie. Sobre, presque intimiste dans ses graphismes, c’est sa patte artistique qui lui donne toute son efficacité, et habite le monde du Junkyard d’une véritable âme. Les personnages sont des réussites, car évoluant avec ce monde. Le tout sublimé par une OST, tout en rock mélodique, qui laisse parfois pantois (Sahasrara).Très franchement rien à reprocher de ce côté-là, peut être les graphismes limités, mais ils ne font guère ombre au jeu. Cet univers est la grande force du jeu.
Même chose pour son gameplay, rodé et d’une efficacité diabolique, il est une référence du genre du tour par tour. Et avec la difficulté appréciable sans être trop relevé du jeu, autant dire qu’on en profite. Le système d’évolution est bien fichu, ne demandant pas plus de level-up que nécessaire, le seul bémol restant une balance des personnages jouables discutable (Cielo… ). En dehors des combats, rien à dire, les donjons sont originaux, d’une construction intelligente, et artistiquement inspirés. Ils sont un véritable régal, surtout quand viennent se mêler de petites énigmes, parfois fourbes voir sadiques.
Le scénario de DDS suit une ligne de conduite simple, et s’apparenterait presque au conte, en dehors du thème évident du cannibalisme, symbolisé par la phrase « Eat them’all ». Le jeu pose des question donnant à réfléchir, et ne répondra à aucune d’elles. Les réponses viendront dans DDS2. Qu’importe ! Car l’histoire de DDS, simple mais forte, se pose comme étant une véritable métaphore, dans un univers apocalyptique et mélancolique. Presque un conte.
Néanmoins, le fait est que DDS est un jeu coupé en deux, et cela se paye sur sa durée de vie courte (30 h), ce qui frustre, car on en demanderait plus. On reste sur notre faim, comme nos héros, et ne pouvons qu’attendre la suite. Les annexes sont un remède à cela, mais j’avoue ne pas avoir osé m’attaquer aux quelques sérieux clients à abattre. Quelques passages plus lourds sont aussi à noter, rien de bien méchant, mais il faut le signaler.
Ayant joué aux récents SMT, j'étais impatient de me lancer dans les précédents opus. Ce Shin megami se passe comme la majorité de la série dans un univers sombre où se mêle mysticisme et science, avec ici une guerre entre plusieurs tribus où vous devrez dévoré vos adversaires pour atteindre le Nirvanna. Ici le système de combat est assez similaire aux autres et vous devrez sans cesse exploiter les faiblesses des adversaires, dans l'ensemble la difficulté est acceptable si vous faites les bons choix dans l'acquisition des compétences. Dans l'ensemble les musiques sont bien mais moins marquante que les personas et les doublages sont par moment discutable surtout pour les personnages secondaires. Une durée de vie faible, environ 30 heures si vous ne faites pas les boss secondaires. Dans l'ensemble il reste un bon jeu avec un bon scénario et des personnages intéressants cependant si vous n'aimez pas les donjons parfois un peu long, les combats aléatoires assez fréquent, ce jeux pourra vous déplaire.
L’expérience Digital Devil Saga est atypique, très atypique.
Prenant la forme d’un C-RPG avec des faux-airs de D-RPG, Digital Devil Saga est une ode à la mélancolie. Sobre, presque intimiste dans ses graphismes, c’est sa patte artistique qui lui donne toute son efficacité, et habite le monde du Junkyard d’une véritable âme. Les personnages sont des réussites, car évoluant avec ce monde. Le tout sublimé par une OST, tout en rock mélodique, qui laisse parfois pantois (Sahasrara).Très franchement rien à reprocher de ce côté-là, peut être les graphismes limités, mais ils ne font guère ombre au jeu. Cet univers est la grande force du jeu.
Même chose pour son gameplay, rodé et d’une efficacité diabolique, il est une référence du genre du tour par tour. Et avec la difficulté appréciable sans être trop relevé du jeu, autant dire qu’on en profite. Le système d’évolution est bien fichu, ne demandant pas plus de level-up que nécessaire, le seul bémol restant une balance des personnages jouables discutable (Cielo… ). En dehors des combats, rien à dire, les donjons sont originaux, d’une construction intelligente, et artistiquement inspirés. Ils sont un véritable régal, surtout quand viennent se mêler de petites énigmes, parfois fourbes voir sadiques.
Le scénario de DDS suit une ligne de conduite simple, et s’apparenterait presque au conte, en dehors du thème évident du cannibalisme, symbolisé par la phrase « Eat them’all ». Le jeu pose des question donnant à réfléchir, et ne répondra à aucune d’elles. Les réponses viendront dans DDS2. Qu’importe ! Car l’histoire de DDS, simple mais forte, se pose comme étant une véritable métaphore, dans un univers apocalyptique et mélancolique. Presque un conte.
Néanmoins, le fait est que DDS est un jeu coupé en deux, et cela se paye sur sa durée de vie courte (30 h), ce qui frustre, car on en demanderait plus. On reste sur notre faim, comme nos héros, et ne pouvons qu’attendre la suite. Les annexes sont un remède à cela, mais j’avoue ne pas avoir osé m’attaquer aux quelques sérieux clients à abattre. Quelques passages plus lourds sont aussi à noter, rien de bien méchant, mais il faut le signaler. Mais dans l’ensemble, le jeu souffre de son statut de préquelle…
L’expérience reste néanmoins saisissante.
Un peu moins dur que Nocturne, notamment grâce à des bornes de sauvegarde plus fréquentes (Nocturne appréciait les phases d'apnée!), on retrouve cette ambiance bizarre, mystérieuse et un brin malsaine avec un héros muet.
Digital Devil Saga a quand même ses donjons labyrinthiques et retors, et le bestiaire habituel des shin megami tensei.
Un gros point: la lisibilité des combats, meilleure que celle d'un FF. le gros moins, les musiques beaucoup trop souvent blues-rock de base, ce qui ne colle absolument pas à l'ambiance du soft.
Cet épisode j'le considère plutôt comme la première pierre de l'édifice, dans le sens où il ne fait que posé l'intrigue et ne fait que rajouté du mystère au lieu de l'éclaircir.
Le système de combat est le même que Lucifer's Call, avec toujours des donjons trèèèèèès longs et redondants.
La musique, comme à chaque fois maintenant, est un petit bijou, signé encore une fois Meguro.
Aye je l'ai fini, c'était un cauchemar. Ce jeu va vous faire détester les RPG. Mais rassurez vous cette DAUBE n'est PAS un rpg. Ca y ressemble, ça à le goût et l'odeur, l'univers est attirant, mais non, Raté. passez votre chemin . Une scène de dialogue toute les 10 heures de jeux, une exploration qui ne sert qu'à récupérer des objets inutiles. Pas un npc avec plus d'une ligne de dialogue, et surtout, de MILLIERS de combats, à vous rendre fou! Tout les 3 pas, ça ne s'arrête jamais, d'ailleurs il n'y aucune phase de repos on tue un boss pour accéder au suivant, point à la ligne. Autant dire un jeu stressant, et le plus drôle c'est que xp ne sert a rien on vous pourris la vie pour des clopinettes, vu que les combats se jouent principalement sur le contre et le bon skill pour le bon boss.. Hein vous avez pas le bon skill?! Et bien c'est partit pour 5 heures de farm pour monter la branche.. et oui parcequ'il ne suffit pas d' "acheter" les skills, il faut aussi les download en combattant. C'est ce que l'on appel de la fausse durée de jeu. Ridicule, je me demande même si ils ne l'ont pas rajouté a la fin en voyant la vacuité de leur titre, tout comme le spam de combat, qui n'a aucun sens et qui peut même, vous allez rire, vous causer un Wipe aléatoirement si vous êtes malchanceux. Non vraiment ce jeu est une blague. Si vous voulez un dernier exemple, penchez vous sur le munitions, quel est l'intérêt de ne pas être transformé? Avez vous jamais fait un combat en humain? ha.. ha.. ha. C'est les nerfs qui lachent..
Le gameplay est plutôt simple, different. Ici, pas de recrutement, pas de fusion. Graphiquement, physiquement on pourrait dire que le moteur de Lucifer's Call (Nocturne) a été repris pour le jeu mis à part pour les fusions. Niveau histoire, on incarne Serph, leader de la tribu des Embryon. En ayant pour but d'atteindre le "nirvana", les differentes tribus se battent pour la suprématie dans le Junkyard (décharge). Un jour, un "virus" demoniaque est utilisé pour transformer les hommes des differentes tribus en démons. Ils devront vite apprendre à se dévorer les uns et autres pour survivre... Pour la durée de vie, elle est assez faible malheureusement ce qui est vraiment dommage. Alors n'oubliez pas : appréciez le jeu et n'essayez pas de le finir trop vite.
Excellent jeu que voici. Les Shin Megami Tensei étant toujours au top du RPG on ne pouvait pas s'attendre à un mauvais jeu, et en effet il est excellent, beau, avec une durée de vie correcte, de bons personnages et des ennemis assez bien foutus. Le scénario est certes pas terrible mais on adore parcourir les niveaux vides et originaux aux côtés de Serph, un grand hit.
C'est une chance que ce grand RPG qui regorge de scènes, plus fortes les unes que les autres atterrissent en Europe, et je conseille à tout le monde de se jeter dessus.
L'esthétique du jeu est tout simplement parfaite, que ce soit les architectures qui laissent sans voix, le design fin et original des personnages, ou encore les belles musiques, tout est là pour nous plonger dans une ambiance sombre et touchante à la fois.
De plus le système de jeu n'est pas mis de côté, il est addictif, tactique et efficace, on ne cesse de se transformer en démons pour dévorer nos ennemis pour notre plus grand bonheur.
Plus accessible que d'autres Shin Megami Tensei, c'est sans aucun doute par ce jeu-là qu'il faut commencer si l'univers particulier de cette saga vous attire.
Une excellente surprise... Il est vrai qu'après avoir parcouru tous les magasins susceptibles de me le vendre, puis internet (où je l'ai finalement trouvé), j'avais peur que la qualité du jeu ne soit pas en rapport avec l'énergie que j'ai déployée pour me le procurer!
J'avais tort de me tracasser: les choix graphiques super intéressants et un monde complexe, sombre et adulte font de DDS un RPG destiné à un public averti... Et ce n'est pas plus mal. Ici, nous sommes loin de la féérie. Nous évoluons dans un univers violent et sans pitié, dans une histoire de rédemption qui, tout du moins en ai-je l'impression, pose les bases d'une tragédie qui nous laissera loin des happy ends coutumiers.
Le système de jeu est simple et efficace. On passe énormément de temps à faire évoluer nos persos, à les adapter à nos besoins stratégiques.
En bref, un très très bon RPG qui me fait prendre goût, une fois de plus, à la série Shin Megami Tensei!
Ce jeu pour ma part ne surpasse pas Lucifer's Call. En effet les graphistes ont réussi l'impossible en le rendant encore plus glauque et obscur que son concurrent. Mais j'ai moins accroché, sa durée de vie est décevante même avec les quêtes annexes, le scénario est certes plus profond et malsain mais l'ambiance générale peut décevoir. Sa difficulté est déraisonnable ce qui ne m'a pas empêché de le finir mais qui peut rebuter certains joueurs. Et les boss sont moins impressionnants que dans « nocturne ».
Une bonne note pour moi, car le jeu est super bien. Il est vrai qu'il manque de qualité graphique, ce n'est pas le souci du détail qu'il faut avoir mais la réalisation décorative du jeu. Il faut dire aussi que son mode de spherier est original, le système des mantras est une version différente d'un Final Fantasy mais très bien imaginé. Le jeu en lui même (l'histoire) est très intéressante, c'est d'ailleurs ce qui me pousse à garder le jeu. Alors fans de rpg, à vos manettes, prenez ce jeu, il en vaut la peine.
Je pense que DDS est mieux que son prédécesseur et il mérite une meilleure note alors, vous êtes assez restraints sur la note. Il a tout d'un rpg plus que la moyenne et il est très dificile, dont ceux qui aiment plein de couleurs à l'écran et avancer comme l'eclair sans mourrir une fois, ce jeu n'est pas pour vous, il faut de la patience même beaucoup, je n'ai pas encore totalment fini le premier vu la difilcuté des SMT. Alors attention,
je conseille le jeu sans hésiter si vous croyez que vous êtes fort aux jeux vidéo.
Que voilà une bonne surprise. Ne connaissant absolument pas la série phare de Ghostlight, j'ai découvert Digital Devil Saga tout à fait part hasard, et je dois dire que je n'ai pas été déçu. Si DDS peut paraître simpliste quant à son déroulement, difficile de par ses combats fréquents et difficiles, tout cela est porté par une ambiance magistrale. Des graphismes et une bande son qui créent une esthétique froide et glacée, dans laquelle Sera apparaît comme un rayon de soleil. Les autres personnages ne sont pas en reste, attachants mais jamais niais dans la découverte de leurs émotions. Le gameplay, très immersif, aide d'ailleurs à cet attachement que l'on ressent pour eux. Malgré quelques défauts (aller retours pénibles, progression laborieuse au niveau financier), DDS est un jeu surprenant, beau et intelligent fait par des développeurs de toute évidence passionnés. Et comme on dit chez nous : vivement la suite !
Le jeu est superbe, les graphismes en cel shading sont de toute beauté et le scénario palpitant. Le système des Mantras est très bien pensé et permet une évolution unique pour chaque joueur.
Nous sommes un peu déçus de ne plus pouvoir recruter de démons comme dans le premier opus Lucifer's Call, mais cela est compensé par l'énorme grille des Mantras qui permettent décidément beaucoup de possibilités.
Pour moi un jeu à avoir, surtout pour des personnes voulant découvrir les RPG car ce jeu n'est pas d'une grande difficulté (même si le côté technique est très présent dans les combats) et est donc abordable pour les novices.
Vivement le 2 en Europe (si il sort : nous n'avons vraiment pas de chance ils nous font le coup pour plein de jeux, déjà nous ne sommes même pas sûrs de voir venir Shadow Hearts 3 en Europe et maintenant c'est le tour de Digital Devil Saga, nous sommes vraiment défavorisés pour ce qui est des jeux).
Il faut tout de même parler quelque peu anglais pour pouvoir jouer à ce jeu. Si ce n'est pas le cas, ne l'achetez pas.