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Haaa que du bonheur ce jeu! Je me souviens du paquet d'heures que j'avais passé dans ce fichu Chrisler building. Un donjon bonus, sur une cinquantaine d'étages labyrinthiques ou fallait dessiner le plan sur une feuille pendant la progression pour ne pas se perdre.
Une ambiance de feu, un gameplay aux petits oignons, un scenario fouillé, un aspect RPG très complet, une bande son divine (je regardais toujours la cinématique quand je lançais le jeu), et une héroïne des plus charismatique. Vraiment aucun défaut.
Ce premier épisode de parasite eve est un incontournable pour toute personne prétendant à avoir une bonne culture vidéoludique au moins dans le domaine du RPG.
Le jeu se structure comme une sorte de film policier américain et se déroule dans un univers contemporain ce qui était extrêmement rare dans le genre du j-prg à l'époque, on y manie des armes à feu allant du pistolet jusqu'au bazooka en passant par le fusil d'assaut.
Le tout se déroule dans une ambiance inquiétante et pesante si bien que l'on peut considérer que c'est un mélange unique de rpg et de survival horror, les nombreuses cinématiques du jeu viennent rajouter de l'angoisse en montrant des métamorphoses monstrueuses d'animaux mutants, le tout était très convaincant pour l'époque, en fait l'une des grande forces de squaresoft (maintenant squarenix) c'est la qualité de ses cinématiques.
Le système de combat rompt avec la norme du genre en abandonnant le tour par tour classique du j-rpg pour un système qui mélange secret of mana et chrono trigger c'est à dire une barre d'ATB (active time battle) conditionnant les actions mais un déplacement libre du personnage dans l'arène de combat permettant ainsi d'éviter les attaques et de se placer correctement pour attaquer grâce à des armes à feu ayant des portées plus ou moins limitées.
La bande son est excellente bien que n'ayant pas été composé par le légendaire Nobuo Uematsu, on salue le talent de Yoko Shimomura responsable de la bande son de titres très connus comme Kingdom hearts, Legend of mana, Breath of fire. La musique mélancolique et froide colle parfaitement à l'atmosphère inquiétante du jeu.
Graphiquement le jeu a plutôt mal vieillit, il est sortit aux débuts de la PS1, époque où elle n'était pas encore au sommet de ses possibilités techniques (contrairement à Paraiste Eve 2 qui est l'un des jeux les plus beaux de la console en fin de vie), ainsi graphiquement le jeu est à peu près au niveau d'un Resident evil 1 bien que les modèles 3D soient un peu plus soignés dans Parasite eve 1 (ils sont du niveau des modèles utilisés lors des combats dans final fantasy 7). Globalement il s'agit de modèles 3D se déplaçant dans des environnements en 2D précalculée (à la manière de beaucoup d'autres titres comme Resident evil ou les final fantasy 7 8 9). En revanche les cinématiques sont de très bonne qualité et viennent ponctuer l'intrigue de façon adaptée.
Au niveau de l'intrigue, on dirige une héroïne (pour une fois, cela dit on avait déjà vu ça dans final fantasy 6 par exemple) nommée Aya, policière à New York qui enquête sur des cas de combustions spontanées. On pourrait regretter que les personnages ne soient pas un peu plus poussés car ils sont intéressants mais très stéréotypés, ils ne sont clairement pas au centre de l'histoire et on a du mal à s'y attacher, le jeu va directement à l'essentiel.
Il y a un justification scientifique assez poussée à tout ce qui arrive dans le jeu, que l'on découvre petit à petit, certains arguments paraissent scientifiquement viables et ont été des causes plausibles de combustion spontanée à une époque: libération d'énergie par les mitochondries qui se révoltent contre leur hôte, du coup on y croit, ce qui renforce un scénario original et intéressant.
Un autre intérêt du jeu est la possibilité de customiser ses armes, de les améliorer grâce a des points bonus que l'ont peut distribuer à notre montée de niveau, on peut transférer entre les armes grace à des outils des capacités spéciales présentes sur d'autres armes.
Le seul défaut étant la durée de vie assez courte du titre, comptez une vingtaine d'heures de jeu pour le finir, il n'y a pas vraiment de quêtes annexes, et la quête principale s'enchaine très vite sans liberté d'action (pas vraiment de carte du monde à explorer si ce n'est qu'un ou deux "donjons optionnels". Cela dit, cette durée de vie limitée est plus ou moins corrigée par la possibilité de finir le jeu plusieurs fois en gardant une arme et une armure upgradée de façon à faire un donjon optionnel de 100 étages: le chrysler building qui permet de débloquer la vraie fin du jeu, pour ce faire il faut y aller en étant bien préparé, avec des équipements bien augmentés ce qui necessite d'avoir fini le jeu plusieurs fois.
En bref, ce jeu est excellent bien qu'un peu trop court, il mérite votre attention, après l'avoir fini il laisse un sentiment de nostalgie comparable à celui que l'on a en ayant fini un final fantasy. Son originalité mérite que l'on y passe quelques dizaines heures, il est disponible en émulation avec traduction française pour les plus récalcitrants d'entre vous =)
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C'est que du bonheur ce jeu !
Je me souviens du paquet d'heures que j'avais passé dans ce fichu Chrisler building jusqu'à Original Eve.
Un donjon bonus, sur une cinquantaine d'étages labyrinthiques ou fallait dessiner le plan sur une feuille pendant la progression pour ne pas se perdre pour ainsi affronter le vrai boss final secret du surnom donc Original Eve.
Une ambiance de feu, un gameplay aux petits oignons, un scenario fouillé, un aspect RPG très complet.
Une vrai bande son divine (je regardais toujours la cinématique quand je lançais le jeu où même le boss final secret), et une héroïne des plus charismatique .
Vraiment aucun défaut donc 20/20.
Ce jeu reprend énormément de points qui ont fait le succès de Resident Evil mais il les modifie pour rendre un jeu unique.
Déjà le système de combat est différent, chaque arme a ses propres caractéristiques ( Chargeur, distance, puissance, ... ), l'histoire est intéressante, le jeu possède un côté RPG très plaisant sans oublier le fabuleux travaille sur le design de Aya Brea de Tetsuya Nomura dans les cinématiques.
Les décors sont vraiment bien travaillés mais ce n'est pas le cas de aya qui fait un peu tâche ( on pouvait voir à la même époque notament dans Resident evil des persos plus travaillés ).
Pour conclure ce jeu est excellent bien que très dur, on regrettera le fait qu'il ne soit pas sortie en Europe. 16/20
Perle de la première PlayStation, Parasite Eve est le parfait alliage entre les RPG de l'âge d'or de SquareSoft et le genre Survival-Horror qui perce alors, en cette fin des années 90. Le jeu nous raconte six jours dans un Manhattan endeuillé par une effroyable soirée de Noël au Carnegie Hall, où les spectateurs d'une pièce d'Opéra prennent subitement feu au chant de la cantatrice Melissa Pierce. S'ensuit une enquête policière acharnée menée par Aya Brea, d'ailleurs seule survivante du carnage, dans une ambiance oppressante à chaque instant. L'ambiance est terrible, le système de combat astucieux et surtout, les musiques de Yoko Shimomura bon sang...
un sacré mélange entre resident evil et final fantasy fort bien mené par squaresoft et capcom, jouabilité excellente graphismes bon pour de la ps1, une histoire prenante, des boss à la difficulté croissante. Seul bémol, une durée de vie un peu courte. néanmoins un must have ps1. 16/20
ben oui, le jeu a enormement vieilli , c est lent , mais qu est ce que c est lent ........et puis les gars qui s amusent a mettre 20 a tout .......................
"Le monstrueux est à l'intérieur"... Une saveur métallique de cauchemar génétique gagne celui qui se laisse pénétrer par la chaleur clinique de ce jeu qui, malgré son âge, est un vrai trésor. L'envoûtement débute par une performance vocale : une chanteuse d'opéra qui se révèle être l'Eve future d'une métamorphose biologique invasive. La suite est une traque, dans la peau de la jolie Aya Brea, de plus en plus loin dans les ténèbres.
Un jeu que je découvre seulement maintenant mais quel bonheur !
Je ne comprends pas pourquoi le jeu n'a pas eu plus de succès à l'époque de sa sortie.
Objectivement car ce n'est pas la nostalgie qui parle, je lui mets 16/20
Points positifs : Bons graphismes, je joue sur PSP c'est niquel. Une vraie identité graphique.
Le scénario est original et sympa, mélange de SF et policier.
Le gameplay est très sympa avec les combats semi temps réel.
Par contre les musiques sont vraiment moyennes, souvent style jazz assez énervant.
Dommage car l'ambiance sonore est bonne.
J'y ai joué pour le moment 7h et le jeu est assez facile et linéaire, je ne suis mort qu'une seule fois
En tout cas un bon jeu avec une vraie âme que l'on prend toujours plaisir à découvrir en 2015.
Très dur de mettre une note à ce jeu! les graphismes ne sont pas top et les envirronements un peu vide! ceci dit ça reste un jeu vraiment sympas, a vous de voir
Ce jeu était bien, sans plus. Je m'attendais peut-être à une histoire trop prenante vu les critiques et le test.
Étant un amateur des jeux oldschool, je lui ai laissé sa chance et je l'ai terminé.
Graphiquement, c'est correct vu l'époque. Le bestiaire est incomplet, à mon avis.. trop peu de monstres.
Gameplay, ordinaire, parfois les contrôles sont frustrants.
Musique, excellente et inquiétante.
Histoire, peu de rebondissement et prévisible
Points positifs, les boss fights très intéressants eta les pouvoirs.
J'ai grandement préféré resident evil 3 à ce parasite eve.
Un très bon coup d'essai mais pas un jeu si excellent. Le principe étant de mélanger survival-horror et RPG ne devrait pas laisser entendre qu'on a la moitié des deux. Côté RPG, l'ensemble est plutôt médiocre. Un inventaire fourni mais pas très consistant, un personnage, et je le dis avec conviction, qui n'a pas cette personnalité que tout le monde lui trouve. Aya est une héroïne féminine qui a plu à un public masculin, mais c'est tout. Elle n'est au final que l'une des héroïnes dépressives et fades que nous ont pondu tous les scénaristes du monde en mal d'inspiration, sans parler de sa naïveté constante. Le système de combat n'a aucune cohérence avec une aventure solo. Pour ce qui est du survival, les décors font trop rarement preuve de subtilité et la peur est globalement en reste. Et le jeu est assez facile... Bref, un bon coup d'essai, mais qui manque de finition. Je regrette une histoire à hurler de rire ( vilaine mitochondrie !! vilaine )... try again.