Le jeu en lui-même est très bien et le graphique aussi. Les nonbreux joueurs que l'on nous propose sont géniaux. Le nombre de salles pour jouer à l'intérieur sont bien. Les matches sont assez faciles. Le service est très dure à réaliser. La puissance de frappe est excellente.

Steam Marines est une sorte de tactical RPG au tour par tour très particulier, dans un univers rétro futuriste.

Dés le début du jeu on vous offre la possibilité de jouer une équipe de quatre marines, à choisir parmi 5 classes, dont le but sera de nettoyer étage par étage un vaisseau de combat abordé par l'ennemi.

Robots de combats et aliens seront vos ennemis tout au long de ce jeu, entrecoupé de temps à autres par un boss en armure très impressionnant.

A noter que pour un T-RPG, il est plutôt réaliste, et a un côté survival intéressant, avec les munitions limitées, la vie qui ne remonte pas toute seule, et l'armure de vos soldats les plus solides qui s'abîme au fur et à mesure du temps.

Le gameplay est intéressant, il vous demandera d'avancer dans le niveau en évitant les portes piégées, les robots qui peuvent vous prendre à revers en cassant des murs, et autres moyens retors de tuer votre équipe.

Côté graphismes ceux-ci sont simples mais d'une plutôt jolis et collent bien à l'univers. La musique n'est pas des meilleurs qui soient mais n'est pas à jeter non plus.

La durée de vie du jeu est très élevée, du fait même que les niveaux sont générés de manière procédurale, il y a également un système de NG+ plutôt difficile.

Néanmoins, la dite difficulté rebutera énormément de monde, les reset sont fréquents, surtout en NG+ quand la moindre erreur peut vous causer la mort d'un membre de votre précieuse équipe.

Dans ces conditions, et pour son petit prix, ce jeu est vraiment intéressant à jouer, mais pour beaucoup la durée de vie semblera faible (car pas envie de tester le NG+ très dur) ou le jeu semblera trop répétitif (passé un certains niveau de jeu le mode normal ne suffit plus, mais la difficulté entre le mode normal et le mode supérieur a de quoi rebuter).