Le jeu est certes visuellement très réussi…c’est indéniable, mais vaut-il son optimisation très approximative ? Je ne pense pas…

Je pense que Cyan n’est pas vraiment le coupable dans cette histoire, mais plutôt l’Unreal Engine 4 qui est par nature très gourmand. Ils ont voulu bien faire, avec des lieux très vastes, peu de chargements, sauf qu’en contrepartie, il faut une machine de la NASA, pour finalement un jeu artistiquement réussi, mais techniquement simplement « normal ».

L’incrustation des acteurs en est un exemple, elle est très simple…ils ont tendance à être « flous », pas net, uniquement sur des écrans TV ou par vitre interposé.
Un peu déçu sur ce point, notamment car sur realMyst, ils avaient réussi à incruster un vrai acteur sur un élément en 3D temps réel (Atrus à la fin du jeu) et idem sur Myst V en incrustant le visage sur un personnage 3D et je pensais bêtement que grâce à l'unreal engine 4, ils allaient nous vendre du rêve en perfectionnant ce système et en nous proposant un vrai échange avec des vrais personnages/acteurs au sein du jeu, en révolutionnant la chose… que neni… On est toujours autant passif ! Retour à 1993 à la sortie de Myst ! Aucune évolution depuis sur ce point. Dommage.

Bref, il manque un petit quelque chose pour donner le « waouh effect » que j’ai toujours eu avec les jeux précédents de Cyan Worlds.

En terme de durée il est, je dirais, aussi long que les autres jeux de Cyan. Les énigmes sont relativement simples, je dirais aussi simples que dans un Myst V ou IV, par contre, il y a beaucoup plus de balade et d’exploration, car les mondes sont très grands. Donc ce qu’on perd en énigmes on le gagne en exploration, et ce n’est pas forcément plus mal…

Au niveau des puzzles eux-mêmes, il y a du choix, ils sont diversifiés, les indices sont assez nombreux, mais pour Cyan jeu 3d rime aussi avec énigmes "fastidieuses".
Cyan a repris le principe d’Ahnonay d'Uru pour ceux qui connaissent pour le répéter et amplifier dans ce jeu-ci. Déjà à la base faut aimer le truc. Soit on aime, soit on n’aime pas. Moi déjà je n’aime pas ce genre d’énigmes, alors ça part mal…car il y a en a beaucoup (trop) basées sur ce principe.

Pour expliquer, on se retrouve donc, avec une liaison principale vers un monde et une panoplie de liaisons secondaires vers ce même monde et vers les autres mondes. Des énigmes vont alors vous demander de faire des transferts réguliers d’un monde à l’autre. Chez moi le premier monde, le chargement dure 1 bonne minute, et encore j’ai une bonne configuration !! Alors au bout de 3 ou 4 fois, qu’on fait un allé/retour d’un monde à l’autre, on en a un peu ras-le-bol, au point que ça me fait détester le monde et le puzzle lui-même !

Autre point l’ambiance sonore et musicale. En termes d’ambiance, on y est. On reconnait la main Cyan. Rien n’est oublié, du grincement des portes, au bruit des criquets, le vent…au grincement des hélices d’un moulin et ou des machineries. Le travail sur ce point est formidable.

Maintenant on arrive sur le plus gros point noir pour moi : les musiques. Autant dans Myst et Uru je pouvais être addict, écouter en boucle les morceaux en dehors du jeu, de l’ami Jack Wall et Tim Larkin, autant ici, rien…si, peut-être un ou deux morceaux, thèmes sympa qui sortent du lot…mais le reste, j’ai rien entendu…au point que quand j’ai vu le dossier des musiques fourni avec le jeu, je me suis dit « Il y en avait autant que ça dans le jeu ?? »
Je comprends après qu’il faut varier et changer au fil du temps et que les goûts musicaux de Robyn ont surement évolué au fil des années, mais pour le coup, je n’arrive pas du tout à accrocher à ses musiques.

Pour finir, dernier point : l’histoire. Là je ne vais pas m’étaler beaucoup sur ce point, pour éviter tout spoil. L’histoire est sympa et même si les acteurs sont « flous », mal incrustés, comme dit précédemment, on arrive quand-même à s’accrocher et suivre le truc. Par contre les dialogues sont très très peu nombreux…encore moins nombreux que sur Myst 1 c’est pour dire !! Et la fin est carrément abrupte :

15 heures de jeu, pour 2 lignes de dialogues vues par une TV…Bref on arrive à la fin sans rencontrer une seule fois quelqu’un de vive voix… Même pas un mode libre, balade. J'avais l'espoir à la fin de pouvoir revoir les mondes...mais finalement vu la fin, pas vraiment possible. Mais tout de même, une fois fini, c'est fini. Rejouabilité = 0.

Pour conclure, je dirais que ça reste quand-même un bon jeu d’aventure, agréable à parcourir mais pas un excellent jeu. Il y a bien trop de défauts et Cyan nous a habitués à une meilleure finition sur certains points. Le sans-fautes sera peut-être pour le prochain ?

Pour ma part Obduction est une réelle déception.

Je suis les actualités du jeu depuis 2013 et j'ai toujours été très attiré par les jeux du studio Cyan. J'ai suivi Myst aux côté de mon frère lorsque j'avais une douzaine d'années, fait Riven avec un pote puis Exile quelques années après. Je n'ai malheureusement pas pu à faire tourner le quatrième épisode à l’époque ...

Aujourd'hui Obduction.

Graphismes & DA : bons. Le moteur assure de très beaux environnements que l'on prend plaisir à découvrir. La possibilité de changer le mode "marche" en "courir" pour se déplacer est cependant rapidement nécessaire car les différents univers sont vastes. J'ai cependant trouvé que le hub central (Hunrath) était le plus inspiré. Plus le jeu avance plus les « niveaux » manquent de profondeur. PETIT SPOIL // sans parler du dernier niveau (Mofang) qui est juste vide, sans âme et qui ne prend que quelques minutes (un couloir avec un mécanisme à actionner à son bout, personnellement j’appelle ça se payer la tête des joueurs) // FIN DU SPOIL.

Gameplay : moyen moins. Je sais que c’est une hérésie mais j’ai pris l’habitude de jouer à mes jeux PC à la manette puisque mon écran est une télé (assez grande). Obduction fonctionne avec une manette mais ce n’est clairement pas du tout au point. Les menus ne fonctionnent qu’à la sourie. De plus pour actionner les mécanismes c’est un vrai casse-tête. J’ai donc revu ma configuration pour jouer au clavier/sourie. C’était un peu mieux mais les surfaces d’actions sont parfois vraiment laborieuses à atteindre (exemple : lorsque vous êtes sur le chariot il est vraiment délicat d’actionner les leviers sans à avoir à descendre de notre petit moyen de transport). Je vais passer maintenant sur les temps de chargement : longs. Trop trop longs. Ma config tient parfaitement la route, j’ai terminé Witcher 3 en max et pourtant ici, même en baissant les options graphiques rien ne change. Pour finir sur ce sujet j’en viendrai au fameux labyrinthe … un calvaire. L’énigme en elle-même n’est vraiment pas compliquée mais nécessite un nombre incroyable de voyage dans deux univers différents et donc un nombre de temps de chargements successifs insupportable. Cette énigme tue le jeu et l’immersion. Personnellement, au bout de 20 minutes, je suis allé chercher la solution sur internet car ce passage du jeu casse complètement le rythme. Son principe est simple mais fastidieux pour des raisons techniques à mettre en place. Pour finir passé ce moment de l’histoire j’ai en somme perdu mon enthousiasme pour Obduction les quelques dernières énigmes restantes se sont faites à tâtons et le pire : ça a marché …

La musique : moyen plus. Les thèmes sont plutôt agréable mais leurs boucle est assez courte. Du coup, quand vous bloquez sur une énigme ç’en devient « remarquable » et quelques peu lassant. Autre point, certains morceaux de style « épique » apparaissent à certains moments clé du jeu. Je ne les ai pas trouvés métrisés et un peu hors propos.

L’histoire : bon moins. Dans la première moitié du jeu j’ai vraiment été entrainé dans cet univers que l’on découvre petit à petit. Les lectures nous en apprennent d’avantage au fil de l’aventure et c’est très agréable et assez riche. Cependant, il arrive un moment où on se demande si tout l’attention n’a pas été concentrée qu’à ce moment. A partir des deux tiers du titre : presque plus rien à se mettre sous la dent. C’est assez frustrant car le background du jeu est vraiment top au début puis il s’épuise. La fin quant à elle est décevante au possible. Je ne m’attendais pas à une fin épique, ni à en prendre plein la figue, mais avoir plus de réponse, même sous forme de texte … elle a finalement été mon ultime déception d’Obduction …

En conclusion je dirais que le jeu démarre fort et plus il avance plus la saveur s’estompe pour rapidement devenir fade comme un vieux chewing gum. Oubliez les petites notes que vous vous faisiez pour résoudre les énigmes des Mysts. Ce jeu n’a, je pense, pas été terminé correctement. Il sent le problème de prod. Un tel écart entre le début et la fin du titre est juste ahurissant.

Magnifique jeu qui nous emporte dans des mondes dépaysant. On est d'abord lâché sans réelle explication puis on commence à comprendre l'univers par quelques notes laissées à droite à gauche. Les mondes sont très bien modélisés et donnent vraiment un sentiment de dépaysement avec sa faune et sa flore caractéristiques. Les énigmes ont une difficulté bien dosée qui donne satisfaction une fois résolues sans frustration particulière: il faut souvent savoir contourner les obstacles pour mieux pouvoir les surmonter En résumé c'est un jeu incontournable pour tous ceux qui aiment se perdre dans des univers inconnus avant qu'ils ne deviennent familiers!

J'ai adoré ! Les paysages sont splendides, nous sommes transportés dans un univers singulier. Pour les fans de MYST, vous n'allez pas être déçus.Le jeu est rempli d'énigmes diverses et intéressantes, le mode de déplacement libre est un +. Ce jeu m'a fait rappelé MYST IV révélation avec un peu moins de difficultés, après ma déception de MYST V, celui-ci a complètement changé la donne.
Seul bémol à mon goût, le manque de personnes "réelles" filmées et intégrées au jeu comme on le voyait dans MYST IV, nous nous sentons un peu moins imprégnés dans l'aventure, la lecture des livres avec des voix françaises me manquaient également...

Un excellent jeu, comme on devrait en voir plus souvent.

Alors OK, les temps de chargement sont longs (et parfois très longs), OK ça rame parfois un peu... mais c'est vraiment secondaire.

Passée la première heure de jeu, on accroche de suite à l’histoire. L'atmosphère est incroyable, le scénario très SF tient la route (pour peu qu'on aime le genre), les quelques musiques et bruitages sont très raccord avec l'ambiance générale du jeu.

Les énigmes sont bien foutues et demandent pas mal de réflexion (n'en déplaise à certains).

La durée de vie est très correcte, surtout si on aime fouiner un peu partout et passer un peu de temps à admirer le monde créé par les développeurs.

Bref un très bon jeu !

PS : je ne suis pas du genre à critiquer les tests de la rédaction. Mais là, ça passe pas... Je n'ai lu le test qu'une fois le jeu fini, et heureusement, parce que le testeur ne donne vraiment pas envie d'y jouer. Il serait bien de penser à tous les joueurs, en particulier les amateurs de ce type de jeu.
Balancer un gros spoil dans les images, c'est pas très pro. Bon ok y'a pas mort d'homme, mais bon...
Et en passant, l'appareil photo, en plus de prendre des photos du paysage, peut éventuellement servir à retenir les "innombrables codes"...

Superbe jeu, truffe de references a Myst ou Riven (portes cachees derrieres d'autres portes, voyage en 'telepherique' sur rail, apprendre a compter dans une langue etrangere...etc. On retrouve vraiment l'esprit Myst original. Meme s'il ne se hisse pas a l'excellent univers que Myst avait cree (les livres, les ages...etc), le scenario reste tres bon et passionnant.
La difficulte du jeu est vraiment bien reglee, moins facile que Myst, mais moins difficile que Riven. Les enigmes sont bien pensees (en regle general) et certaines reservent des surprises , se montrant plus complexe qu'il n'y parait au premier abord.
Chaque monde a une identite bien distincte et repose sur des principes qui lui sont propre.
Le bemol: certaines choses se declenchent (porte qui se debloque, chemin qui devient accessible etc..) sans qu'on ne comprenne pourquoi. Il semble que certaines enigmes etaient prevues, mais n'ont pas ete incorporees, le resultat est que la solution se declenche automatiquement apres avoir effectuer quelquechose autre part qui n'a pas de lien avec.
Un jeu fascinant, passionant, tres beau et d'une difficulte maitrisee, qui n'est pas si court que ca (ref au test). Si vous avez aime Myst et compagnie, vous ne serez pas decus

Encore un test nourri aux super productions d'aujourd'hui. Oui, en effet, on n'est pas en présence d'un énième Call of Duty ou d'un jeu indé en rétro 2D pour hipster en manque de reconnaissance. Gameplay des année 90, je le met directement dans les points forts du titre. 18/20, sans hésitations, une aventure complète, un univers enchanteurs, des graphismes splendides. Les temps de chargement? Toujours moins que dans un bête die'n'retry sans saveurs.

J'ai un gros doute sur l'honnêteté du test de ledjeuf, et son profil me conforte dans cette idée.
Ce jeu ne mérite surement pas un 18, avec son style cartoon(je déteste), ses énigmes pas toujours subtiles, son optimisation d'amateur, et son gameplay dépassé.
Pour le reste, ça reste un jeu d'énigme plutôt sympathique, et le test de la rédaction me parait bien plus juste.
A bon entendeur.

Le jeu est globalement bon : les énigmes sont assez faciles mais bien pensées, et les graphismes sublimes. Seuls bémols : les temps de chargement et l'intrigue un peu faiblarde.

Je me suis lancé dans Obduction sur un coup de tête. Je ne sais pas vraiment pourquoi, sûrement que les paysages bucolique du trailer m'ont attiré ou le fait que le studio qui a fait Myst et Riven, jeux que j'ai fait mais jamais fini durant mon enfance mais dont je garde de très bon souvenirs, n'en a pas fait un point and click. Mais c'est fort probable que ce soit pour m'éloigner des triples A standards bourrés d'action, de microtransactions et de gameplay nerveux.

Je dois dire que j'ai été très bien servis, tant sur le fond que sur la forme. Selon moi, Cyan a fait le choix de faire un jeu d'aventure avec des éléments de puzzle, d'énigmes et de codes et pas l'inverse. C'est sans doute ce qui m'a plus le plus. Et cela se voit tant dans les environnements, que dans ce qui constitue le décors mais aussi les détails et l'histoire du jeu.

La manière dont ils ont choisis de construire l'univers du jeu ainsi que ses mécaniques, vont de paire : SpoilAfficherMasquerIl y a plusieurs mondes qui se sont retrouvés lié par un mystérieux phénomène et nous arrivons après des événements qui les ont laissés déserts, ont va alors pouvoir reconstituer le puzzle des événements en visitant les différents mondes et faire un choix à la fin du jeu . Cela a porté préjudice à seul moment du jeu où plusieurs aller-retours sont indispensables et les temps de chargement les accompagnent systématiquement.
Ce qui a cassé le rythme du jeu et m'a forcé à aller chercher une solution pour afin de ne pas m'attarder sur une partie dont j'avais compris l'essence mais qui refusait d'avancer à cause de son design.

Comme cité plus haut les temps de chargement vont en s'accroissant au fur et à mesure que les heures de jeu augmentent, mais pour peu que l'on possède un SSD, chose qui n'était pas le cas pour tout le monde à la sortie du jeu, cela ne gêne pas outre mesure.

Mise à part ces 2-3 petits détails, tout le reste n'est que bonheur et envoûtement. Chaque indice, note, tableau, bout de code est à sa place, même ce qui qui paraît hors contexte ou étrangement "ancré" à cet endroit est en fait non seulement justifié mais aussi compréhensible dès le début du jeu pour peu qu'on soit observateur ou que l'on ait un peu d'intuition.

La progression est fluide (mise à part le point mentionné plus haut) et on avance naturellement à la fois dans des grottes, un forêt sur un petit wagon motorisé ou des nacelles surplombant un vide insondable. Chaque instant, même dans les endroit revisités m'ont fait l'effet d'une gifle de détails, de gigantisme et de passion.

J'aurai voulu que je jeu soit plus long, surtout sur les 15-20 derniers pourcents. Je pense qu'il y avait matière à raconter quelques choses. Le prix est selon moi un poil élever malgré toutes les qualités du jeu qu'on ne retrouve pas dans d'autre triple A. Mais à bien y réfléchir, je préfère ça qu'on Fallout 76, Fifa, Call of, Pokémon, etc... Pourquoi ? Parce que les devs ne nous prennent pas pour des jambons.

Je vous poste ci-dessous trois captures que j'ai fait durant mon voyage, j'espère que vous donnerez sa chance au jeu car il la mérite.

Le spoil est minimemais je préfère prévenir.

Après un Myst V décevant, Cyan remonte un peu la barre avec Obduction. Le titre est aussi joli que divertissant, même s'il n'atteint pour moi jamais les sommets du passé. Notamment Myst 4 Revelation qui utilisait magnifiquement bien l'incorporation des acteurs directement dans les décors du jeu. Ici ce n'est pas le cas, les énigmes sont bien pensées et suffisamment recherchées que pour y passer un certain temps, mais l'aventure ne me laissera pas un souvenir impérissable comme l'ont fait les 4 premiers Myst.

Bon jeu , mais surpris par une fin beaucoup trop rapide. On voit au début des silos à grain.. une grue avec un p'tit chariot en hauteur.. On nous parle de semence, de graines.. Finalement tout cela sert à rien et c'est bien dommage. Pour connecté la batterie, je m attendais à devoir transporter un cable grace au rail..Mais tout se fait tout seul. Je m'attendais à plus d ambitions dans la durée et dans les idées . On voit même pas au final ce que trifouille le monsieur derrière la porte.. bref. Déçu malgres de beau graphismes.

Test sévère, à mon sens. Il est vrai que l'âge de Maray sent le bâclé, et qu'il y a un fort contraste entre l'intro plutôt "moderne" et la fin "à la myst", mais il ne faudrait pas occulter les immenses qualités du jeu :

1) De beaux décors.
2) Une superbe musique, beaucoup plus présente, je trouve, que dans Riven, où il s'agissait davantage d'un "fond sonore".
3) Des énigmes interdimensionnelles extrêmement bien pensées.
4) Kaptar... vaste, inquiétant, surprenant, décadent, un monde vraiment réussi et marquant l'esprit. Deux ou trois autres âges de cette ambition et le jeu devenait un chef d’œuvre.
5) La surprise. Avant de découvrir le premier téléporteur, on se dit qu'Unrath est déjà bien étendu et que tout se passera là ; quand on se retrouve tout à coup dans Kaptar, le jeu prend une toute autre tournure que ce à quoi l'on s'attendait.