Prey est un bon jeu, mais déjà ce n'est pas Prey, c'est une sorte de Bioshock dans l'espace avec des éléments de Fallout, mais ca n'a plus rien a voir avec l'original ou avec la premiere suite prévu (qui etait bien plus ambitieuse).

En dehors de ca donc ca reste un jeu plutot bon, mais qui ne prend aucun risque et ne surprend pas vraiment, on passe un bon moment (sans tomber sur des bug) mais ca s'oublie aussi vite le jeu terminé.

A oui et les graphismes sont juste honteux pour un jeu de 2017, le jeu est sauvé de justesse par sa direction artistique et son level design, mais au niveau technique ca a plus de 5 ans de retard, c'est du foutage de gueule pour un studio de cet envergure, ca serait comme aller voir le dernier Marvel au cinéma et se retrouver avec des effets spéciaux des années 90.

15/20 moins 3 points pour les graphismes.

Malheureusement,le jeu n'est pas une tuerie comme certain le disent.Le début du jeu est vraiment prenant et on découvre pas mal de choses mais vers la moitié du jeu cela devient vite ennuyant et répétitif,même plus envie d'y jouer.Quelques ralentissement et freeze que j'ai pu obeserver sur xbox one.Le premier opus de Prey n'a abosulment rien avoir avec celui ci,juste le nom.Bref,à louer,attendre les soldes pour y jouer.

Que du bonheur, acheter sur un coup de tête, je n'attendait rien de Prey, mais a ma grande surprise, je n'ai pas regrettez. C'est le meilleur jeu que j'ai joué depuis au moins 5 ans !

Tout est proche de la perfection, cela faisait longtemps que je n'avais pas connue un tel ambiance, me rendant proche de la paranoïa (la dernière fois date d'AvP 2 sur PC en 2001...).

Entre les ennemis plutôt atypique, les situations auxquelles l'on est confronté et les nombreuse façon de les résoudre (le level design est impressionnant), la narration très attachante, le gameplay efficace et fluide, et l'optimisation PC impeccable, je ne peut que recommander Prey !

Un jour il faudra arrêter de vouloir donner une note en voulant "respecter" les notes qu'on a pu donner au "chef d'oeuvre" du passé. C'était mieux avant... mwai

Pour ce qui est de Prey, il reprend effectivement beaucoup de ces glorieux ainés, bioshock, deus ex, dead space etc... mais il fait tout en mieux. Tout est réussit, tout est réalisé aux petits oignons. Ce n'est pas une révolution mais une évolution du genre. C'est l'héritier qui a tiré le meilleur de ces ancêtres et a su faire mieux.

Un jeu doit être critiqué pour l'ambition qu'il a... j'entend dire, les graphismes ne sont pas extraordinaires mais il n'a jamais été annoncé comme une claque graphique. Pour exemple.

Prey est pour moi le meilleur jeu de ce début d'année avec Nier Automata. On attendait beaucoup de GR wildlands, For Honor etc... ils déçoivent et récolte la même note que Prey qui est bien mieux réussit.

Prey, voilà un jeu qui démarre très bien pour se vautrer dans le mur aussi vite, je m'explique;

Début de partie, je suis aux anges! Amateur de SF spatial, l'ambiance est au rendez vous, les premières rencontres avec les ennemis sont intenses et ne manque pas de me faire sursauter, c'est simple, je me suis cru sur mon jeu de l'année, malheureusement, ça retombe très vite.

Pour commencer, la zone de jeu n'est finalement pas très grande, mais vous allez en faire des aller retour! Même si la zone 0G vous permettra quelques raccourcis, préparez vous à revoir le même couloir une bonne dizaine de fois...

Pour rester dans l'aspect "aller retour", le jeu ressemble beaucoup au premier Bioshock, si les aller retours et l'aspect "vous êtes un héro sans personnalité qui suit le codex d'un inconnu à l'aveugle" vous ont dérangé dans ce dernier, oubliez Prey, c'est exactement la même recette, sans oublier les affrontements du même genre (grossomodo le gameplay des affrontements consistes à enchainer 2-3 armes différentes,toujours dans le même ordre, viser, réflechir, vous oubliez).

Pourtant il y a bien des points positifs, le jeu possède un très bon level design, j'ai retrouvé les sensations d'un Dishonored mêlé aux compétences/approche d'un Deus ex, mais voilà, ca manque de variété, de rythme, on a envie de s'accrocher pour comprendre la suite de l'histoire mais le tout est plombé par des choix de cheminement très étrange.

Bilan, si vous avez adoré Bioshock, foncez! Si, comme moi, vous trouviez que le jeu pouvait être relou sur son gameplay, passez votre chemin, Prey est le même, en pire.

Grand fan des FPS hybride RPG avec cette touche de gameplay emergent à la System shock / Deus EX

Je dois dire que je suis totalement conquis par ce Prey, je viens de le finir et là fin ma laissé sur le ♥♥♥.

ça faisait bien longtemps que je n'avais pas vu un jeu au gameplay et à la construction si maitrisé, le nombre d'approche différente est tout simplement excellent et la limite est tout simplement l'imagination du joueur, le jeu n'explique jamais réellement toutes les utilités des pouvoirs et c'est libre à vous et vos trouvailles de faire le taf, ( avoir l'idée de passer dans les petits trous de guichet en prenant l'apparence d'une tasse, juste de la balle)

La map est agencée de manière extrêmement réaliste et totalement relié via divers chemin et ascenseur, tout est très organique, pour faire une comparaison bâtarde, c'est un peu construit à la manière d'un dark souls mais avec des temps de chargement entre les zones.

Avant de me faire insulter d'hérétique, j'entend par la que toute les zones sont visitable à environs n'importe quel moment, et sont toute connéctés de manière "logique".

L'exploration, elle, est tout simplement formidable, le gameplay émergent ce veut ici moins visible que dans un dishonored ou un deux ex mais tout autant présent, c'est juste que les différentes façons de faire sont rarement visibles via des astuces de game design (comme par exemple utiliser telle couleur pour attirer l'oeil sur un chemin dérobé)

Ici toute l'exploration et la façon de progresser repose uniquement sur l'attention du joueur, on a jamais la sensation d'être pris par la main par une aide des developpeurs et j'ai trouvé ça fantastique.

Le jeu regorge de quêtes annexes invitant à explorer des zones que vous ne verrez jamais en suivant bêtement la trame principale, quêtes annexes très bien narrées qui peuvent changer de manière dynamique la suite des événements de la quête principale ou le sort de personnage, ici il n'y a tout simplement aucune limites ou barrière, n'importe quelle action contre le jeu est possible et le scénario s'adaptera en conséquence, pas de personnage impossible à abattre ou de chose comme ça, et c'est juste génial.

Le tout est saupoudré d'un background très fourni que l'on apprend via les classiques mementos laissés à droite à gauche (des notes, des mails dans des Pc, des enregistrements audio...) totalement optionnels, y être attentif permettent néanmoins de se rendre compte tu grand travail fait par la branche Texane d'Arkane pour nous pondre un univers riche et cohérent.

C'est sur, graphiquement le jeu aurait pu être mieux (les animations faciales sont un désastre) et les combats peuvent être rapidement brouillonnes surtout sur la fin du jeu avec le surnombre d'ennemis, mais en dehors de ses deux défauts ce jeu fut juste un pied total, un sentiment de liberté d'approche et d'aventure extrêmement grisant.

L'avis n'engage que moi mais c'est tout simplement le "Fps Rpg émergent" (faut bien trouver un nom) le plus abouti depuis le premier deux ex de 2000 et System shock 2, bien au-dessus du décevant Mankind Divided, et même j'annonce, au-dessus des deux Dishonored, pour l'exploration qui est construite de manière bien plus mature et aboutie.

Malgré tout, et avec toutes les éloges que je pourrais faire sur ce bijou, je ne le recommande qu'au curieux de nouvelle experience ou alors au vieux de la vielle du gaming PC, en effet, ce jeu est une véritable lettre d'amour à System Shock, et par conséquent la progression (le fameux aller retours / portes à code et compagnie) peuvent vite lasser un joueur habitué par la modernité et la manière d'être pris par la main des jeux d'aujourd'hui.

Et gros point bonus pour l'ost signé Mick ♥♥♥♥*ng Gordon

Que dire ce jeu ? Ou plutôt de cet œuvre d'art !
J'ai vraiment pris un plaisir que seulement quelques rares perles du jeux vidéos me procure.
Tout d'abord, le scénario, la quête principal et les secondaires : La trame est vraiment exceptionnel, avec un grand éventail d'armes et de capacités pour explorer tout l'intérieur ainsi que l'extérieur de Thalos One. Le jeu laisse un grand nombre de choix pour avancer dans les zones ( discrétion, Bourin, cachette, passage secret ). Il laisse également la possibilité de faire des choix moraux ( sauver ou tuer les autres humains, ainsi que d'aider ou non ). Une très bonne durée de vie, de pour ma part 42 heures en mode cauchemars en explorant le jeu tranquillement. Plusieurs fins possibles, aussi bien écrite l'une que l'autre. Quoi qu'une grosse cinématique qui envoi du lourd n'aurai pas été de refus ! C'st le seul petit bémol de la trame, une fin très rapide.
La bande son du jeu est vraiment super ! Aucune musique n'est énervante, elles sont toute placées de façon excellente, angoissante au moment où ça doit l'être, prenante quant il le faut !
Les quêtes secondaires ne se ressemble pas, et ont toutes une petites histoires bien complètes et détaillées.
Le jeu est entièrement en Français, ce qui est un très bon point car le doublage est assez bien réalisé.
Les seuls points négatifs que j'ai trouvé, sont qu'il n'y ai pas de 2 ! 😂 Et aussi, je trouve ça vraiment dommage, moi qui suis un chasseur de trophées que pour avoir tout les trophées, il faut obligatoirement avoir le DLC, je trouve ça dommage. Enfin bref je recommande ce jeu, vous ne regretterez pas ! Sur ce, je pars sur une base lunaire maintenant !

Sentiment mitigé pour ma part.

Je viens de finir le jeu et si le level design est excellent j'ai trouvé l'aventure poussive et peu immersive.

Poussive car j'ai trouvé redondant les aller-retour pour les missions secondaires, les combats avec les ennemis (surtout la dernières partie du jeu que j'ai trouvé limite énervante). La partie zéro gravité est peu intuitive et on se perd vite.

Peu immersive a cause des missions secondaires à contre courant de l'urgence de certaines phases du scénario, prendre le temps de comprendre la vie de chacun.

Après le jeu est loin d'être mauvais , la durée de vie excellente, le plaisir de découverte et de fouille bien présent et encore une fois le level design rend l'ensemble cohérent. C'est donc un jeu qui se parcours avec sans cesse l'envie de voir la suite.

Dans l'ensemble il y a pas mal de bon points et surtout de clins d’œil et mécaniques de jeux plus connu (half-life, deusex manking , bioshock...)

Je met un 16/20 pour toutes ces raisons. Un jeu que j'ai aimé mais qui ne m'a pas donné envie de rejouer.

Plutôt mitigé pour ce jeu. Autant j'ai aimé tout le début du jeu, les phases d'exploration, la découverte de la station, se déplacer dans l'espace, débloquer de nouvelles armes, améliorer sa combinaison, le recyclage etc. Mais les mobs sont très chiant, la difficulté est mal dosé, je trouve les combats assez brouillons. Il manque vraiment quelque chose, je préfère beaucoup plus Bioshock premier du nom. Sinon le jeu nous rappel Half life, Bioshock, mais avec quelque chose en moins. Je dois être vers la fin et je n'ai même pas envie de le finir...

‘’Prey’’ est un jeu du studio Arkane Austin au Texas ! Au début je pensais qu’il serait moins bon que ceux de Lyon, erreur…

Scénario :
On est Morgane Yu, sur terre, qui doit passer des tests pour rejoindre la station spatiale ‘’monstrueuse’’ Talos 1 géré par sa famille. Mais cela ne se passe pas comme prévu !
Une intrigue complexe pas si facile à suivre.

Gameplay :
Prey s’inspire directement de la série Dishonored, y a pas photo. Mais quel jeu !! Voilà un FPS d’infiltration avec des possibilités d’évolutions plus marqué en RPG que Dishonored. Je liste :
Evolution avec des neromods humains ou aliens. Evolution des armes. Evolution combinaison techno ou psy. Loot. Recyclage. Fabrication…
En plus de cela, le jeu rappelle beaucoup Bioshock par ses lectures, ses audios, par la voix off et graphiquement : grand hall art déco par exemple.
Dans le jeu, globalement vous devez récupérer des objets, percer une intrigue en visitant toute les zones de Talos1, mais pas forcément dans l’ordre ! Même si quelques passage ‘’MétroidVania’’ vous bloque.

Pour cela vous aurez besoin d’armes et d’accessoires qui pourront être construits grâce au recyclage de matériaux et autres objets looté. C’est une gestion assez tactique car évidement le loot disparait des zones visitées, mais c’est un point fort du jeu.

De même, le choix d’évolution humain/aliens est aussi un autre GROS point fort d’où une grosse re-jouabilité. (Personnellement, je ne pas utiliser d’évolution aliens ! )

Que ce soit en quête principale ou secondaire, le jeu est extrêmement immersif, mais la difficulté du jeu peut être inégale, avec des moments de frustration en raison de la nature hostile des ennemis et des ressources limitées.
Cependant, le jeu n’est pas punitif grâce notamment à F5/F9 : la sauvegarde rapide, ouf !

Graphisme :
On retrouve le VOID engine dérivé de l’ID Tech6, comme pour Dishonored. Donc, c’est très beau et riche, du bon boulot, qui commence à vieillir malgré tout.

Audio :
Là encore, les thèmes sont discrets et adapté aux environnements. On pourra pester sur des ennemis assez silencieux…

Durée de vie :
En normale, en faisant tout (juste une quête loupé et le plan du trésor) j’ai mis 45H, oui c’est immersif et chronophage.

Enfin, faut bien râler : les piratages au clavier sont franchement nuls et foireux. Pas mal d’aller/retour en grand écart. Un contrôle principal facile mais beaucoup de touches secondaires. Un manque cruel de ressources par moment car la difficulté a montait d’un cran.

Après Dishonored, Prey passe le cran supérieur contre toute attente, un jeu référence à posséder.

Pas emballé au premier abord par le trailer et les screenshots (les graphismes et l'univers ne m'attiraient pas, l'histoire dont on ne savait rien non plus). Mais finalement Arkane signe un nouveau chef d'oeuvre. Le jeu est un véritable System Shock 3 quasi assumé, avec un peu de Deus Ex (2000) dedans, donc forcément, ça envoie du lourd (c'est bien plus qu'un simple Bioshock). Ca pourrait être tellement plus parfait en changeant quelques détails (dont certains points du scénario) que c'est frustrant, d'où les notes mitigées je pense, mais quel jeu offre une telle qualité et une telle expérience ?
Un excellent "FPS intelligent" que certains aiment qualifier d'"immersive sim". Je n'en dis pas plus pour ne pas spoiler. Lancez-vous, accrochez-vous et laissez-vous surprendre ! C'est une véritable pépite de gameplay et une expérience à part, très immersive. C'est un jeu intelligent, d'une grande qualité, comme on aimerait en voir plus. L'emballage aurait pu être plus vendeur. Au final c'est bien meilleur que Dishonored 2 (qui a pourtant de grandes qualités, mais s'avère aussi très frustrant sur le scénario), même si ça faisait moins envie en apparence. Le jeu a probablement souffert d'une mauvaise communication (qui s'explique néanmoins par sa volonté de surprendre in game par un scénario imprévisible), mais c'est un jeu surprenant et qualitatif, comme on en voit trop peu.

Obtenu avec le Xbox Game Pass Ultimate. Config : CPU AMD Ryzen 5 3600, GPU Nvidia RTX 2060 Super, RAM 16Go DDR4 3200CL16

Morgan Yu est le cobaye d'expériences scientifiques à bord de la station spatiale Talos-1. Soudain, une forme de vie extraterrestre aussi belliqueuse qu'imprévisible, les Typhons, décime l'équipage et prend possession des lieux. Morgan va alors tenter de survivre et empêcher les Typhons de se répandre sur Terre. Sa mémoire effacée, il va rassembler progressivement les pièces du puzzle, et découvrir sa vraie nature.

Sans grande originalité, cette uchronie est malgré tout rondement menée. Le récit est plutôt fluide, les différentes révélations et autres rebondissements sont bien amenés. Petit bémol cependant, une bonne partie des informations est sous forme de texte, ce qui devient vite fatiguant et dessert le rythme.

Le gameplay est varié et innovant. Outre les armes classiques (pistolet, fusil à pompe), vous aurez par exemple à votre disposition un Canon GLUE projetant de la mousse solidifiée. Utile pour entraver des ennemis, colmater des petites brèches, éteindre des feux ou encore créer des escaliers de fortune. D'autres armes sont présentes, mais beaucoup plus dispensables, comme l'arbalète en plastique, qui me laisse encore perplexe.

Gérer l'arbre de compétences est au cœur de l'expérience, avec deux catégories bien distinctes : des pouvoirs humains réalistes (force physique, piratage, réparations, etc.) et des pouvoirs Typhons surnaturels (ralentir le temps, générer des ondes de choc, imiter la forme d'objets, etc.). A chacun d'attribuer ses points de neuromods en fonction de son style et ses besoins.

La plate-forme est laborieuse, comme toujours en vue subjective, et les phases en apesanteur sont aussi lentes qu'imprécises. Fuyez tant que possible les combats dans ces circonstances, car vous serez systématiquement désavantagés. Au cours de l’aventure, vous serez aussi confronté à des pics de difficulté aussi inattendus que disproportionnés.

La direction artistique est propre, mais sans éclat. Talos-1 correspond à l'idée qu'on se fait d'une station spatiale vaguement futuriste, très peu de surprises à ce niveau-là. Il est même parfois délicat de se repérer entre les différentes sections, tant elles ont tendance à se ressembler.

Techniquement, c'est très moyen, avec un crénelage prononcé, des ombres tremblotantes et textures basse définition. Heureusement, le jeu se rattrape grâce à sa physique d'exception, toujours au service du gameplay, et un PC de moyenne gamme n'aura aucun mal à le faire tourner, car il est peu gourmand. Cependant, on ne pourra échapper à quelques bugs et crashs, trahissant un manque de finition.

Les musiques de Mick Gordon sont très discrètes, voire anecdotiques. Ce ne sera certainement pas sa partition la plus mémorable, la brute flamboyante qui rythme si bien les derniers Doom et Wolfenstein n'est ici clairement pas dans son élément. Je passe rapidement sur les bouillies electro-pop totalement hors-sujet signées Raphael Colantonio et Matt Piersall, qui gâchent le générique de fin sans aucune vergogne.

Le choix entre VF et VOST est bienvenu. Les voix françaises sont globalement convaincantes, et les sous-titres de bonne qualité. Le volume des différentes pistes sonores est ajustable, ce qui est très utile tant les bruitages ont tendance à percer les tympans pour provoquer des sursauts à peu de frais. Même les opérateurs médicaux, pourtant tout sauf une menace, en deviennent crispants à force de vociférer sans cesse.

Environ 50h seront nécessaires afin de compléter toutes les missions, principales et secondaires. Une durée de vie très appréciable, sans compter qu'un seul run n'aura pas suffit pour débloquer toutes les capacités, donc toutes les possibilités de gameplay. C'est assez frustrant, mais aussi source de motivation dans l'optique d'un new game+. Il y a aussi plusieurs fins, selon certains choix cruciaux.

Loin d'être mauvais, Prey ne parvient pas à exploiter pleinement son potentiel. La narration tient en haleine et les trouvailles de gameplay sont nombreuses, mais la technique d'un autre âge, la mise en scène quasi-inexistante, les nombreux allers-retours et la navigation trop lourde sont autant de tares difficiles à ignorer. L'ambiance de science-fiction horrifique ne décolle jamais vraiment, et bien que pétri de bonnes intentions, ce jeu laissera un goût amer d'occasion manquée.

Excellent. Histoire, ambiance, dimension RPG... m'a rappeler mon émerveillement des bioshock.
J'adore, le seul jeux où j'ai fait le NG+.
Dommage que la popularité du jeux pâtisse de sa date de lancement.
Un jeu à faire.

Alors tout d'abord je tiens a signalé que a l'heure et je partage mon avis je vient juste de terminé le jeux avec différente fin.

Tout d'abord commençons par le niveau artistique qui est pas mal certes mais qui n'a rien d’extraordinaire non plus comme on peut le lire un peut partout. De plus je suis bien obligé de dire que niveau graphique et bien c'est bien en dessous de se qui peut être fait en 2017 surtout que je jeu arrive quand même a ramer part moment, une honte pour le coup.

Niveau gameplay, le jeux a un coté sympathique au début et le tout devient lourd au bout d'un moment, a la fin du jeu j'ai même traversé les différentes pièces en courant car je trouvai sa rébarbatif.

Au début j'ai été vraiment pris par le scénario, même au milieu de l'histoire mais alors la fin gâche vraiment tout pour moi, pourquoi vouloir offrir la possibilité d'offrir différente fin si au final elle son pas si différente que sa, je préfère largement avoir une seule fin dans un jeu si elle est inoubliable plutôt que "plusieurs fin" totalement oubliable.

Au final je doit bien admettre que malgré des premières heures de jeux très très bonnes, prey m'a au final déçu, car a moitié du jeu on commence a faire et refaire les même choses cherché des carte et des codes pour ouvrir des portes et progresser jusqu’à la "fin". Si je lui met la moyenne c'est uniquement grâce à la première moitié du jeu.

A peine terminé je vais de suite le désinstallé car je suis sur de ne pas le refaire de si tôt et je vais même peut être le revendre chose que je ne fait quasi jamais de mes jeux.

Plus :
+Assez joli.
+Quêtes annexes intéressantes.
+La station possède un environnement varié.
+La verticalité !
+Les armes sont créatives.
+Beaucoup de moyens d'arriver au même but.
+Les customisations infinies.

Moins :
-La quête principale est très mal rythmée.
-Le hacking devient vite répétitif.
-L'interface est désagréable, surtout avec scanner.
-Infiltration frustrante, les ennemis te détectent sans raison.
-Le sound design est mauvais, la spatialisation peu précise, et les volumes inconsistants.
-Les temps de chargement sont trop longs et trop nombreux...
-Le temps se fige dans l'inventaire et la roue des armes...
-S'ensuit une ambiance hachée et non immersive.
-Aucun personnage charismatique.
-Aucune originalité au niveau du scénario.

En conclusion, un jeu assez sympa mais qui ne va pas marquer le genre comme ont pu le faire certains tenors 10 ans avant lui.