Attention, ce n'est pas un jeu mais plutôt une histoire guidée, lente... très lente! Pour une durée d'à peine une heure!
(Touches de déplacement: Avancer - Reculer - Gauche - Droite - Camera - Zoom) POINT FINAL
Aucune interaction, le déplacement est extrêmement lent.
Le jeu est en anglais mais bien sous-titré, en revanche il est impossible de désactiver le son du narrateur en anglais.
Les graphismes sont sympas et la côte est vraiment superbe, je trouve vraiment dommage de ne pas pouvoir exploiter ce décors.
Ça fait énormément de travail de paysage pour pas grand chose...

Pour la note, il faut pas exagérer avec des 20/20 ou des 0/20, il en faut pour tous les goûts, et il faut respecter le travail de l’équipe!

Points forts:
- Graphismes
- Son
- Originalité

Points faibles:
- Lenteur
- Aucune interaction
- Durée de vie

D'habitude, j'aime bien les jeu atypiques, les ambiances chelous et les jeux narratifs, mais là, c'était vraiment trop lent, et sans aucune interaction. J'ai arrêté après un quart d'heure vu qu'on ne fait que marcher, lentement, marche ponctuée de tps en tps par un narrateur qui nous raconte son histoire.

"Dear Esther" n'est pas vraiment un jeu vidéo, c'est une expérience unique et singulière qui ne plaira pas à tout le monde. Personnellement, je l'ai trouvée magnifique en tout point, et même si j'ai eu un peu de mal au début, le dernier chapitre m'a littéralement fait frissonner... Une expérience qu'il faut donc absolument essayer.

Dear Esther n'est pas un jeu. C'est une expérience à vivre, une histoire contée par un narrateur torturé en proie à la folie et au désespoir. Même si toutes les subtilités du scénario ne sont pas perceptibles lors d'un premier run, ainsi que les suivants, on se surprend à se laisser porter par les vagues des Hébrides. Il faudra malgré tout se creuser la tête afin de déchiffrer toutes ces métaphores, souvent trop abstraites, voir incompréhensibles.

On prend plaisir à explorer l'Île, à prendre son temps (la marche nous y contraint) et à admirer les panoramas, guidé par une musique discrète, parfois douce et d'autres fois oppressante et mystique. Mais quelle déception sur la durée de vie... Trop court à mon goût. On pourra tout de même constater une rejouabilité intéressante mais bancale, tentant de combler son manque d'assurance par des monologues aléatoires permettant de lever le voile sur différentes facettes de l'histoire.

Dear Esther est un voyage onirique qui en ravira plus d'un mais qui en rebutera d'autres par son gameplay limité. Si les "simulateurs de marche" ne vous dérangent pas, foncez.

Un jeu atypique qui ne plaira certainement pas à tout le monde. Aucune interaction, aucun "gameplay" (à part marcher). Mais je me suis laissé prendre au jeu, grâce à ses décors superbes et une OST très agréable. La fin est surprenante et est sujet à beaucoup d'interprêtation. A condition d'accrocher au style encore une fois.

Dear Esther EST un jeu-vidéo . Étonnement les bonne critiques commencent par dire le contraire . J'ai joué à Dear Esther en étant plongé dans cet univers sombre et métaphorique , passionné et à la recherche de la moindre parole du narrateur . C'est vrais , il n'y pas d'explosion , d'arme ou de je ne sais quoi ... passez votre chemin si vous le critiquez pour ça . Une critique qui lui vaut souvent une piètre note est le fait qu'il n'y est pas d'interaction . Mais ces personnes la ne se sont-elle pas demandé pourquoi ? De mon point de vue , et si on voulait justifier ce " gameplay " , ce serait de en comprenant la fin , en l'interprétant du moins . Pourquoi ajouter des futilités , alors qu'il faut toujours avancer pour y arriver ( si vous voyez ce que je veux dire ... )
Des paysages mélancoliques et parfois totalement incroyable ( une certaine route ... ), une musique incroyable , une histoire touchante , et une expérience à vivre .
Un petit coup de coeur absolument brillant

A "jouer" au moins une fois dans sa vie.

Alors oui, Dear Esther, ce n'est pas un jeu. Ça pourrait en buter certains, mais ce serait dommage. Parce que ça en vaut le coup. Dear Esther, c'est une nouvelle visuelle, dans laquelle on traverse un paysage parfaitement modélisé, tout en écoutant musique merveilleuse. Mais Dear Esther, ce n'est pas que ça. Dear Esther, c'est une histoire profonde, pleine de sens cachés qui révèlent un récit tragique au final.

On regrettera en revanche le manque de mouvements qui nous empêche d'explorer plus en profondeur le paysage. Parce que oui, là on peut clairement parler de paysage et pas de map.

Salut à tous, la première chose que l'on se prend lorsque l'on joue à "Dear Esther", c'est une méga-claque visuelle (j'avais jamais vu ça out les call of et battlefield actuels) aussi bien au niveau des textures variés, des effets visuels et sonores ponctuant une ambiance super réaliste. C'est fluide, c'est beau, mais on s'aperçoit qu'au niveau des commandes le personnage ne peut que se diriger et zoomer au niveau de la vue, il ne peux ni utiliser quoi que ce soit, et surtout ni courir, c'est frustrant... Le fait de ne pas pouvoir courir rend le début du jeu long et chiant, on marche comme un escargot (SPOIL: mais bon les scénaristes sont excusés, le personnage a la jambe explosé dans l'histoire), on veut limite quitter le jeu mais on se surprend à rester car c'est magnifique et on veut en savoir plus. On se retrouve au fil du jeu envouté par l'ambiance visuelle (une tuerie sachant que c'est le source engine), sonore (ça prend aux tripes) et scénaristique (ça aussi ça prend aux tripes et au cerveau), le tout est magique. Et malgré une durée de vie minable d'environ une heure, le jeu a apparemment tellement d'indices cachés qu'il est impossible de tout voir en finissant le jeu une fois. Au final, j'ai adoré, c'est poétique, c'est mélancolique, on en redemande, ce jeu est mortel. La fin est fatale (pleures pas boulou). Je conseille ce jeu expérimental qui est dans la ligné d'un slender, d'un amnesia et autres jeu style FPS mais sans le gore, sans les guns pas même un couteau (oui Madame!) mais juste ses yeux pour pleurer. Amateurs de Battlefield et FPS en tout genre passez votre chemin. Pt'1 d'jeu Y m'a... Jchuii... jchuiii... émouvéé mais j'ai rien compris... Fo que je le refasse allez trois fois mininmum pour capter la story pis c'est beau.

Sa durée de vie est rachitique, on ne peut ni courir, ni sauter, je n'ai pas nécessairement tout compris à l'histoire... Mais Dear Esther m'a séduit (je sais qu'un patch avec des sous-titre français est sorti mais la flemme). Son ambiance mystérieuse, la beauté de ses décors (le niveau des grottes, bon sang!) et sa magnifique bande-son m'ont envouté.
Poétique et reposant, ce titre est un petit coup de cœur.

J'ai aimer l’expérience, elle change d'un joueur à l'autre et la note que j'ai attaché au commentaire est relativement inutile. C'est difficile d'expliquer en quoi c'est un jeu vidéo... c'est interactif, mais il n'y pas vraiment d'options à part avancer à son rythme. À mon goût, je décrirais le jeu comme d'un poème interactif.

Dear Esther ne fait que nous guider à travers une île, accompagné de l'unique voix grave du narrateur. Et pourtant ça fonctionne. Tout n'est que suggéré, le joueur fait sa propre histoire, et en discute avec d'autres qui ont probablement une autre vision des choses. Un titre qui fait réfléchir, court, mais envoûtant. Mention spéciale à l'OST incroyable.

Quand le jeu vidéo devient une oeuvre d'art en seulement deux heures de jeu, il y a de quoi crier exploit. Dear Esther m'a laissé bouche bé. non exempt de défauts, j'ai tout de même vécu une de mes meilleures expériences vidéo ludiques. Le jeu est une longue marche de deux heures avec comme seul élément de gameplay : zoomer avec la caméra. Oui vous avez bien entendu, seulement zoomer, Vous devez vous dire "c'est quoi ce jeu ?" mais il faut dire que Dear Esther n'est pas un de ces jeux banals que l'on se tape s'en ressentir une seule émotion. Là ça va bien plus loin. L'on débute sur une île abandonnée, où l'on ne sait pas ce que l'on y fait, et qui l'on ai. L'on ne sait absolument rien, si ce n'est que l'on peut contempler. Le calme règne, des éléments comme des maisons abandonnées nous laissent perplexes. L'on avance, la mer s'étend sur le sable en le caressant, et le soleil au loin, commence à se coucher. Divers signes sont inscrits ici et là. Débute alors une marche, une expérience nouvelle et mystérieuse. Un narrateur, va nous compter moultes détails sur l'environnement que l'on parcours, des situations bizarres, inexplicables,...Divers signes sont inscrits ici et là. C'est alors que l'on se rend compte de l'incroyable poésie de Dear Esther. Si l'aventure est courte, les sentiments sont grands, différents... Il est impossible de décrire ce que m'a fait ressentir Dear Esther, il faut le vivre. Si le gamepay peut être linéaire et frustrant, c'est pour imposer une ambiance et poser les grands traits de Dear Esther. Je ne vous ai rien dit du scénario du jeu, pour ne rien vous gâcher. Mais je peux vous dire qu'entre la musique piano/violon de Jessica Cury et le moteur source très vieux qui arrive encore aujourd'hui à roxxer du poney un minimum esthétiquement, ça envoie. Je vous conseille cet ovni, ce sont des jeux comme ça qui me font aimer les jeux vidéos. Merci.

c'est un bon moment passer que de suivre cette histoire.
les graphismes sont bien soigner mais c'est surtout cette ile
et l'ambiance qu'elle en fait ressortir qui est magnifique!
maintenant,ce serait la cerise sur le gateau si on y ajouter les ideesde URU ou MYST (cyan world) ou il y a des interation avec le decor(une pensee pour URU ou on pouvait accumuler l'energie en reglant la vitesse d'une enorme lentille
par rapport ou soleil!)

A 1,99€ sur steam , on peut dire que c'est une bonne affaire.
C'est une très belle aventure poétique laissant libre court à toute interprétation. Chacun parcours l'île mais chacun repart avec une idée différente. C'est un peu ça le charme de cette aventure qui à première vue semble linéaire, mais qui ne l'est profondément pas.

C'est un jeu qui n'en est pas un, c'est en faite un spectacle, on assiste à une belle histoire poétique et des ballades au coeur de cette île avec des paysages vraiment réussis. Le chapitre dans les grottes est merveilleusement réussis
Cela dit je note 19 car comme l'a dit JV je trouve dommage d'être bloquer par un petit rondin ou cailloux ^^

"Ceci est de l'art" -Weathley-