Bien que au niveau graphique et au niveau de la bande son, les 8 euros payés pour une seule heure de jeu me semble très salés. Il s'agit plus d'un roman à vitesse grand V que d'un jeu. A conseillé uniquement aux amateurs du genre.

Pouvant être désigné comme un chef d'oeuvre, je l'ai aussi acheter pour encourager le développement de ce genre de jeux que j'appellerais "jeu d'exploration".

Ca fait vraiment du bien de pouvoir trouver ce genre de décors loin de l'abrutissement chaotique des tirs de mitraillettes et des hurlements dans lequel on est habituellement baigné.

Une claque artistique sur un médium qui privilégie en général les jeunes et les casual gamers. Mais ici c'est un tout autre publique qu'y est visé. Une promenade lente et magique ponctué d'une narration. C'est pour moi un OVNI qui permet de sortir des chemins battu. Avis a tous les joueurs qui recherche de la nouveauté et de la sensibilité, ce jeu vous changeras les idées.

C'est tellement linéaire et court (max 1h) qu'il aurait mieux valu en faire une cinématique étant donné qu'il n'y a aucune interaction. Esthétique et scénario corrects mais pas transcendants non plus. On reste donc sur sa faim d'autant qu'on comprend assez vite l'issue.

Dear Esther, on ne peut pas vraiment noter ce dernier comme un jeu, c'est plutôt une balade à pied, avec une histoire où on comprend au fur et à mesure ce qui c'est passé au personnage, le plus gros point fort sont les graphismes.
À tester si vous souhaitez uniquement découvrir l'histoire, et pour ceux qui le souhaite, une traduction en sous-titres français est disponible en faisant une petite recherche sur google sur les forums de steam.

Ca, c'est ce que j'apelle un jeu bien perché.

Je lui met 15, principalement pour l'ambiance, simplement fantastique, et le moteur graphique qui en a dans le ventre. Pour le reste, d'accord avec le test de la rédac, ce n'est pas un jeu, mais plutôt une bien jolie randonnée d'une heure sous substances pas très légales.
Je n'ai personellement pas trouvé gênant les limites du gameplay. Ca fait partie du trip. L'histoire par contre, je dois dire ne pas avoir compris grand chose, je pense donc le refaire une fois de plus.

Bref, à faire, surtout si comme moi, vous le trouvez en promo sur steam et que vous n'êtes pas allergiques aux "jeux" bien barrés.

Pendant les deux premiers chapitres de Dear Esther, je me disais que c'était intéressant, mais loin de valoir l'engouement qu'on lui portait (certes j'adore cette atmosphère, mais ce n'est pas pour autant que ça mérite d'en faire un jeu). Puis j'ai fait les deux derniers chapitres et j'ai été charmé. En fait, je ne crois pas qu'il faille considérer cela comme un jeu, mais plutôt comme une forme d'art 3d. Que ce soit d'un point de vue musical, visuel ou narratif, Dear Esther est magnifique (malgré quelques textures un peu baveuses). Bref, c'est cool, toussa toussa. Le problème étant que pour parler de jeu, il faut parler de gameplay. Ce qui est totalement absent de cette chose. Difficile donc de le juger de ce point de vue. Le seul critère objectif qu'il nous reste, si l'on considère Dear Esther comme un jeu, c'est la durée de vie, qui est plus que ridicule (une heure. Ajoutez dix minutes si comme moi vous grimpez sur tout quand vous partez en randonnée). J'aimerais aussi attirer l'attention sur l'effet final: ça fait une chouette fin (bien qu'un poil prévisible), mais cet effet semble beaucoup trop mécanique par rapport à ce qu'il aurait pu, ce qu'il aurait dû être. En fait, pour trouver une façon de définir Dear Esther qui soit proche de la réalité, je pense qu'il faudrait dire que Dear Esther est au jeu vidéo ce qu'est la nouvelle au roman. Une idée. Une idée stylisée et joliment mise en scène, qui ravira les amateurs d'expériences.

Dear Esther est, comme d'autre l'ont déjà dit une expérience plus qu'un jeu au sens général. Il ne présente que la seule prétention de nous promener sur île et de nous conter la fin tragique, mélancolique, désespéré d'un homme d'adressant à une certaine Esther.
Ce "jeu" marque peut être le début d'un nouveau genre. Les défauts que l'on pourrait y trouver est son parcours couloir empêchant toute exploration, bridant la liberté qui pourrait faire de ce jeu un chef d'oeuvre du jeu vidéo
Je pense qu'une certaine maturité est nécéssaire pour l'apprécier pleinement auquel cas une personne trop jeune ne pourrait pas apprécier. Il faut le faire, sans le prendre pour un jeu.
Très belle expérience, qui laisse pensif...

Jeu doté d'une ambiance colossale, les paysages sont des toutes beauté et certain passages ne cesseront d’émerveiller le joueur à chaque parties. Cependant le durée de vie est éphémère et le joueur doit se voir doter d'un très bon niveau d'anglais si il veut comprendre l'histoire racontée tout au long du jeu. Mention spéciales à la bande son qui correspond parfaitement bien au jeu.

Comment noter un jeux(car oui c'est un jeu) comme Dear Esther.Une ambiance incroyable et éthéré, une musique belle, mélodieuse et inspirante et un scénario profond, intelligent et déstabilisant.
Il ne faut surtout pas noter Dear Esther comme l'on noterait n'importe quel autre jeux ou l'avis se poserais sur des bases comme le gameplay, la cohérence des niveaux ou des énigmes ou encore la durée de vie.
Dear Esther est un poème vidéo ludique que l'on peut parcourir pour en connaitre chaque recoins. Se plonger dans un état de contemplation et d'émerveillement continue est nécessaire pour apprécier les quelques heures que l'on pourrait y passer. Une sensibilité artistique ainsi qu'une beauté rarement vu ou entendu dans les mondes des jeux vidéos, même indie, inspire cet étrange titre.
(Ma note n'est, encore un fois, pas à prendre en compte.)
Je vous conseil, si je puis, de jouer de nuit ou le soir. Seul.

Mon avis sur ce jeu est mitigé.
En effet, malgré une atmosphère sublime, ça manque cruellement d'interactivité.
Les paysages sont vraiment sublimes, même si parfois la texte fait défaut.
Je le trouve un poil cher.

Certes, ce n'est pas un jeu-vidéo. Disons donc un livre-vidéo. Mais c'est ici que nous touchons aux limites du genre, qui ouvrent des horizons telles ces pics ardus, rugueux et invraisemblables, qui pour autant une fois franchis nous dévoilent de nouvelles contrées. Certains verront dans la rigidité du gameplay un manque grave à l'immersion, d'autres y verront la contrainte que connaît le lecteur qui ne peux pas lire plus qu'il n'y a écrit. Il suffit de regarder la liberté de déplacement offerte dans un Elder-Scrolls-like pour comprendre à quel point l'absence de contraintes tue la narration. Parce que donner la liberté au joueur, c'est lui permettre officiellement de sortir de la "thématique logique" du jeu. Quelle beauté reste-t-il dans une quête effrénée lorsque le héros se permet de parader dans les collines environnantes ? Non, ce comportement n'est pas envisageable dans le monde réel, il ne l'est donc logiquement pas dans un jeu qui cherche à faire vivre une histoire au joueur, et non à lui faire vivre une aventure. Je pense qu'une critique n'est efficace que lorsqu'elle est clairement établie comme "effectuée en tant que public cible" ou son contraire nettement souligné ; ainsi, j'engage tout le monde à reconsidérer la pertinence de ses désirs vidéoludiques avant de proférer un quelconque avis tranché. Je ne dénigre pas pour autant les opinions réfractaires, je cherche à vérifier que tout le monde garde bien les yeux ouverts et l'esprit large. On ne gravit pas une montagne pour faire demi-tour sans regarder ce qu'il y a de l'autre côté.
Je pense qu'il n'y a pas d'idéal vidéoludique. Mais seront certainement plus heureux ceux qui, comme moi, sont bons publics, et capables d'apprécier tant un "Assassin's Creed" qu'un "Mario", tant un "Mirror's Edge" qu'un "Dead Space", tant un "Bioshock" qu'un "Fallout", tant un "Age of Mythology" qu'un "Spellforce". Pas un seul ne se joue comme un autre. L'âme d'un jeu-vidéo est avant tout l'âme du joueur qui s'apprête à s'y essayer. Alors on ne joue plus au jeu, mais on le vit. Pourquoi le genre dont Dear Esther est un des ambassadeurs serait-il différent ?
Je considère que le prix n'est pas un facteur de qualité du jeu, mais plutôt une caractéristique externe au soft lui-même, qui doit ensuite être mise en relation avec sa note.
Je considère que si la critique est réalisée comme en phase avec l'idéologie ludique du jeu auquel elle s'applique, alors le public n'aura qu'à s'évaluer en rapport à la cible du jeu, qui est un facteur récessif, mais pas un facteur de qualité.

Alors ma note est attribuée pour la beauté des graphismes, la qualité de la tension narrative et enfin la qualité artistique et scénaristique.
Parallèlement :
-Le prix est trop élevé pour une expérience superficielle, mais logique pour la rejouabilité du titre.
-Le public cible est restreint à ceux qui savent vivre une histoire comme on lit un livre : au gré des pages et au rythme de l'auteur.
-La narration en anglais est un obstacle, mais on peut toujours espérer une traduction future. (achetez sur steam)

Un très bon CD. Un très bon narrateur. Une très bonne direction artistique. Mais un jeu pas fini. C'est du moins la sensation qui se dégage. Avons-nous affaire à une bêta ? Une démonstration promotionelle ? Bref, ce condensé et poésie et d'ennui très court n'est pas un bon jeu puisqu'il n'est pas un jeu du tout. Cependant, la bande son est sublime et m'a rappeler Olafur Arnalds.

Un bon 17/20. A prendre pendant les soldes quand même, ça reste relativement cher pour une heure de jeu (environs).
C'est une expérience incroyable, on sent la solitude peser sur nos épaules, la nostalgie du narrateur... J'en suis bouche-bée.

Il faut savoir qu'en effet,Dear Esther est un conte plus qu'un jeu vidéo. En effet,le jeu dans son intégralité vous raconte une histoire que vous devrez mettre bout à bout au fil de l'exploration. C'est une sorte de roman visuel. Le jeu est très beau,l'écriture est très belle,mais il faut aimer les jeux qui vous racontent une histoire pour vraiment l'apprécier à son plein potentiel.