Je viens tout juste de le finir, je ne comprend pas pourquoi un 10 au scénario..
La qualité d'écriture est sublime et le jeu répond à tellement de questions.. Un personnage plus vieux, qui a plus de savoir faire, donc un personnage très attachant.
Une fin ou l'ont apprend énormement de chose, pour moi c'est de très loin, le meilleur Assassin's Creed.
L'aventure offerte par Ubisoft, fruit d'une décision prise sur le tard pour faire patienter le temps du développement d'Assassin's Creed III - s'inscrivant dans une mécanique d'annualisation qui commence déjà à sérieusement faire grincer les dents à l'époque - révèle manette en mains la conclusion parfaite mais qui n'avait pas forcément été envisagée au premier abord, des aventures d'Ezio.
Graphismes PC 16/20
Gameplay 17/20
OST, Bande-Son, Open-World 19/20
Progression 17/20
Scénario 17/20
Énorme déception. Au niveau du gameplay rien de nouveau. Le grappin est un bien maigre ajout et le système de confection de bombe s'avère gadget voire inutile.
Graphiquement, c'est du réchauffé aussi. Seul point positif, les expressions faciales de qualité. Pour le scénario, on touche bel et bien le fond du gouffre qu'annonçait Brotherhood. C'est tiré par les cheveux et ridicule à souhait, digne d'un vieil épisode de science-fiction raté.
Le pire reste encore le logiciel d'Ubi qui nous plombe l'expérience de jeu, comme d'habitude. Ils font tous la course après Valve, Ubisoft avec uPlay, EA avec Origin.
Voilà, je l'ai eu pour 13€ mais même à ce prix je le regrette. A éviter !
Les AC se suivent et se ressemblent. Alors certes, il s'agit du même personnage donc c'est normal. Mais personne ne les a obligé a garder Ezio. Tout le monde attend un AC pendant la révolution française, mais il semble évident qu'il n'arrivera jamais. Dommage, sachant qu'Ubisoft était français à l'origine. Le jeu est redondant, ennuyant parfois. Ezio a 50 ans est devenu sage, et est vouté, fatigué. L'immense majorité des joueurs ont en dessous de 30 ans, il nous est donc difficile de se comparer à lui. Du coup on s'attache beaucoup moins au jeu, qui consiste a tuer les méchants Byzantins qui complotent dans le dos des gentils ottomans. Oui oui, les gentils ottomans. Tout le monde sait que cet empire c'était disneyland, voyons ! Bref des moments pas crédibles, un papy (pour l'époque, 50 ans c'était le bout du monde) qui escalade les murs et court plus vite que les mecs de 20 ans, une vision étrange de l'histoire...les graphismes sont beaux. Voila c'est tout, les lumières sont bien faites. Wahou !
J'attends tout de meme le prochain opus, peut etre se rattraperont ils ?
De plus, un personnage blond de la saga a disparu, il me manque beaucoup !
A l'image de Brotherhood, Revelations peaufine ce qui avait déjà été fait tout en intégrant de nouveaux éléments. Si certains, comme le crochet, apportent un vrai complément, on sera un peu plus réservé à propos des phases de «stratégie» consistant à protéger ses repaires. Toutefois, entre une gestion des assassins plus intéressante ou la création de bombes, le gameplay se montre toujours aussi solide même si le côté remplissage ne masque en rien le manque d'originalité de l'ensemble. De fait, Ubi devra à l'avenir se pencher sur l'IA peu convaincante des gardes, accentuer l'aspect infiltration (bien plus présent en multi qu'en solo), revoir les bases du gameplay en permettant par exemple à notre personnage de s'accroupir et peaufiner les phases de varappe.
Ce jeux est énorme!! Je viens juste de le terminer et je suis encore sous le choc! A avoir absolument!
Le jeux est plein de moments forts, de cinématiques incroyables, des graphismes époustouflants et un gameplay complet!
À sa sortie, le quatrième opus de Assassin's Creed ne m'avais pas laissé un très bon souvenir. Il faut dire que c'est le premier de la licence à faire moins bien que ses prédécesseurs.
En y rejouant des années plus tard, je n'ai pu que me rendre compte que cet Assassin's Creed regorge de qualité mais qui ne font apparaitre les défauts que plus tâches encore.
Déjà après deux épisodes en Italie, on rejoint Constantinople, ville colorée et agréable a parcourir, autre qualité, des mini missions d'assassinats, certes ce n'est pas mémorable mais cela reste plaisant de traquer des criminels et sociopathes divers. Le niveau dans la ville troglodyte reste un des design les plus marquant de la saga. Les tombeaux sont toujours aussi plaisant quoi que moins impressionnant que dans ACII ou Brotherhood. Les retrouvailles avec Altaïr restent néanmoins l'élément le plus marquant et le mieux écrit du jeu.
Maintenant passons aux défauts :
- les méchants : passer des charismatiques Borgia au fils colérique du sultan... mouais. Sa fourberie saute aux yeux dès la première rencontre et le personnage n'apparait pas suffisamment pour paraître menaçant ou sembler intéressant. L'acoquiner à une espèce de secte de "néo-byzantin" parait aussi des plus absurdes.
- les alliés. Passer de Machiavel et la Volpe à Aladdin de chez Wish fait très mal.... sa mort au milieu de l'épisode fera d'ailleurs l'effet d'un pet froid. Ne parlons même pas des Romanichels (sensées remplacer les filles de joies italiennes) qui n'ont ni quêtes annexes, ni intérêt, juste une mission et une vague présentation et basta on en parle plus.
Le pire reste néanmoins à venir.
- le présent : probablement le plus gros défaut de l'épisode ! Après avoir découvert l'univers dans le I, fait connaissance de Shaun et Rebecca dans le II et approfondit ses compétences d'assassin dans Brotherhood, notre pauvre Desmond fera du surplace, prisonnier de l'animus et dans le coma suite aux tragiques évènements de Brotherhood. Les grandes conversations philosophiques avec le dérangé sujet 16 ne passionneront personnes et nous paraitront bien longuettes.
Bref l'épisode Revelation contrairement à Brotherhood ne parvient pas à faire oublier qu'il est un dlc + dans l'attente d'un épisode III. Il n'est pas mauvais mais franchement dispensable.
D'épisode en épisode, Ubisoft poursuit sa stratégie de la paresse et de la médiocrité.
On est passé d'un AC2 dont l'histoire principale prenait 20 à 25h de jeu et au moins 10 de plus pour tout faire, nous faisant voyager à travers l'Italie en naviguant entre une dizaine de maps géantes et travaillées, à un AC Brotherhood avec des graphismes un peu plus soignés mais se déroulant sur une seule et unique map dans une version ultra miniaturisée et minimaliste de Rome, pour un jeu dont l'histoire principale se finissait en une douzaine d'heure avec des mécaniques de jeu complètement bancales et déséquilibrées.
Pour finalement se retrouver avec ce jeu développé à la va vite (quelques mois c'est ridicule pour développer un jeu), plus moche que son prédécesseurs, bourré à craquer de bugs (comme des soldats qui continuent de discuter entre eux pendant qu'ils sont en train de nous attaquer), des scripts qui ne se lancent pas, etc. et qui se termine en une dizaine d'heure dans son intégralité.
Les quelques changements anecdotiques sont tous mal pensés comme le fait de fouiller les gardes pour trouver des composants pour crafter des bombes ou du poison (!???). On a toujours ce système d'assassins mercenaires qu'on peut envoyer tuer nos ennemis à notre place, cassant tout l'intérêt du jeu (et même celui des courtisanes/mercenaires/voleurs, qui les a utilisé dans Brotherhood alors qu'il faut payer et qu'on a des sbires gratos qui peuvent tuer absolument n'importe qui, n'importe où sans déclencher d'échec si on est repéré alors qu'ils sont 5 ou 6 à courir au milieu des ennemis?).
Pourquoi est-ce que le design de Ezio et Desmond a changé??? Même en admettant qu'il est veilli, ce Ezio n'a absolument aucune ressemblance avec celui des précédents jeux et Desmond a une tête de simplet.
A noter aussi un doublage full québecois avec un Desmond majoritairement appelé "daissemon" et des "in" prononcés "e", des comédiens qui jouent comme des pieds et des expressions tellement incongrues pour un français qu'on passe plus de temps à rire des doublages qu'à se concentrer sur l'histoire.
Ce qui n'est au final pas bien grave puisque l'histoire est pitoyable.
Les 2 premiers jeux avec Ezio ne faisait déjà pas beaucoup d'effort vu que le premier se résumait à se venger en tuant un à un une liste d'ennemis et que le deux se contentait de reprendre cette vengeance, mais maintenant sur le pape qu'on avait mystérieusement épargné (alors que c'est le grand méchant responsable de l'objet de notre vengeance) dans AC2 ainsi que son fils.
Là y a rien, visiblement à court d'idée les "scénaristes" se sont contenté de mélanger les histoire des 2 premiers assassins de la série pour pondre une histoire baclée sans intrigue ni développement de personnage.
J'ai toujours du mal à comprendre comment certains peuvent affirmer que les Assassin's Creed de cette époque étaient de bons jeux, meilleurs qu'un AC Odyssey par exemple.
Commençons par les points positives :
- Ce jeu complète bien l'histoire d'Altaïr et d'Ezio.
- Les missions pour les recrues aux quatre coins du monde sont devenues plus intéressantes car on sent là-bas la confrontation entre les assassins et les templiers.
- La mécanique des bombes est assez intéressante.
Et pour les points négatifs:
- Les histoires secondaires sont devenues plus vides, si dans Brotherhood les missions secondaires donnaient de la profondeur à l'histoire, là elles sont vides.
- Les DLC que les nouveaux joueurs ne pourront jamais acheté sur UBISHOP car ils n'existent plus là-bas
- Le DLC Lost Archive est un DLC dont les succès sont affichés dans le jeu de base. Même si maintenant on peux achever ce jeu à 100%, sans les succès de ce DLC on ne sent pas qu'on a terminé le jeu à 100%.
- La mécanique du défense de repaire ou plutôt la mécanique du TOWER DEFENSE je trouve la plus nul de tout le contenu de ce jeu. Je ne sais pas qui a pu avoir l'idée que cette mécanique fera plaisir aux joueurs.
- Les missions de courses aux chariots sont les plus horribles dans ce ASSASSIN'S CREED REVELATIONS. Si dans ASSASSIN'S CREED II et ASSASSIN'S CREED BROTHERHOOD les missions avec les chariots étaient supportables, là ils sont détestables.
roisieme et derniere opus des aventure de Ezio auditore Da Firenze assasin's creed révelation est trés ovni dans sont scénario autant certaine sequence de mission claque grave en cute scene et effect speciaux autant le scenario des fameuse clef de maysalf ainsi que les révelations sont assez bateau au final la ville de constaninople et superbe est trés grande un assasin creed pas trop mal mais loin de l'epicness du deux est de brotherhood
Assassin's Creed : Revelations est un jeu d'aventure appartenant à la série éponyme. Avec ses nouvelles armes et capacités d'assassin, Ezio essaye de marcher sur les traces de son ancêtre Altair, plus déterminé que jamais. L'histoire le mènera dans de nombreuses villes telles que Masyaf, Constantinople ou bien encore la Cappadoce. Un mode multijoueur permet également de se mesurer à ses amis.
16/20
oisieme et derniere opus des aventure de Ezio auditore Da Firenze assasin's creed révelation est trés ovni dans sont scénario autant certaine sequence de mission claque grave en cute scene et effect speciaux autant le scenario des fameuse clef de maysalf ainsi que les révelations sont assez bateau au final la ville de constaninople et superbe est trés grande un assasin creed pas trop mal mais loin de l'epicness du deux est de brotherhood
Revelations est mon cinquième Assassin's Creed.
Après l'épisode II et Brotherhood, il est apparu évident d'enchaîner cet épisode pour clore la saga Ezio. Ce troisème volet un peu différent sur la forme en raison du lieu de l'action qui nous éloigne de l'Italie peut étonner au démarrage, mais on reprend très vite nos marques tant la formule reconduite est fidèle. Globalement j'ai trouvé le jeu plus facile, avec des combats plus vite expédiés (Ezio a gagné de l'habileté avec l'âge ?) et ce n'est pas plus mal, on se sent moins contraint que dans Brotherhood. Les bombes renouvellent un peu les techniques mais les bonnes vieilles méthodes sont toujours aussi efficaces. Revelations franchit un nouveau cap dans sa réalisation graphique là où je trouvais le II très vieillisant, Constantinople s'affichant ici plus flamboyant que Rome avec des couleurs plus chaudes et chatoyantes. Le jeu a réellement bien vieilli, avec un plaisir de "parkour"-ir l'ancienne Istambul avec encore plus de fluidité et d'élégance, l'arrivée du crochet et des tyroliennes mettant loin en arrière les phases parfois pénibles des épisodes précédents (ces satanées tours dans le II/Brotherhood)! Moins convaincu par la partie de la protection des repaires par contre, même si l'idée était là, et le gameplay très peauffiné du reste du jeu rattrape sensiblement ces séquences à contribution. Je profite de ces lignes pour mentionner l'excellence du doublage français, une habitude dans la saga et peut-être même encore meilleur chez la trilogie de ce cher Ezio Auditore da Firenze.
L'exploration des donjons est également une réussite même si l'épisode II tient le haut du panier dans ce domaine, et la gestion des Assassins qu'on envoie en mission dans les villes frontalières à la Méditérannée fait un retour triomphant. Revelations est aussi très bien porté ce PC, car contrairement aux deux précédents épisodes je n'ai pas eu un seul crash en jeu. Enfin, le jeu prenait sur lui de clore la brillante trilogie d'Ezio avec des conclusions narratives saisissantes comme le promettait le titre même du jeu, or j'ai fini le jeu le jour même où j'écris ces lignes et la mise en scène et l'ambiance demeurent poignantes, Ubisoft tend ici à rappeler qu'il existe des studios plus doués pour raconter de bonnes histoires. La vie d'Ezio demeurera un récit inoubliable dans le domaine vidéoludique, que l'on aura suivi de la naissance jusqu'à la mort, et pour digérer ce chapitre final je me détends sur "L'histoire de Desmond Miles" et le DLC "L'Archive Perdue" qui offrent une nouvelle séquence de gameplay mêlant Portal et Minecraft dans les tréfonds perturbants de l'Animus au sond des histoires de Desmond et du Sujet 16 Clay Kaczmarek. Ceci fait, je reviens une dernière fois sur la fin de Revelations, concluant l'arc Ezio au profit d'un nouveau chapitre de la saga pour laquelle Assassin's Creed continue d'écrire sa grande histoire.
La trilogie d'Ezio se clôt magistralement. Le personnage est plus charismatique que jamais et apporte une conclusion touchante. Retrouver Altaïr est également très plaisant et le croisement des récits ne laisse assurément pas insensible. Il est très agréable d'évoluer dans Istanbul et la variété des missions évite l'ennui. Graphiquement dans la continuité des deux jeux précédents, quelques améliorations de gameplay et nouveautés. C'est surtout l'histoire que l'on retient, plus proche que jamais d'un grand film d'aventure.
Assez incroyable, gameplay varié et impressionnant, final grandiose et spectaculaire...
Un de mes préférés, le plus réussi pour moi !
(enfin jusqu'à présent, je les fait dans l'ordre de sortie)
Bon volet de la saga, le scénario n'est pas horrible pour ma part.
Le mode multijoueur est vraiment pas mal, dans la même lignée que Brotherhood.
Résultat : 30h de jeu
Assassin creed révélations alias déception est encore une sorte de DLC vendu plein pot malgré ses progrès graphiques est une purge: bugs a foison,scénar décevant,carte trop petite,synchros pourries,défense de territoires minable.En bref recette pour saloper une bonne licence!Ma note:10/20.